entretiens et videos - Page 465
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LOI BIOÉTHIQUE 2020 : UN PAS DE PLUS VERS LA FOLIE (PMA, CHIMÈRES...)
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Me Gilbert Collard : « Je me demande si mon éviction ne sert pas à masquer l’éviction de Nicolas Bay »
Remaniement au sein du RN : désormais, Gilbert Collard et Nicolas Bay ne feront plus partie de la commission d’investiture du parti. S’agit-il d’une purge ? Ou d’un changement de cap sur les orientations du parti ?
Gilbert Collard, qui avoue lui-même avoir brillé par son absence à cette commission, répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Vous n’êtes plus dans la commission d’investiture du Rassemblement national. Comment vivez-vous cette décision ?
En sept ans, j’ai dû y mettre les pieds une fois. Je ne me sens pas très concerné. J’aurais aimé qu’on me prévienne d’une manière plus policée. C’est toujours déplaisant d’apprendre son éviction même si on s’est de soi-même évincé par la presse. Un mail avait été envoyé, mais ce ne sont pas des manières. Je crois que c’est un peu le procès de l’entourage proche de Marine qui est à faire.
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SORAL EN PRISON : BRICMONT RÉAGIT
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INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!)
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Diable qui es-tu ? Démonologie et pacte avec le diable ( extrait 30 min )
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Michel Onfray: «Le mal français, c’est d’abord la haine de soi dont presque tout dépend».
«Aimer la France est nécessaire pour en finir avec ce qui la tire vers le fond. L’aimer c’est croire en la possibilité de lui redonner un lustre avec ce qui fit sa grandeur», avance Michel Onfray. Philip Conrad/Photo12 via AFP
Sources : https://artofuss.blog/
Dans cet autoportrait politique, le philosophe, qui a lancé avec fracas et quelques polémiques une revue trimestrielle rassemblant souverainistes de tous bords, rappelle son amour de la France, celle de Corneille à Robespierre, et de Bossuet à Sartre.
«Populaire» dans toute la polysémie du mot, le philosophe, essayiste, écrivain, professeur et désormais directeur de publication a lancé avec fracas et quelques polémiques une revue trimestrielle qui entend rassembler les souverainistes de tous bords. Proudhonien de gauche mais aussi proudhonien de droite, Michel Onfray choisit de Gaulle contre Mitterrand. Dans cet autoportrait politique, il se moque des étiquettes comme de ceux qui veulent à tout prix lui en donner, et rappelle son amour de la France, pas celle d’un homme ou d’un camp, mais tout à la fois celle de Corneille et de Robespierre, de Bossuet et de Sartre.
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Alain de Benoist : « Macron conserverait quelques chances de l’emporter, mais Marine Le Pen aurait de bien meilleures chances de gagner »
Au cours de ces dernières semaines, nous avons assisté au second tour des élections municipales, puis à la mise en place d’un nouveau gouvernement. Peut-on dire qu’il en résulte un nouveau paysage politique ? Les forces en présence se sont-elles modifiées ?
Sur les élections municipales, on a déjà tout dit. Les deux faits marquants sont l’abstention record (60 %), qui s’explique avant tout par le fait que la France périphérique n’a pas voté, et la poussée de ce qu’on a appelé la « vague verte », qui a permis à des représentants de EELV de s’emparer d’un certain nombre de grandes villes. Cette « vague » ne doit être ni surestimée ni sous-estimée. Sa cause fondamentale, au-delà de la vague sympathie que suscite le référent écolo dans tous les milieux, est la gentrification croissante des grandes villes. La droite a, bien entendu, réagi en recourant à des métaphores ringardes comme celle de la pastèque (verte à l’extérieur, rouge à l’intérieur) et en s’affolant de l’arrivée des « Khmers verts » dans les mairies. Elle est, il est vrai, totalement analphabète en matière d’écologie. Désolé, Yannick Jadot n’est pas Pol Pot ! Les Verts sont des libéraux-libertaires, grands défenseurs des migrants, qui sont beaucoup plus intéressés par la théorie du genre que par une écologie qu’ils ne conçoivent que d’une façon punitive et superficielle. De même que l’Union européenne a discrédité l’Europe, les Verts discréditent l’écologie. Ce sont les vrais partisans de l’écologie qui devraient le plus dénoncer leur imposture.
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Actualité et politique Août 2020
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Géopolitique du coronavirus: entretien avec Robert Steuckers
Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur les différents aspects de cette véritable crise de civilisation ainsi que sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.
C’est aujourd’hui Robert Steuckers qui nous répond.Robert Steuckers, né en 1956 à Uccle, est diplômé de l’Institut Maria Haps, lié à l’Université de Louvain, où il a obtenu le Master en langues anglaise et allemande. Il a dirigé un bureau de traduction à Bruxelles pendant vingt ans avant de se consacrer à diverses tâches d’enseignement des langues. Il avait créé le think tank “Synergies européennes” en 1994, qui a organisé des universités d’été en France, en Italie et en Allemagne. Il gère, avec d’autres, le site Euro-Synergies qui affiche près de 17.000 articles de fonds, consultables par tous. Il dispose également d’un compte Twitter Robert Steuckers (@RobertSteuckers) | Twitter alimenté chaque jour. Robert Steuckers est l’auteur de plusieurs livres et essais, notamment la trilogie Europa, véritable somme sur l’identité et l’histoire des peuples européens ainsi que La révolution conservatrice allemande et Sur et autour de Carl Schmitt. -
Justice pour Axelle !