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islamisme - Page 265

  • Un conducteur blesse six militaires à Levallois et s'enfuit : un «acte délibéré» selon le maire

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    Au moins six militaires de l'opération Sentinelle ont été blessés, dont deux sérieusement après qu'un véhicule les a percutés avant de prendre la fuite, à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine. Patrick Balkany évoque un «acte délibéré».

    Le 9 août, vers 8h du matin, un véhicule a foncé sur un groupe de militaires à Levallois-Perret, dans les Hauts-de-Seine, selon la préfecture de police citée par l'AFP. Selon la même source «six militaires ont été blessés, dont deux grièvement, même si leur pronostic vital n'est pas engagé». Les deux blessés ont été transporté à l'hôpital Percy de Clamart (Hauts-de-Seine).

    Une opération de police est en cours pour retrouver le conducteur, qui a pris la fuite, d'après la préfecture.

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  • Islam et liberté vestimentaire : à Paris comme en Turquie ?

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    Samedi dernier, le 5 août, des centaines de femmes ont défilé dans les rues d’Ankara pour réclamer le droit de continuer à s’habiller comme elles le désirent. D’autres avant elles avaient manifesté de même à Istamboul et Izmir.

    Mais qui les empêche de porter ce qu’elles veulent ? diront les belles âmes qui soulignent ici les bienfaits que le président Erdoğan a apportés à son pays, sortant les campagnes de la misère. Un président qui voudrait « returquiser » la nation, loin de la pollution des esprits répandue par l’Occident dépravé.

    C’est vrai, personne, encore, n’empêche officiellement les femmes de porter le short ou la robe de leur choix, d’aller bras nus ou « en cheveux », comme on disait autrefois. Dans les faits, c’est autre chose, et si elles manifestent, c’est parce que les incidents et agressions se multiplient, perpétrés par des moustachus et des barbus redresseurs de torts leur enjoignant d’adopter « une tenue correcte ».

    Bah, ça n’est pas bien grave ! diront encore les belles âmes. Et puis, chacun sa culture, n’est-ce pas : aux hommes l’espace public, les femmes à la maison. C’est la Turquie, faut comprendre…

    Ce que je comprends, moi, ce que je constate surtout, c’est qu’aucune liberté n’est jamais acquise (surtout pour les femmes) et que cette gangrène gagne aussi nos villes et nos campagnes françaises. Insidieusement, l’autocensure se met en place. On évite, maintenant, dans certains quartiers de sortir bras nus, et tant pis si c’est la canicule ; quant à la jupe, n’y songeons même pas. Les fillettes intègrent dès l’enfance la certitude que leur corps est indécent, leur liberté une provocation. Coupables d’être femmes en arrivant au monde !

    Je regardais, hier, des enfants jouer dans le parc parisien d’un quartier populaire. Les garçons riaient, couraient, sautaient, tous en short et libres de leurs mouvements. Et puis il y avait de petites filles. Toutes en pantalon ou caleçon long, empêtrées dans le long fichu qu’elles ne cessaient de remonter sur leur tête. Pas facile de faire du toboggan ou de grimper dans les filets quand on risque de s’étrangler avec les pans de son foulard. Et pas question, pour elles, quand elles ont encore la chance de fréquenter les centres de loisirs, de profiter des sorties piscine ou en base nautique.

    De tout cela notre République s’accommode fort bien. Ainsi, à Montreuil, exemple parmi d’autres, on sert maintenant à la cantine des boulettes de tofu pour contourner les interdits alimentaires. Et puis, on limite les sorties : mieux vaut laisser les gamins enfermés dans une cour d’école plutôt que risquer la discrimination… Bientôt, on supprimera totalement les classes de nature ou de mer, non pour des questions de finance (puisque c’est gratuit pour toutes ces familles), mais pour des questions de mixité non tolérée. Il n’y a que les non-musulmans pour y envoyer leurs enfants, alors on renonce…

    Dans le quartier turc de Paris, au cœur du Xe arrondissement, les bistrots sont pleins. À la journée, des hommes y jouent aux cartes. Ce n’est pas La Chapelle-Pajol et ses émigrés d’Afghanistan ou de Libye, mais on n’y voit pas de femmes non plus… sauf les prostituées chinoises. Mais ça, c’est un autre problème.

    http://www.bvoltaire.fr/islam-liberte-vestimentaire-a-paris-turquie/

  • Norvège: quand la presse française se prend les pieds dans la burqa

    Depuis quelques jours, on ne compte plus le nombre de médias qui se gaussent devant le canular d’un journaliste norvégien « piégeant » les internautes avec une photo de sièges de bus que certains ont pris pour des femmes en burqa.

    Où est le ridicule?

    « Des identitaires norvégiens confondent des sièges de bus… avec des femmes en burqa… » titre Francetv info en prenant bien soin de mettre à deux reprises des points de suspension pour souligner le ridicule d’une telle méprise. « Des identitaires norvégiens se ridiculisent en confondant des sièges d’un bus vide avec des femmes en burqa » titre de son côté Slate.

    Selon la plupart de ces journalistes, ce qui est ridicule, ce n’est donc pas de continuer à défendre le port d’un vêtement qui objectifie la femme au point qu’on peut la confondre avec des sièges de bus. Non, ce qui est ridicule, c’est de les avoir confondus effectivement. Pour eux, cela relèverait nécessairement d’une obsession. Mais quid du journaliste qui a eu cette idée ? N’a-t-il pas été le premier à observer une ressemblance entre les deux pour envisager que les gens allaient les confondre ?

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  • 217 djihadistes sont rentrés en France parce qu'ils sont français

    Voilà une autre conséquence de la nationalisation à tout crin, la complexité de gérer tous ces "Français" traîtres à la France et véritables dangers pour notre société :

    "Deux cent dix-sept majeurs et 54 mineurs sont rentrés des zones de combats en Irak et en Syrie en France, selon le ministre français de l'Intérieur. Dans un entretien au Journal du Dimanche, Gérard Collomb souligne que ces personnes "font l'objet d'un traitement judiciaire systématique par le procureur de la République de Paris et nombre d'entre eux sont actuellement incarcérés". Il ajoute que sept attentats ont été déjoués depuis le début de l'année, un chiffre déjà annoncé.

    "La menace terroriste reste très élevée", dit-il. Il cite "des individus qui pourraient être téléguidés depuis l'étranger, notamment par Al Qaïda. Ou des personnes sans lien directs avec la Syrie, mais soumises à une propagande qui reste malheureusement très active". Gérard Collomb ajoute que le nombre de personnes inscrites au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste ne cesse d'augmenter et évoque "plus de 18.500 signalements".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Chalon-sur-Saône, interpellation d'un homme armé et équipé d'une fausse ceinture d'explosifs et tenant des propos terroristes

    Bien sûr il s'agit d'un déséquilibré : 

    "Un homme de 46 ans, armé d'un couteau et ceint d'une ceinture d'explosifs factice, a été interpellé et placé en garde à vue après avoir fait irruption dans une galerie marchande de Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, a indiqué aujourd'hui une source proche de l'enquête.

    Les faits se sont déroulés jeudi peu avant 20 heures dans une boutique Orange accueillie par l'enseigne Carrefour quand l'homme, "aux antécédents psychiatriques assez sérieux" et "connu de la justice pour consommation de stupéfiants", a "exercé des menaces" qui restaient encore à être évaluées par les enquêteurs.

    "Des témoins ont fait plus ou moins référence à une demande d'argent pour soutenir une cause terroriste, sans véritables menaces de violence à l'égard des personnes présentes", a-t-on poursuivi de même source".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Manif de samedi à Chalon sur Saône (71) : changement du lieu de rassemblement

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    Un communiqué de Thomas Joly (Parti de la France) :

    Après avoir envisagé d'interdire notre manifestation, le Préfet de Saône-Et-Loire a accepté la proposition de notre Délégué départemental, Benjamin Lematte, de déplacer notre rassemblement place Thévenin afin d'éviter tout risque de confrontation avec les contre-manifestants d'extrême-gauche.

    Même s'il peut paraître paradoxal que ce soit à nous de nous replier dans un autre lieu, saluons cette petite victoire en cette période où la plupart des manifestations patriotiques sont scandaleusement interdites par les services de l'État. Donc demain, rendez-vous à 14h place Thévenin à Chalon-sur-Saône (71) pour dire non à l'installation de migrants !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • À LA BAULE : DES MUSULMANS MENACENT DES JEUNES FEMMES ADEPTES DU MONOKINI SUR LA PLAGE... ILS SE FONT REMBARRER

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    Source Breizh info cliquez ici

    Bronzer les seins à l’air sur la plage de La Baule, en 2017, peut s’avérer risqué.  C’est la mésaventure qui est arrivée le mois dernier à deux femmes, agressées par des puritain(e)s venus d’ailleurs.

    La première quinzaine de juillet a été chaude à La Baule, notamment sur la plage. Ainsi, un peu avant le quatorze juillet, deux femmes, des « Gauloises » qui bronzaient seins nus sur la plage – une pratique courante dans nos pays encore libres – se sont faites agresser par d’autres femmes, d’origine maghrébine.

    Ces dernières, qui ne portaient pourtant par ailleurs aucun signe distinctif pouvant laisser penser à une appartenance à un islam rigoriste, vinrent ainsi les voir pour leur intimer de couvrir leur poitrine, prétextant que «cela ne se faisait pas ». Manque de chance, elles tombèrent pour le coup sur des femmes de caractère, qui les ont purement et simplement envoyées paître.

    Insupportable pour ces ayatollahs du puritanisme, qui revinrent quelques instants plus tard avec leur compagnon respectif. Cette fois-ci, les menaces deviennent plus pressantes… mais c’était sans compter sur la solidarité communautaire qui s’est alors déclenchée autour des deux femmes agressées.

    Plusieurs personnes assistant à la scène intimèrent alors aux agresseurs de partir, tandis que d’autres appelèrent les forces de l’ordre. Arrivées sur les lieux, celles-ci embarquèrent illico ces représentant(e)s de la police de la poitrine. « On est chez nous ! » rappellera à ces femmes et à leur compagnon un badaud sur la plage.

    A Sisco (cliquez là) comme à La Baule, les revendications communautaires extra-européennes ne semblent pas être les bienvenues…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le centre de déradicalisation de Pontourny était bien une escroquerie !

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    Une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.

    En février dernier, la mission d’information « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en Europe » avait déjà dressé un premier bilan très mitigé de la politique de déradicalisation menée en France. Les deux sénatrices, Esther Benbassa et Catherine Troendlé, dénonçaient notamment un véritable « business » tout en pointant du doigt la « gabegie financière » de l’État. Catherine Troendlé allait même très loin en déclarant : « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction. »

    Dans le rapport final rendu public le 12 juillet dernier, les deux sénatrices ont notamment proposé la fermeture du centre de Pontourny, dont le but était d’accueillir des musulmans en voie de radicalisation sur la base du volontariat. Selon elles, il semble nécessaire de « mettre fin à l’expérimentation et renoncer à sa généralisation ». Rappelons tout de même que les candidatures volontaires se comptaient en réalité sur les doigts des deux mains. Pire encore : c’est Europe 1 qui avait révélé que le dernier pensionnaire avait été exclu après sa condamnation pour violences et apologie du terrorisme islamiste.

    « Son passage [dans le centre] a eu l’effet inverse de celui recherché. L’encadrement avait noté qu’il vivait le programme comme du prosélytisme anti-islam et qu’il semblait se radicaliser davantage. Son rejet de la France tendait à s’amplifier. »

    L’issue semblait ainsi de plus en plus évidente. Et, le 28 juillet dernier, le ministère de l’Intérieur s’est donc enfin décidé à annoncer la fermeture du centre de Pontourny. La Place Beauvau s’est contentée du strict minimum dans sa communication : « Malgré la compétence, la détermination et l’investissement des personnels du centre […] l’expérience ne s’est pas révélée concluante », tout en ajoutant : « Aucun de ces jeunes n’a suivi le programme jusqu’à son terme. » Toutefois, cet abandon est accompagné d’une réflexion sur la mise en place de « structures de petite taille », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Toujours le même angélisme que l’on retrouve aussi, dans une certaine mesure, chez la sénatrice Esther Benbassa : « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser les gens mais on peut les réinsérer, les resocialiser. » Comme si des mesures de « réinsertion » (sic) et quelques centres de dimension plus réduite pouvaient éradiquer la gangrène islamiste. Comme s’il était possible de transformer des barbus en djellabas en adorateurs de la République française.

    La fermeture du centre de Pontourny constitue déjà, à elle seule, une petite victoire. En effet, les Identitaires ont mené campagne pour dénoncer l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils avaient battu le pavé aux côtés de responsables du Front national et des habitants de Pontourny, excédés par la présence d’adeptes du djihad dans leur village. Mais le combat doit continuer. En effet, il est illusoire de penser que ce type d’établissement réussira à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie ». C’était, en tout cas, le pari fait par les créateurs du centre de Pontourny. Le projet de mise en place d’éventuels établissements de petite taille aboutira au même échec.

    Financé par nos impôts, ce type de centre de déradicalisation ou de réinsertion – bientôt le nouveau terme consacré ? – reste une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.


    Directeur national - Les Identitaires. Fondateur de l’agence Novopress.info
  • Les islamistes d'Al Nosra chassés du Liban

    Nouvelle contribution d'Antoine de Lacoste qui porte un regard sur la situation au Liban.

    Depuis plusieurs années, une poche islamiste s'était constituée dans la montagne libanaise appelée Antiliban, à cheval sur la frontière syrienne, à quelques kilomètres du beau site antique de Baalbek. De là, le Front al Nosra (rebaptisé depuis Fatah al Cham) se sentait suffisamment sûr de lui pour faire des incursions dans la Plaine de la Bekaa. Il y avait affronté l'armée libanaise, tuant et faisant prisonnier plusieurs de ses soldats. Il faut noter que des éléments de Daesh étaient venus lui prêter main forte; il décapitera deux soldats libanais...

    Al Nosra avait ainsi pris le contrôle en août 2014 de la petite ville d'Ersal, à majorité sunnite, la mettant en coupe réglée : exécutions de récalcitrants, application de la charia, trafics d'armes et de drogue. La panoplie habituelle des islamistes sunnites.

    Trop faible, l'armée libanaise n'était pas en capacité d'intervenir et l'armée syrienne avait autre chose à faire. Elle n'aurait de toutes façons pas été la bienvenue. Après de longues négociations, Al Nosra avait finalement accepté de se retirer dans les montagnes sur la promesse que l'armée libanaise ne l'attaquerait pas.

    Tout a changé il y a quelques jours avec l'intervention du Hezbollah. Libéré de plusieurs fronts en Syrie, en particulier à Alep et à l'Ouest de Damas, il a décidé de reconquérir Ersal afin de garder la main mise sur la Plaine de la Bekaa à majorité chiite.

    La prise de la ville fut aisée car les combattants de Fatah al Cham restés sur place ont refusé le combat et se sont réfugiés dans les montagnes. Mais le Hezbollah était décidé à en finir et a attaqué l'ensemble du réduit islamiste. Dans le même temps l'armée libanaise prenait position dans Ersal pour éviter toute mauvaise surprise. L'aviation syrienne est également intervenue pour fixer les troupes islamistes et faciliter l'intervention du Hezbollah. L'histoire ne dit pas si le Liban a donné son accord pour des bombardements syriens sur son sol, mais le Hezbollah constituant depuis longtemps un Etat dans l'Etat, cela ne change malheureusement plus grand chose pour ce qu'il reste d'Etat libanais.

    L'issue de la bataille fut favorable : Al Nosra a perdu une cinquantaine d'hommes et les chiites une dizaine (leurs noms et leurs photos figurent toujours dans la presse libanaise chiite afin d'honorer les "martyrs").

    Mais les islamistes se sont repliés dans un dernier petit réduit montagneux de neuf kilomètres carrés avec quatre prisonniers. Pour les récupérer sains et saufs, le Hezbollah a dû négocier. Un accord semble avoir été trouvé pour que les derniers combattants sunnites soient acheminés vers la Province d'Idleb, au Nord-Ouest de la Syrie. C'est déjà là que se concentrent tous les islamistes syriens (hors Daech) après les multiple redditions des derniers mois.

    C'est un tournant important dans la guerre qui oppose la Syrie aux islamistes. En effet de nombreuses poches d'insurgés sunnites subsistent ici et là dans les montagnes séparant la Syrie du Liban. Ces petits sanctuaires permettaient aux islamistes d'être à l'abri et de recevoir régulièrement des armes et des renforts. La perte de la plus importante de ses poches va probablement en entraîner d'autres.

    La Syrie n'aura plus à craindre des attaques surprises venant des montagnes libanaises et le Liban sera débarrassé de la présence d'Al Nosra sur son sol.

    Antoine de Lacoste

    Carole d'Hombelois

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Constance : il mitraille dans une discothèque. Encore un musulman demandeur d’asile !

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    La population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans.

    Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel durant l’été 2015, la population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans. Ce dimanche 30 juillet 2017, la ville de Constance, située au bord du lac du même nom dans le sud du Bade-Wurtemberg, près de la frontière suisse, fait la une de l’actualité. Un demandeur d’asile irakien de 34 ans y a ouvert le feu dans une discothèque. Deux personnes, dont l’auteur des faits abattu par la police, sont décédées et plusieurs sont blessées, dont trois lourdement.

    Le tueur était connu de la police pour divers délits et vivait depuis longtemps à Constance. Il a pénétré dans la discothèque et, quelques minutes plus tard, vers 4 h 30, a ouvert le feu avec une arme à canon long. Lorsqu’il a quitté la discothèque, un échange de coups de feu a eu lieu avec la police et l’individu a été blessé mortellement. Il est décédé de ses blessures à l’hôpital. Un policier a été également blessé lors de l’échange de coups de feu, mais n’est pas en danger de mort.

    Un témoin raconte à l’agence de presse DPA (Deutsche Presse-Agentur) que l’auteur a tiré avec une mitraillette au hasard, dans la discothèque Grey, sur les personnes présentes dans ce lieu qui était bondé. Des centaines de personnes y dansaient. Lors des faits, la panique s’est emparée des noctambules qui se sont enfuis et se sont cachés. La police a déployé des forces spéciales et a demandé un hélicoptère de la police pour d’éventuelles recherches.

    L’Allemagne était autrefois un pays au sein duquel une femme pouvait sans problème se promener seule dans la rue la nuit, même dans une grande ville. L’afflux de migrants a changé complètement la donne. Faire ses courses, se rendre dans une discothèque, se promener dans la rue n’est plus désormais un acte anodin, mais peut conduire aux pires conséquences. Les Allemandes et Allemands ne sont plus en sécurité à leur domicile. Des migrants pénètrent chez les habitants du cru et les tuent pour les voler ou violent les femmes. À Auerbach dans le sud de la Bavière, un Roumain a été arrêté ce 28 juillet après avoir violé une Allemande à son domicile. 

    Face à toutes ces atrocités, la justice ne daigne pas condamner lourdement les auteurs des faits, leur trouvant des circonstances atténuantes au vu de leurs origines. Cinq jeunes individus dénommés Murat C., Hasrit S., Madonna R., Meto K. et Amir R., qui avaient tué un pensionné de 81 ans à son domicile à Tönisvorst en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en le battant à mort lors d’un vol organisé, écopent, alors qu’ils étaient déjà connus des forces de l’ordre pour d’autres faits, de peines allant de 6 ans et 7 mois à 7 ans et 9 mois de prison.

    À Hanovre, en Basse-Saxe, le Marocain Nori Najia été condamné à seulement 7 ans et 3 mois de prison pour avoir violé durant deux heures et agressé violemment une Allemande de 27 ans enceinte de sept mois de jumeaux à son domicile alors qu’elle rentrait chez elle.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog