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entretiens et videos - Page 466

  • «En triant les articles de presse, le gouvernement tente de recréer un ministère de l’information»

    FIGAROVOX/ENTRETIEN – Sur le site du gouvernement, une plateforme recense désormais certains articles de journaux jugés «sûrs et vérifiés». Est-ce son rôle? Pour le professeur de communication Arnaud Benedetti, lorsque l’État entend démêler le vrai du faux parmi les contenus publiés par la presse, sa démarche est nécessairement suspecte.

    FIGAROVOX.- Le gouvernement a annoncé, par un tweet de sa porte-parole Sibeth Ndiaye, la mise en place d’une recension des articles de presse jugés fiables. Ce «fact-checking» est-il vraiment de son ressort ?

    Arnaud BENEDETTI.- Cette initiative gouvernementale traduit la grande fébrilité d’un pouvoir exécutif qui, faute de pouvoir censurer, se transforme en certificateur de l’information. Il va de soi que ce n’est pas à l’État de procéder à ce travail. Les plus grands mensonges de l’histoire ont souvent été, au demeurant, propagés par des États. Depuis le début du mandat, Emmanuel Macron se veut l’archange de la lutte contre les fake-news. Il a fait légiférer de manière aléatoire et discutable à ce sujet. Le Premier ministre lui-même lors de la présentation de sa stratégie de déconfinement s’en est pris aux réseaux sociaux et autres commentateurs.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/en-triant-les-articles-de-presse-le-gouvernement-tente-de-recreer-un-ministere-de-linformation

  • Un Club pour préparer un 2e âge d’or de la presse…

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    Le Salon Beige a rencontré Véronique Coupry, qui a lancé Le Club de la Presse, une sorte de Netflix / Spotify de la presse de droite. L’entrepreneuse nous éclaire sur son offre et sur l’avenir de la presse.

    Je croyais que Le Club de la Presse était une émission de radio ?

    Ça l’est ! Mais Le Club de la Presse, c’est aussi un bouquet numérique de publications vraiment libres, vraiment indépendantes de grande qualité, insuffisamment (et injustement) méconnues. Internet (les blogs et les réseaux sociaux) permet de se réinformer en temps réel tandis que la presse propose des analyses, des décryptages, des enquêtes inédits avec un recul rare aujourd’hui. Les deux sont parfaitement complémentaires et permettent de se former pour ne pas se laisser déformer par l’idéologie présente partout. Parce que nous croyons que l’argent ne doit jamais être un obstacle, nous proposons la vingtaine d’excellents journaux, magazines, revues qui composent Le Club de la Presse au prix imbattable de 12,99 euros. En effet, nous avons la conviction que les publications qui élèvent (intellectuellement et spirituellement) doivent être accessibles au plus grand nombre. Il est possible de s’abonner en une minute et de se désabonner en 30 secondes. Je dois cependant avertir vos lecteurs : vu la qualité des journaux, magazines et revues qui le composent, ils prennent un risque, celui de la fidélité choisie et assumée !

    Que propose Le Club de la Presse ?

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  • Thomas Joly, président du Parti de la France, répond aux questions de Riposte laïque

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    Source Riposte laïque cliquez là

    Avant d’aborder les questions politiques, une question personnelle : comment se passe, pour vous, le confinement, et comment le vivez-vous ?

    Thomas Joly : Je suis chez moi depuis bientôt deux mois avec femme, enfants et animaux de compagnie, je n’ai travaillé que quelques jours de ci de là. J’ai la chance d’habiter une maison assez spacieuse et d’avoir un jardin, ce qui me rend sûrement cette séquestration arbitraire plus supportable que pour quelqu’un coincé tout seul dans un appartement. Donc je le vis plutôt bien même si j’estime que ce confinement est une aberration et qu’il ne réglera rien.

    Riposte Laïque : Quel est votre regard sur la situation ahurissante que connaît notre pays, depuis deux mois, et surtout depuis un confinement qui doit durer jusqu’au 11 mai ?

    Thomas Joly : La gestion de cette crise sanitaire a révélé, une fois encore, la nullité affligeante des petits bureaucrates émasculés qui sont aux manettes.

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  • Michel Onfray : "Macron fait n'importe quoi" (Covid-19).

    Sur Sud Radio avec André Bercoff, Michel Onfray : "Macron fait n'importe quoi" (Covid-19).

  • PROBLÈME DES BANLIEUES : VOICI POURQUOI L'ÉTAT N'AGIT PAS !

  • Entretien avec Éric Lerouge fondateur de Réfléchir&Agir en 1993

    Avec Raspail, suivre d'abord ses propres pas.jpeg

    « Construire une réelle alternative au nouvel ordre mondial sans vouloir restaurer le monde ancien. »

    Il était le meilleur d'entre nous. Fondateur de Réfléchir&Agir en 1993, Eric R. alias Eric Lerouge avait pris du champ pendant dix-huit ans. Divine surprise de cet été, il reprend le combat à nos côtés. Nos lecteurs vont vite (ré)apprendre à le connaître. Retour sur un parcours d'exception.

    propos recueillis par Pierre Gillieth

    Eric, tu as aujourd'hui une petite cinquantaine mais peux-tu revenir sur les débuts de ton engagement en politique ?

    Mon engagement politique est certainement une conjonction de plusieurs facteurs : d'abord, un père ancien parachutiste très marqué par la guerre d'Algérie comme toute sa génération, mais sans avoir été OAS, peu politisé mais très à droite mais version nationale et populaire, qui a vécu 1981 comme un cauchemar, ensuite, dans mes années de collège des amis politisés, des filles plus âgées fréquentant l'extrême-gauche avec qui j'ai fleurté pendant quelques mois et dont je partageais l'esprit antisystème et l'anticapitalisme, ensuite dans mes années lycéennes, la vie quotidienne de banlieue qui se durcissait pour les petits Blancs (vols de deux roues, agressions), enfin, les médias qui relayaient un contexte de violence armée avec des attentats, celui de la gare de Bologne, celui de la rue des Rosiers (rapidement et injustement attribué à la FANE), et un article dans Rock&Folk sur les skinheads anglais en février 1982. C'est donc un mélange ou une synthèse de tout ça, renforcés par la montée électorale et médiatique du FN.

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  • Se relever après un avortement : c’est possible

    Se relever après un avortement : c’est possible

    L’abbé Laurent Spriet ayant, comme beaucoup de ses confrères, rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie, vient de publier un ouvrage intitulé Se relever après un avortement. Il offre un rappel de l’enseignement de l’Eglise, une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet a accepté de répondre à nos questions :

    Vous publiez des témoignages de femmes blessées par leur avortement. Avez-vous rencontré des femmes qui n’ont absolument aucun regret d’avoir avorté ? 

    Il existe des femmes qui disent qu’elles n’ont aucun regret de leur avortement. J’ai déjà été en contact avec quelques unes d’entre elles. Cependant, après un avortement, de façon générale : soit les femmes se taisent et souffrent en silence, soit elles expriment très vite leur mal-être et leur souffrance. La plupart exprime leur besoin d’en parler. Mais à qui ?

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