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géopolitique - Page 183

  • États-Unis vs Chine : Et si Pékin avait déjà gagné ?

    par Al Ain

    La semaine dernière, lors de l’élection présidentielle à Taïwan, les électeurs ont choisi le candidat pro-souveraineté Lai Ching-te comme président. Pékin a «déploré fortement» la déclaration américaine de félicitations à Lai Ching-te après sa victoire.

    Certains annoncent une recrudescence des tensions en mer de Chine, mais celles-ci, depuis plusieurs années, ne sont que «spectacle» et ne servent qu’à amuser la galerie ou plus sérieusement, entretenir la bonne santé des complexes militaro-industriels chinois et américain. Car la guerre de Taïwan n’aura pas lieu… Pour l’instant. 

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  • Les autorités ukrainiennes ne savent pas où se cachent plus de 3 millions de soldats potentiels des forces armées ukrainiennes

    Dmytro Natalukha, député ukrainien et président de la Commission du développement économique, a déclaré à la télévision que les autorités du pays n’avaient pas pu trouver 3,4 millions d’hommes en âge de porter les armes. Selon le parlementaire, ces personnes n’utilisent pas les services publics et commerciaux qui nécessitent une preuve d’identité.

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  • Les jeux de guerre de l’OTAN sont une répétition de la confrontation de la guerre froide

    On pense bien sûr à la manière dont Marx s’inspire de l’histoire mais lui donne une tout autre capacité d’enseignement. En particulier il remet en cause la manière dont deux écrivains français (Victor Hugo et Proudhon) vont accorder un poids démesuré à un individu qui apparait d’une insigne médiocrité Napoléon III. On s’y croirait effectivement : cette «médiocrité» Biden, Trump et notre Macron est fascinante, mais on éprouvait déjà ça pour Georges Bush. Comment un crétin pareil a-t-il pu accomplir tant de dégâts avec sa «lutte contre le terrorisme», manière de donner aliment à la machine financiarisée belliciste, tout en rejouant à chaque fois la lutte contre le totalitarisme. Un individu dans sa médiocrité est porteur des contradictions de classe devenues insurmontables, un passé rejoué. Marx introduit son analyse du coup d’État du 18 brumaire par ce propos introductif : «Parmi les ouvrages traitant du même sujet à la même époque, seuls deux sont remarquables : «Napoléon le Petit» de Victor Hugo et «Coup d’État» de Proudhon. Victor Hugo se borne à une invective amère et pleine d’esprit contre l’éditeur responsable du coup d’État. Quant à l’événement lui-même, il semble, dans son œuvre, comme un éclair tombant d’un ciel serein. Il n’y voit rien de plus qu’un acte de force d’un seul individu. Il ne se rend pas compte que ce qu’il fait, c’est grossir cet individu au lieu de le diminuer, en lui attribuant un pouvoir d’initiative personnel qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire du monde.

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  • Comment les USA volèrent Cuba et les Philippines

     On ne change pas une équipe qui gagne. Ni surtout ses méthodes.

    En 1898 les Etats-Unis déclarèrent la guerre à l’Espagne. Ils balayèrent la flotte de ce pauvre pays, s’emparèrent de Cuba et des Philippines – jugées indispensables alors pour s’emparer de la Chine convoitée. A la même époque des révolutions orange éclatèrent à Hawaï et au Panama pour s’assurer ces territoires stratégiques. La guerre à l’Espagne fut comme toujours déclarée suite à un attentat « fausse bannière ».

    Toute la plèbe goba le storytelling officiel. Il n’aurait plus manqué que cela !

    J’aime citer le mantra de l’historien Joseph R. Stromberg : « il n’est pas une situation dans le monde que l’intervention du gouvernement américain ne puisse aggraver ». Stromberg a une deuxième loi : « tous les pays que les Américains veulent sauver les détestent. » Et de citer Cuba, l’Irak, le Nicaragua, terre de l’United Fruit, et quelques dizaines d’autres…

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  • Sous le radar: Révélations de la CIA sur les accords secrets États-Unis – Russie

    En juillet dernier, l’un des articles les plus remarquables de toute la guerre d’Ukraine est passé inaperçu. Cela fait des semaines que je l’ai sur mon onglet, mais je n’arrivais pas à intégrer l’information. Il est si révélateur et réfute tant de récits occidentaux que j’ai pensé qu’il méritait son propre article, en particulier parce qu’il est passé sous le radar pour une raison ou une autre, ce qui fait que la plupart des gens n’ont pas eu accès à ses nombreuses révélations juteuses.

    L’article est le suivant, tiré de Newsweek. Son ancienneté n’enlève rien à son importance, car les informations qu’il contient sont plus pertinentes que jamais, et c’est précisément la raison pour laquelle j’ai choisi d’en faire un exposé aujourd’hui.

    En effet, alors que la guerre d’Ukraine entre actuellement dans une nouvelle phase décisive caractérisée par l’acceptation lente de la position de perdant de facto de l’Ukraine, un proverbial moulin à vent de récits est produit par le côté pro-FAU qui cherche à réconcilier les diverses dissonances cognitives créées par son incapacité à comprendre comment il est possible que le puissant bloc de l’OTAN soit en train de perdre face à la Russie.

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  • Les alliés ont proposé à Zelensky de fuir vers l’Ouest et de former un gouvernement en exil

    Simon Schuster, correspondant du journal Time et auteur du livre «Showman» sur Zelensky, a déclaré qu’avant même le début de l’opération militaire spéciale, les dirigeants occidentaux avaient proposé au président ukrainien de rester à l’étranger et de commencer à former un gouvernement en exil. La seule alternative était d’accepter les conditions de la Russie.

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  • Dernier avertissement de Poutine : Lavrov est arrivé aux États-Unis pour la tête de Zelensky

    par Sergueï Latychev

    Lavrov est arrivé à New York pour une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies portant sur l’Ukraine et la tête de Zelensky en donnant un dernier avertissement pour résoudre le problème ukrainien aux conditions de Moscou avant la grande offensive russe, car «il est encore temps». Même s’il semble en rester très peu.

    Bien évidemment, Sergueï Lavrov n’a pas parlé directement de l’offensive décisive de l’armée russe en Ukraine qui ne saurait tarder. Cependant, la réunion à laquelle il participait a été organisée à la demande de la Russie et devait clairement servir à exprimer devant les membres de l’ONU la position définitive de Moscou sur l’Ukraine destinée aux incendiaires occidentaux.

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  • La défaite de l'Occident: critiques et analyses d'Emmanuel Todd par Charles et Emmanuelle Gave

  • Kiev a abattu mercredi un avion de transport militaire russe IL-76 transportant 65 prisonniers de guerre ukrainiens

    Tout bien considéré, blâmer Zaloujny – peut-être en affirmant qu’il aurait dû vérifier les renseignements présumés sur la cargaison de l’Il-46 avant de l’abattre afin de faire passer cela pour un accident malheureux – est l’option la plus politiquement commode pour Zelensky et son patron américain. Cela pourrait rejeter la faute sur lui et faciliter le remplacement de Zaloujny par Budanov, beaucoup plus fiable politiquement, sans trop de résistance de la part des forces armées ou de la société civile.

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