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entretiens et videos - Page 469

  • Après Brexit fera-t-on Frexit ou laisserons-nous encore les européistes se payer nos gueules ?

  • De la peste au coronavirus, par Gérard Leclerc

    L’épidémie de coronavirus domine toute l’actualité, même en France. Tous les moyens d’information sont mobilisés pour nous donner le maximum de renseignements sur la maladie et les stratégies propres à s’en prémunir. Mais il n’y a pas que les États à être en cause. Tout le corps social se doit de réagir

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  • Surpopulation : un monde invivable se dessine

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    Entretien avec Alain de Benoist 

    La population mondiale ne cesse d’augmenter. La procréation, par nature, peut être exponentielle, alors que les ressources terrestres ne le sont pas. C’est ce que disait déjà Malthus, dont certains pensent qu’il n’a jamais eu que le tort d’avoir raison trop tôt. Aujourd’hui, y a-t-il péril en la demeure ?

    Alain de Benoist : Passé un certain seuil, toute augmentation en nombre entraîne un « saut qualitatif » qui se traduit par un changement de nature. Comme chacun le sait, la population mondiale augmente régulièrement, mais, surtout, elle augmente de plus en plus vite. Vers 1700, on comptait moins de 700 millions d’habitants sur Terre. En 1900, on en était à 1,6 milliard. Aujourd’hui, avec plus de 250.000 naissances par jour, on a dépassé les 7,7 milliards. Pour la fin du siècle, les estimations moyennes tournent autour de douze milliards, les estimations hautes autour de seize milliards. Bien entendu, on peut discuter à perte de vue sur le nombre de bipèdes qui peuvent vivre sur cette planète. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il y a une limite : pas plus qu’il ne peut y avoir de croissance matérielle infinie dans un espace fini, la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée. Malheureusement, nous sommes à une époque qui ne supporte pas les limites. Malthus (Essai sur le principe de population, 1803) ne se préoccupait que de l’épuisement des ressources. Aujourd’hui, c’est le nombre qui, à lui seul, pose problème : la quantité est plus que jamais le contraire de la qualité. Avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins, le monde se porterait beaucoup mieux !

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  • CNT - Pour une compréhension globale, rapide et complète.

  • «L’Espagne a décidé d’être européenne en expulsant l’islam»

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    Quarante-trois ans, regard perçant et barbe bien taillée, il porte toujours sur lui un Smith & Wesson. Depuis qu’il a créé Vox en 2014, Santiago Abascal en a fait la troisième force politique du pays.

    Entretien avec celui qui a ressuscité la droite espagnole.

    Valeurs actuelles. Emmanuel Macron défend, notamment sur la question migratoire, la nécessité de l’Union européenne. Vous revendiquez au contraire la souveraineté nationale et le contrôle de vos frontières, spécialement à Gibraltar et dans les enclaves espagnoles au Maroc. L’échelon national est-il le bon pour gérer le problème de l’immigration ?

    Santiago Abascal. Le premier pas pour résoudre la question migratoire, c’est de respecter la souveraineté nationale et, par conséquent, les frontières. L’Union européenne impose depuis des décennies des politiques migratoires déconnectées de la réalité et des besoins des pays membres. Toute nation a l’autorité pour décider qui entre sur son territoire.

    Les courants mondialistes ont promu une société multiculturelle qui a échoué et appauvri la vie des citoyens dans tous les domaines : social, culturel et économique. Aujourd’hui, les femmes européennes ne peuvent pas marcher librement dans des quartiers de capitales comme Paris, Londres, Bruxelles, etc.

    En Espagne, nous ne sommes pas encore arrivés à une situation aussi dramatique, mais ce n’est qu’une question de temps si nous n’adoptons pas les mesures adéquates.
    Chez Vox, nous défendons donc une immigration légale, ordonnée et assimilable. Exactement le contraire de ce que font depuis des décennies les élites mondialistes.

    Vous avez critiqué par le passé Emmanuel Macron, « président mondialiste », et défendez l’identité espagnole. Pourquoi faire ce choix à l’heure de la mondialisation ?

    Le mondialisme poursuit la dissolution des États nations afin de renforcer les bases d’un nouvel ordre mondial dans lequel les décisions sont prises en dépit des intérêts nationaux, c’est-à-dire d’une manière antidémocratique qui ignore la souveraineté.

    C’est aux Espagnols de choisir le futur de l’Espagne, comme c’est aux Français de décider du futur de la France. Nous nous opposerons toujours aux projets totalitaires qui obligent les citoyens à penser d’une certaine manière, qui les contraint à détruire leurs racines et leur culture.

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  • [VIDÉO] « Pourquoi vous reconnaissez une identité nationale à tous les pays du monde, sauf à la France ?! » – Jean Messiha (RN) face à Aurélien Taché (LaREM)

    « Quand on vit en France, c’est aux immigrés de s’adapter à la France, ce n’est pas à la France de s’adapter aux immigrés. Moi quand je suis arrivé en France, j’étais immigré, j’ai été naturalisé à 20 ans, […] je n’impose pas aux Français ma culture d’origine.
    Ce pays a une identité nationale, aux même titre que les autres nations du monde ! Pourquoi vous reconnaissez une identité nationale à tous les pays du monde, sauf à la France ?! La France a une identité nationale qui doit être respectée ! » – Jean Messiha (RN) face à Aurélien Taché (LaREM) sur LCI

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    https://www.tvlibertes.com/actus/video-pourquoi-vous-reconnaissez-une-identite-nationale-a-tous-les-pays-du-monde-sauf-a-la-france-jean-messiha-rn-face-a-aurelien-tache-larem

  • VINCENT VAUCLIN : « CONSTRUIRE UN FRONT DE RÉSISTANCE AU MONDIALISME »

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    Le site Paris-Vox publie un entretien avec Vincent Vauclin, président de la Dissidence française cliquez ici

    APRÈS UNE ANNÉE 2019 TRÈS ACTIVE POUR VOTRE MOUVEMENT, ET NOTAMMENT UNE PARTICIPATION REMARQUÉE AUX ÉLECTIONS EUROPÉENNES, COMMENT LA DISSIDENCE FRANÇAISE ABORDE-T-ELLE L’ANNÉE 2020 ?

    Nous poursuivons la dynamique que nous avons engagé. La campagne des élections européennes fut une formidable mobilisation qui a permis de médiatiser notre discours et notre mouvement comme jamais auparavant, et de recevoir des soutiens de toute la France. L’enjeu désormais, c’est de préparer les échéances à venir (sénatoriales, départementales et régionales) et de rassembler tous ces Français qui ne se reconnaissent plus dans les partis du Système. Nous préparons donc de nouvelles campagnes militantes de grande ampleur, nous poursuivons notre travail d’implantation locale partout en France, nous travaillons avec nos alliés de l’APF pour construire un front de résistance au mondialisme au niveau européen, et nous avons lancé un grand chantier de rénovation idéologique : huit commissions thématiques, qui réunissent les adhérents et sympathisants volontaires de notre mouvement, travaillent désormais à l’actualisation et à l’enrichissement du programme de la DF. L’objectif  : inventer des solutions nouvelles et concrètes pour répondre aux défis de notre temps, développer et enrichir des propositions déjà existantes, et susciter un véritable effort de critique positive de la part des militants. Ce n’est pas un enjeu anodin : depuis trop longtemps, notre famille politique néglige le débat d’idées et se contente de répéter les mêmes slogans depuis quarante ans, puisqu’elle a intégré une forme d’esprit de défaite qui l’enferme dans une posture d’agitation stérile et de dissipation militante, aux marges du paysage politique. C’est précisément contre ces tendances sclérosantes que s’inscrit la Dissidence Française, puisque nous assumons l’ambition de conquérir et d’exercer le pouvoir. Nous refusons de nous contenter de faire de la figuration alors que de si grands périls menacent notre pays.

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