Un livre, Mea Culpa (Plon) et des chroniques désopilantes. Gaspard Proust est en train d’imposer sa patte dans la galaxie Bolloré.
L’an dernier, les proustiens célébraient les cent ans de la mort du grand Marcel. Cette année, c’est un autre Proust, Gaspard de son prénom, qui est à l’honneur. Le Figaro Magazine l’a récemment placardé en une, le JDD lui offre chaque dimanche ses colonnes et Europe 1 son antenne trois fois par semaine pour contrebalancer le lugubre appel à la prière du rire lancé tous les matins par le muezzin de France Inter.