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Pierre, Catherine, Nicolas et Flora : abandonnés par la France, massacrés par la racaille

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Pierre et Catherine, Nicolas et Flora, ce sont deux couples d’aventuriers des temps modernes qui n’ont pas tout à fait compris ce qui leur arrive et ce qui est arrivé à leur pays.
Ils se sont lancés dans la vie avec l’image d’une France qu’ils ont connue dans leur enfance sans se rendre compte que le code a changé, vachement changé.

Revenons aux faits concernant Pierre et Catherine ce soir de match du PSG où la police n’a pas été capable de faire quoi que ce soit dans Paris, livrant la ville à la voyoucratie, au pillage et au viol :
« Il est environ 3 heures du matin quand Catherine est réveillée par des bruits sourds dans sa maison. Une ancienne bâtisse ouvrière rénovée où elle vit avec ses deux filles ».
« Sans sommation, les deux hommes la frappent violemment avec une massette. « Ils m’ont visée au visage, à l’arcade sourcilière, à la tempe, derrière la tête. Je saignais abondamment. Je ne sais pas comment je n’ai pas perdu connaissance », souffle-t-elle ».
« La famille s’apprête maintenant à déménager. « On ne peut plus rester ici. Notre vie a basculé », explique Catherine.  (…) »
« Pierre est plein de rancœur. « Nous payons des impôts pour être en sécurité, et ce n’est pas le cas. La police fait son travail, pas la justice. La délinquance a évolué, aujourd’hui les cités sont plus fortes que la République ». Et d’ajouter : « J’ai vécu au Venezuela dans les années 70, on vit la même chose. Il faut que la peur change de camp ». (…) ».
https://www.fdesouche.com/2025/07/01/le-soir-de-psg-inter-de-nombreux-cambriolages-ont-lieu-a-paris-catherine-habitant-les-quartiers-chics-est-victime-dun-home-jacking-ultra-violent-a-la-orange-mecanique-par-des/

C’est là que l’on voit la mauvaise analyse de Pierre sur sa situation, celle de son pays et celle des superstructures politiques et administratives.
Pierre rêve encore qu’il paie des impôts pour être en sécurité, c’est le discours de la doxa qu’il convient de démonter.
Non Pierre, prête-moi l’oreille, tu ne paies pas dans la France 2025 des impôts pour ta sécurité, tu paies des impôts pour te faire piller, tabasser et ta femme violer.

Il faut nommer les choses pour Pierre, le pognon qu’on lui prélève, c’est pour l’importation des Grands Remplaçants et son islamisation, accessoirement pour pré-payer la burqa de Catherine et le petit Coran des enfants au Ramadan.
Comme le dit Hal, Pierre paie des impôts « pour alimenter la CAF, pour aider au développement économique de toute l’Afrique, pour installer des éoliennes loin de chez toi, pour lutter contre le fascisme, pour rembourser les dégâts des dernières émeutes, pour financer le nouveau logo de France TV, pour avoir un urinoir inclusif au bout de ta rue.. ».
Pierre a toutefois un élément de comparaison tiré de son passé, il a vécu au Venezuela dans les années 70 et pense que la France 2025 est devenue le Venezuela de cette époque, il ajoute « J’ai vécu au Venezuela dans les années 70, on vit la même chose. Il faut que la peur change de camp ». (…).

Pierre n’a pas compris que la peur ne peut pas changer de camp tant que des millions d’autres Pierre voteront pour les politiciens actuels puisque ce sont eux qui organisent cette insécurité.
Pour que la peur change de camp, il faudrait un régime fasciste ultra violent, mais ça, Pierre il n’est pas prêt mentalement, c’est pourquoi Pierre, Catherine et leurs enfants veulent désormais déménager :
« La famille s’apprête maintenant à déménager. « On ne peut plus rester ici. Notre vie a basculé », explique Catherine.  (…) ».
Il n’y a pas que Pierre dans cette situation qui pense toujours budget France et assentiment à l’impôt de la part des citoyens qui l’imaginent toujours comme dans les années 70 comme un investissement pour le bien-être et le progrès de tous les citoyens de France.

Nicolas et Flora se sont heurtés au même mur du réel :
« Treize points de suture et un profond traumatisme. Voici ce que garde Nicolas de la violente agression dont il a été victime devant son immeuble à Petit-Couronne (Seine-Maritime), le vendredi 27 juin 2025. Dans la soirée, alors qu’il promenait ses deux chiens, le Couronnais a été violemment pris à partie par une bande de sept adolescents. Seul contre tous, il a fait face à un déchaînement de violence. (…) « Ils devaient avoir entre 13 et 17 ans, je dirais », note-t-il. La bande, agressive, lui demande de l’argent. Il refuse. S’ensuit un déchaînement de violence. J’ai reçu un premier coup de béquille sur le nez, puis derrière la tête. Après, ils se sont jetés sur moi, à sept ».
https://www.fdesouche.com/2025/07/02/petit-couronne-76-apres-setre-jetes-sur-nicolas-qui-avait-refuse-de-leur-donner-de-largent-le-laissant-avec-13-points-de-suture-une-bande-de-7-ados-croise-flora-sa-femme-tas-vu-commen/

Comme Nicolas ne pouvait plus promener les chiens le soir, c’est Flora sa femme qui a pris le relais et elle a eu l’heureuse surprise de se trouver nez à nez avec les nouveaux copains de Nicolas qui lui ont lancé :
« Le lundi après l’agression, alors que sa femme avait pris le relais pour la promenade de leurs chiens, elle s’est faite à son tour insulter par la même bande. « C’est là qu’ils m’ont dit : ‘T’as vu comment on a fracassé ton homme’ (…) », s’emporte Flora ».

On apprend que Nicolas et Flora avaient emménagé dans un quartier calme trois ans auparavant, mais maintenant qu’ils sont connus et repérés par les bandes toujours en liberté protégées de la justice et de la police qui ne font rien pour dissuader définitif façon solution finale afin de rendre au calme les habitants dudit quartier, notre toujours Nicolas et notre toujours Flora veulent déménager :
« Depuis trois ans qu’ils ont emménagé dans leur logement, Nicolas et Flora sont les témoins de nuisances constantes générées par ces petits groupes : tirs de mortiers le soir, rodéos urbains dans la rue devant l’immeuble, musique à fond. « C’est quasiment tous les jours. Avec l’arrivée de l’été, ça devient invivable », commente sa compagne. « Quand on est arrivé ici, c’était calme. Mais ça a empiré au fur et à mesure », complète Nicolas. Cette violente agression, c’est la goutte de trop pour le couple, bien décidé à déménager. « On cherche à partir, mais ce n’est pas simple. On est épuisés. On est à bout », concluent Nicolas et Flora ».

Comme Pierre qui ne savait pas pourquoi il payait des impôts, s’imaginant qu’il casquait pour sa protection, il faut expliquer à Nicolas qu’il se fait racketter trois fois par jour ce qui est tout aussi bien que les trois nuits par semaine d’Indochine.
Nicolas le racketté est racketté un fois par les racailles directement quand il sort les chiens.
Nicolas est racketté une deuxième fois par l’état qui paie avec ses prélèvements obligatoires les magistrats et la police qui, elles, sont chargées de la protection des racailles qui le rackettent.
Puis Nicolas est racketté une troisième fois pour abonder, comme le dit Hal, la CAF et les subsides sociaux qui sont grassement alloués et distribués aux parents de ses racketteurs.

Nicolas, Flora, Catherine et Pierre ont de la rancœur, sont-ils racistes au sens des émissions de télévision qui donnent les méthodes pour se deviner soi-même, si les assaillants sont colorés-basanés-coranisés comme l’un de ceux de Pierre, l’article nous assurant que l’un au moins serait griot :
« Un voisin a par ailleurs aperçu deux jeunes hommes s’enfuir en enjambant le portail. L’un portait un sweat à capuche noir, l’autre blanc. « Ils parlaient comme des petites racailles, l’un d’entre eux était noir », confie Catherine.  (…) ».
Une constante dans ces affaires, toutes les victimes veulent déménager après de telles attaques en meutes, la police et la justice ne faisant rien pour les protéger, allant même jusqu’à leur conseiller de partir.

C’est ici que l’on voit que toutes les superstructures administratives du pays prêtent plus qu’activement la main au Grand Remplacement dans un ballet soigneusement millimétré : les racailles avec l’aval des policiers et des juges attaquent, razzient, terrorisent, violent et tabassent au besoin. Les policiers sollicités conseillent de partir, c’est la deuxième lame des organes du Grand Remplacement, les policiers jouant le good cop après la visite de leurs copains bad cops de la voyoucratie, tout ce petit monde s’est réparti les rôles pour tendre au même but : faire déménager les Blancs de souche et les membres du Peuple Premier de France de leur pays.

Tout ceci ne peut être organisé qu’au plus haut niveau de l’état, actuellement chez Retailleau et Darmanin sous couvert de l’Elysée, sachant qu’un filet de protection a été prévu pour le soutien à la racaille : si une victime se rebiffait à blesser un de ses assaillants, c’est toute la famille-victime qui paie, mise en taule de Nicolas pour reprendre un des deux exemples, saisie du bien immobilier et des comptes bancaires pour dédommager ladite racaille, obligeant Flora à déménager et aller vivre dans sa voiture sur une place de parking de supermarché quelconque.

Je viens de vous démasquer le dessous des cartes, le pourquoi du tant d’insécurité en France avec tant d’allogénat, le pourquoi de l’interdit des statistiques ethniques pour ne pas éventer le plan de changement de Peuple et d’élimination des Premiers, les milliers d’attaques au couteau, les égorgements, les viols, les attaques de femmes autochtones ou autochtonisées pour leur tenue vestimentaire, tout cela répond à une stratégie soigneusement mise en place et exécutée de haute main par les fonctionnaires de France avec l’appui de tout un espace médiatique arrosé à milliards par an de subventions pour maquiller l’origine des attaquants dans les faits divers de divers.

Juges et policiers diligentent ces attaques via les bandes qu’ils contrôlent, les autorisant par laxisme à rentrer dans les domiciles, à tabasser, violer, piller et razzier. Il ne peut en aller autrement dans cette conclusion affirmative quand ces mêmes policiers viennent voir les victimes en leur signalant que déposer une plainte ne servira de rien, les juges classeront l’affaire, et qu’il vaut mieux déménager :
“Aujourd’hui, les policiers le disent clairement aux commerçants quand ils viennent déposer plainte pour un vol : il n’y aura pas d’enquête, parce qu’ils n’ont pas le temps“, nous explique Pierre Rancé. Et quand la procédure a la “chance” d’aller jusqu’aux tribunaux, c’est bien souvent des mois, voire des années après le préjudice. Car la justice elle aussi est saturée. Sans parler de la loi, qui pour certains sujets, comme les squats, n’est pas faite pour permettre aux propriétaires floués de récupérer suffisamment rapidement leurs biens. […]
https://www.fdesouche.com/2025/01/26/plaintes-non-traitees-tribunaux-engorges-prisons-saturees-peines-estimees-trop-faibles-face-aux-defaillances-de-letat-des-victimes-se-font-justice-eux-memes-ou-sont-tentees-de/

La collusion est plus que clairement établie ici, à la manière des mafieux dont un exécutant vient foutre le feu à votre bar puis le chef qui passe ensuite dans la semaine pour encaisser le denier de la protection ou prendre possession du bistrot.
Non Nicolas, tu ne paies pas des impôts pour être protégé, tu paies des impôts pour être Grand Remplacé, sauvagement au besoin, et les policiers sont de mèche avec tes assaillants, car comment peux-tu expliquer autrement que les racailles de ton quartier puissent s’adonner quasi tous les jours aux « tirs de mortiers le soir, rodéos urbains dans la rue devant l’immeuble, musique à fond. « C’est quasiment tous les jours. Avec l’arrivée de l’été, ça devient invivable » comme l’explique ta femme Flora ?
Tu le vois bien Nicolas, si les racailles terrorisent tous les jours et qu’elles sont tous les jours libres de le faire, c’est bien que policiers et juges les utilisent pour te faire partir de ton pays.
C’est comme cela que le plan-programme avance chers lecteurs.
Tous les Premiers de France qui paient des impôts sont fatalement connus de Bercy.
Magistrats et policiers peuvent facilement se délivrer des réquisitions pour accéder aux listes des gens autochtones aisés, listes qu’ils peuvent monnayer ensuite aux bandes qu’ils contrôlent et qui ont pour mission de rendre invivable leur quartier pour les pousser à déménager.
Et l’épandage des migratoires dans tout le pays répond à un changement d’échelle dans la réalisation du plan de déportation forcée mais toutefois volontaire aux yeux de l’ONU.

Les politiques et énarques français ont tiré les leçons des déportations nazies décidément trop voyantes par ces temps de portables où tout peut se filmer et mettre en ligne, les trains bondés et les files de piétons baluch’ à l’épaule serait un coup à se faire mal voir de l’ONU.
Ici tout se passe dans un genre d’intimité.
Politiques, préfets, policiers et magistrats ciblent un quartier ou une petite ville trop peinarde avec trop de blanchitude à leurs yeux, ils y importent de l’allogénat haineux, ils laissent les exactions se faire puis passent en donneurs de conseil avisé : on ne peut rien pour vous, il vaut mieux partir.
Même un observateur onusien aussi avisé que le conseil supra n’y voit que du feu, il n’est pas en France pour éplucher les faits divers des quartiers, il observe juste des gens qui partent volontairement, pour passer du F3 au F4 car un événement heureux est attendu pense-t-il, la raison profonde lui échappe.

Un seul aléa vient crocher ce plan, la multiplication des exactions jusque des dix mille par jour, poussant des indignés à témoigner et causer à Causeur ou à Cnews et à des sites d’information fiables qui nomment les choses à la Camus.
C’est pour cela que la caste veut faire taire l’information dans les médias concernant les faits divers, pour que le plan de déportation générale ne soit pas révélé au reste du monde :
« L’amendement demande que les médias publics “mènent une réflexion éditoriale sur la place qu’occupent les faits divers dans la couverture de l’actualité”.
Le texte cite les meurtres de Lola (Paris, 2022) et de Thomas (Crépol, 2023), repris selon les auteurs avec une “sémantique racialiste” par Éric Zemmour et d’autres figures de droite radicale. Il dénonce la création de concepts comme le “francocide” ou “l’ensauvagement”, et pointe du doigt l’influence médiatique de groupes comme CNews, Valeurs actuelles ou encore la “fachosphère”.

Les auteurs considèrent que ces faits sont utilisés pour “récupération politique”, au détriment d’un traitement neutre de l’information. Ils dénoncent la structuration d’un espace médiatique proche de l’extrême droite, accusé d’exploiter les faits divers pour faire avancer une vision sécuritaire et identitaire ».
https://www.fdesouche.com/2025/07/02/des-deputes-ecologiste-et-de-gauche-veulent-limiter-limpact-mediatique-des-faits-divers-dans-les-medias-publics-le-texte-cite-les-meurtres-de-lola-et-de-thomas/

Si vous devez déménager, vous devez aussi la fermer sur la raison de votre départ.
La conclusion est inéluctable pour Pierre et Nicolas, ce sont toutes les structures politico-administratives d’État du pays qui sont mobilisées pour leur déportation.
Mais en moins voyante que les rafles de juillet 1942 réalisées par les policiers français, eux aussi ont appris, ils se posent de nos jours comme des accompagnateurs-conseillers aux migrations des Premiers.
C’est plus noble aux yeux de l’Histoire de l’Humanité, mais le résultat reste identique, Pierre et Nicolas ont bien été poussés de force et de violence à partir de chez eux à cause des juges et policiers qui obéissent au plan de déportation générale ourdi par la classe politique française, RN compris ou pas restant une inconnue à déterminer, savoir s’ils sont prêts au fascisme libérateur et décolonisateur pour rendre la tranquillité au pays.

Jean d’Acre

https://ripostelaique.com/pierre-catherine-nicolas-et-flora-abandonnes-par-la-france-massacres-par-la-racaille.html

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