islamisme - Page 264
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La famille LESTEVEN, chassée de chez elle par des islamistes, témoigne
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Les Français attendent de leurs responsables politiques qu’ils prennent l'islam au sérieux
L'association Clarifier avait lancé une enquête pour mieux comprendre la vision que les Français ont de l’Islam, pour pouvoir travailler plus efficacement à réunir les conditions du dialogue en vérité qui seul permettra de résoudre les difficultés causées aujourd’hui par le choc des cultures, mais aussi pour aider les politique et notamment nos députés – à prendre conscience des interrogations des Français sur le sujet. En à peine trois semaines, cette enquête a reçu plus de 6500 réponses (6602 exactement). Extrait des retours :
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Syrie : l’imprudent Monsieur Macron
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Les terroristes, déséquilibrés… climatiques, par Guy Rouvrais
On a remarqué que, dans son discours devant le Congrès l’autre semaine, le chef de l’Etat a brièvement évoqué le « terrorisme » qui nous frappe sans préciser que celui-là est « islamique », s’inscrivant ainsi par cette abstention dans la continuité de son prédécesseur. C’est que, dans « islamique » il y a islam ce qui est désagréable quand on ne cesse de professer contre l’évidence qu’il n’y a aucun rapport entre l’adjectif et le substantif. S’il n’y a aucun lien entre eux quelle est l’origine de ce terrorisme-là et comment alors « l’éradiquer » comme le dit Emmanuel Macron ? Il y a ceux qui voient dans le terrorisme l’expression du « malaise » des banlieues et qui serait donc soluble dans l’action sociale, d’autres désignent le Moyen-Orient et le conflit israélo-palestinien ou encore le déséquilibre Nord-Sud, etc. Tout est bon qui exempte l’islam !
Il appartenait à notre nouveau président d’ouvrir une nouvelle perspective en ces termes lors du G20 : « On ne peut pas prétendre lutter efficacement contre le terrorisme, si on n’a pas une action résolue contre le réchauffement climatique. » Celle-là, on ne nous l’avait encore pas faite !
Cette singulière et époustouflante persuasion explique le peu d’initiatives nouvelles du ministre de l’Intérieur, comme de son collègue de la Défense, pour renforcer notre arsenal contre la terreur islamiste : celui qui en a la charge est en réalité… Nicolas Hulot, le ministre de l’écologie ! Le plan de lutte contre le terrorisme se confond donc avec son « plan climat » pour la transition énergétique présenté la semaine dernière. Grâce à lui, le réchauffement de la planète baissera de 1,5 degré en… 2040, on arrivera ainsi à une « neutralité carbone » en 2050. D’ici là, selon Macron, on ne pourra donc pas « lutter efficacement contre le terrorisme » qui a encore devant lui quelques belles décennies pour répandre le sang et la mort d’innocents.
Quand le président se prend pour Jupiter, De Gaulle ou Jeanne d’Arc, on sourit de cette puérile mégalomanie, mais quand il profère de telles énormités, on ne sourit plus, on tremble. Avoir un chef des Armées qui veut faire reculer le terrorisme en multipliant les éoliennes et les panneaux solaires est pour le moins inquiétant. Pour justifier cette prise de position déroutante, il assure que « tout est lié », tout est dans tout et réciproquement, donc « le terrorisme et le climat » et même bien au-delà : « les grands déséquilibres de notre monde, ceux que nous sommes en train de vivre, sont liés au déséquilibre climatique ». C’est sans doute pour cela qu’on veut faire passer les terroristes pour des déséquilibrés, un déséquilibre en appelant un autre…
Sur le terrorisme islamique et son rapport à l’écologie, nous inverserions plutôt la formule macronienne en affirmant que rien ne sert de lutter contre le réchauffement climatique si l’on n’a pas une action résolue contre le terrorisme. A quoi bon en effet respirer un air purifié de CO2 sur une planète « propre » si c’est pour s’y faire égorger par les tueurs djihadistes ? A quoi bon laisser à nos enfants une Terre à bonne température si c’est pour qu’ils y survivent sous la loi islamique ?
Guy Rouvrais
Article publié par Présent daté du 11 juillet 2017
https://fr.novopress.info/206928/les-terroristes-desequilibres-climatiques-par-guy-rouvrais/
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Mossoul libérée ! - Journal du lundi 10 juillet 2017
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Pour Macron, le terrorisme est lié au réchauffement climatique : bien vu !
Évidemment, Merah c’était ça : il fait de plus en plus chaud à Toulouse, c’est bien connu. Molenbeck, Belgique : là aussi, ça se réchauffe.
Macron a choisi sa communication : plus d’interviews du 14 Juillet, plus de réponses aux journalistes qui souhaitaient l’entendre sur le financement olé olé de sa petite virée à Las Vegas en 2016, quand il était ministre mais en même temps en campagne. On a compris que les affaires, de simples « péripéties du quotidien », c’était juste pour la droite, et juste bon à gagner une élection. Mais qu’on ne vienne pas le chercher avec Bayrou, Ferrand ou Pénicaud, qui était chargée d’organiser le financement de ce déplacement.
En revanche, Macron mise sur la transformation de son parti LREM en « média ». N’était-ce, d’ailleurs, pas déjà cela, ce mouvement ? Un pur produit de communication ? Et il réserve ses interventions pour les réseaux sociaux : le portrait nous a été balancé ainsi et, évidemment, notre Président, comme il l’avait fait à Taormine, communique avec nous par tweets lors des sommets internationaux.
Celui de Hambourg, qui restera dans les mémoires comme le signe que Mme Merkel est incapable d’accueillir le G20 sans vider la ville de la moitié de ses habitants ni pouvoir empêcher une véritable émeute d’extrême gauche qui a ravagé le centre-ville, a donc acté la position isolationniste des États-Unis sur le climat.
Mais M. Macron, bien peu novateur en ce domaine, a continué, lui, la mélodie que Fabius et Hollande nous avaient jouée avec leur COP21 : « accord irréversible », etc. On se souvient que cette propagande COP21, fin 2015, avait permis de surfer au-dessus des peurs légitimes nées après l’attentat du Bataclan.
Et, comme on ne change pas une drogue ou un médicament qui produit d’aussi bons effets sur le patient, Macron a remis ça.
« On ne peut pas lutter contre le terrorisme sans action résolue contre le réchauffement climatique.
Il n’a même pas introduit sa signature, son petit clin d’œil, son « en même temps ». C’est presque un tweet à la Hollande.
Car, évidemment, Merah, c’était ça : il fait de plus en plus chaud à Toulouse, c’est bien connu. Molenbeek, Belgique : là aussi, ça se réchauffe. Et puis, regardez les dates : 14 juillet à Nice, c’est clair, c’est le réchauffement. Et le père Hamel, à sa messe de 9 h du matin, il devait aussi faire trop chaud fin juillet.
Arrêtez de conduire, de polluer, vous comprenez, ça les excite, les terroristes !
Notre Président est décidément un grand intellectuel : réussir à réintroduire la théorie des climats de Montesquieu dans le contexte géopolitique du terrorisme islamiste au XXIe siècle, c’est un tour de force qui doit laisser plus d’un étudiant de Sciences Po admiratif.
Dernière minute : Macron a annoncé un nouveau sommet sur le climat à Paris le 12 décembre : une mini-COP, ça peut pas faire de mal. Surtout s’il devait y avoir des attentats islamistes dans les prochains mois… Avec ces températures, on ne sait jamais… Et, donc, une piqûre de rappel, dans la relative fraîcheur de décembre, ça fera du bien aux Français. Bien vu !
http://www.bvoltaire.fr/macron-terrorisme-lie-rechauffement-climatique-bien/
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Vers la fin de l’état d’urgence
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Entrée en vigueur le 13 novembre 2015, l’état d’urgence aurait évité bon nombre d’attentats. Selon Gérard Collomb ministre de l’Intérieur, depuis début 2017, sept projets d’attentat ont pu être déjoués grâce à ce régime d’exception.
Le Parlement a adopté jeudi par un vote de l’Assemblée une sixième et, en principe, dernière prolongation de l’état d’urgence ce dernier devrait donc durer jusqu’au 1er novembre 2017.Que change l’état d’urgence en pratique ?
En pratique l’état d’urgence réduit le nombre de manifestations publiques, permet de restaurer un contrôle aux frontières, de simplifier les procédures de perquisitions.
L’état d’urgence permet également d’assigner à résidence.
En réalité cette mesure aura été utile les 6 premiers mois, en pratique le nombre de perquisitions administratives était de 3 600 dans les 6 premiers mois et est passé à 161 dans les 6 derniers mois. En ce qui concerne les assignations à résidence, elles sont passées de 400 à 62.Emmanuel Macron est il crédible quand il annonce la dernière prolongation de l’état d’urgence ?
François Bayrou alors garde de Sceaux disait déjà craindre une « banalisation de l’exception », le 15 mars 2017 redoutant « un risque pour la démocratie ».
Le président lui même dans son ouvrage Révolution paru fin novembre 2016 appelait à la cessation de l’état d’urgence : « indispensable au lendemain des attentats », car ayant « permis que des mesures immédiates soient prises dans des conditions qui n’auraient pas été réunies sous un autre régime de droit », et déclarait que « sa prolongation sans fin, chacun le sait, pose plus de questions qu’elle ne résout de problèmes ». Et ajoutait : « nous ne pouvons pas vivre en permanence dans un régime d’exception. Il faut donc revenir au droit commun, tel qu’il a été renforcé par le législateur et agir avec les bons instruments. Nous avons tout l’appareil législatif permettant de répondre, dans la durée, à la situation qui est la nôtre ». -
Zoom - Exclusif : Dans l’enfer des chrétiens au Pakistan "Mieux vaut être un martyr qu'un réfugié"
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Valls : « La France insoumise se compromet avec les islamistes » : 17 députés au compteur
« Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme. » – Manuel Valls
Valls surprend. Ou découvre l’eau chaude. C’est un bon comédien ou un naïf patenté, ce qui, en politique, est dangereux.
Celui qui, Premier ministre, nous annonçait que nous devrions « nous habituer à vivre avec le terrorisme », sans nommer son origine pour ne pas se mettre une bonne partie de ses électeurs musulmans à dos, a déclaré mardi 4 juillet sur RMC : « Les candidats de La France insoumise se compromettent avec les islamistes, ils sont dangereux pour la démocratie. »
Il faut dire que ce pauvre Manu, devenu persona non grata d’un PS en soins palliatifs et accueilli froidement du côté de LREM, est dans le viseur d’une Farida Amrani qui lui conteste sa victoire à l’élection législative, allant jusqu’à revendiquer la sienne à quelques mètres de lui, à la mairie d’Évry, le soir du second tour. Pas de bol, le Manu est tombé sur une coriace. Née au Maroc et arrivée en France à l’âge de deux ans, cette quadragénaire est le produit phare d’une immigration opportuniste : formatée à l’école de la République, pur produit du service public (fonctionnaire territoriale), elle coche toutes les cases d’une militante gauchiste et bruyamment revendicarde. Elle crée une section syndicale aux couleurs de la CGT dans l’agglomération Cœur de l’Essonne, puis se tourne vers la lutte politique en harponnant violemment l’édile d’Évry, lors d’une réunion publique sur les rythmes scolaires, qui, devant tant d’audace survoltée, lui suggère alors de monter une liste aux élections municipales ; ce qu’elle s’empresse de faire. Évidemment.
Battue à 139 voix près aux élections législatives, alors que les médias prédisaient déjà la victoire de ce spécimen issu de notre diversité, elle continue le show en contestant les résultats de l’élection et dépose un recours auprès du Conseil constitutionnel pour invalidation, soupçonnant des fraudes et de la tricherie durant le scrutin. Le spectacle de ses militants FI, vociférant lors de la prise de parole de Valls dans l’enceinte de la mairie d’Évry le soir du second tour aux cris de « youyous » endiablés, donne une idée précise du niveau de civilité d’une partie de ses électeurs et militants.
Le pauvre Valls peinant à se faire entendre comme vainqueur, devant une nuée de micros tendus, a découvert ce soir-là l’ambiance d’un hall d’immeuble au cœur de la cité d’Évry et le vivre ensemble pour de vrai, si cher à son cœur d’homme de gauche. Et cela lui a fait l’effet d’un électrochoc, puisque ce nouveau député LREM, du moins jusqu’à preuve du contraire, a osé dénoncer devant Jean-Jacques Bourdin, ce mardi, les liens entre La France insoumise et les islamistes sans y mettre de conditionnel ou l’adoucir d’éventualités.
Il enfonce le clou sur son ancien parti, affirmant dans une interview :
« La gauche est en difficulté sur les questions d’identité. Hollande n’aimait pas les évoquer […] Ce n’est pas la première fois qu’il y a de la complaisance à gauche à propos du terrorisme.
« Il y a une complaisance, parce qu’il y a une gêne et une culpabilité. Les musulmans sont le prolétariat du XXIesiècle, et en plus il y a une question religieuse. »
La gauche a donc abandonné l’ouvrier de Zola au profit d’un vote clientéliste arabo-musulman. Et c’est un ancien Premier ministre qui le dit, osant évoquer jusqu’à la question religieuse, qui soude l’identité arabe à l’appartenance musulmane, comme le temporel au spirituel.
On se doute bien que Valls n’a pas été atteint par la grâce et qu’il faut observer cette prise subite de conscience à travers le prisme d’un opportunisme politique plus que celui de la volonté intuitive de sauver l’identité française. Depuis la guerre d’Algérie, on savait la gauche complaisante avec le terrorisme. Il faut désormais retenir, de la bouche même d’un ancien Premier ministre, que la gauche de Charlie se fourvoie avec l’islam radical par lâcheté.
Parce qu’elle vomit, par tous les pores de son idéologie, le concept d’une identité française potentiellement fière de l’être, la gauche de Taubira, Najat, Peillon, Cazeneuve et consorts préfère se compromettre avec l’islam et nous démettre.
La France insoumise serait donc d’abord insoumise à la République française.
Manuel Valls est un pompier pyromane, mais il a mouillé la chemise en lançant ce pavé dans la mare. Ce qui serait criminel pour l’avenir de la France serait de laisser ses affirmations retomber dans une douillette indifférence coupable.
http://www.bvoltaire.fr/valls-france-insoumise-se-compromet-islamistes-17-deputes-compteur/
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Crimes sans châtiment (Jean-Loup Izambert)