Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islamisme - Page 264

  • Prière de rue musulmane géante à Clichy-la-Garenne

    priere_DKpDzYuXcAAz-MK.jpg-large-600x331.jpg

     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:
    La police encadre une prière de rue géante depuis six mois en banlieue parisienne. C’est dans une vidéo que publie l’Observatoire de l’islamisation qu’on peut s’en rendre compte. A Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des centaines de musulmans se retrouvent pour prier dans la rue. Bien alignés, ils ont installé un tapis sur la chaussée et des haut-parleurs pour que les rangées les plus éloignées puissent entendre le prêcheur. Ils sont tellement nombreux qu’ils occupent plus d’une voie de circulation pour les voitures.

    Et cela ne semble pas inquiéter la mairie. Des policiers armés assurent la sécurité de ces gens et font signe aux voitures de circuler. Les organisateurs estiment accueillir au moins un millier de fidèles d’Allah. Rémi Muzeau, le maire Les Républicains de Clichy la Garenne, avait promis tout comme son prédécesseur socialiste de construire une mosquée supplémentaire. L’écrivain et ancien musulman Majid Oukacha, commente la vidéo sur Twitter : « On y voit le résultat de la peur de nos élus laissant l’islam coloniser nos rues ».

    D’autant que cette mosquée n’est pas modérée pour un sou. Toujours selon l’Observatoire de l’islamisation qui possède plusieurs vidéos tournées sur place, l’imam qui dirige cette prière du vendredi des musulmans psalmodie le verset 36 de la sourate 9 du coran, dans lequel on peut lire : « Combattez les associateurs sans exception, comme ils vous combattent sans exception, et sachez qu’Allah est avec les pieux ». Ce verset est connu pour être souvent interprété comme un appel à l’extermination des chrétiens et des athées par la force.

    D’autres prières de rues non autorisées ont lieu chaque vendredi à Paris. Rue Morand (dans le XIe), elle bloque la circulation. Rue Etienne Marey (XXe) également, les fidèles de la mosquée Anwaar E Madina prient sur le trottoir.

     https://fr.novopress.info/

  • Les tensions religieuses au coeur de l'entreprise - Journal du jeudi 28 septembre 2017

  • Un ancien fiché S entre dans la police !

    flat,1000x1000,075,f.jpg

    Un communiqué du MNR :

    D'après une information de RTL, confirmée par Europe 1, un homme, fiché S en 2012 pour son intérêt pour l'islam radical, était néanmoins entré dans la police comme adjoint de sécurité (ADS), après avoir tenté de faire carrière dans l'armée.. Après trois années de surveillance, la fiche S est levée. Et, « couronnement» de cette histoire, il est devenu vendredi dernier gardien de la paix... Que doit-on penser de la hiérarchie qui a permis cela, cependant que le policier patriote Sébastien Jallamion a été démis de ses fonctions et contraint de s'exiler, suite à la dénonciation d'une collègue qui n'avait pas apprécié un message (privé) sur Facebook pointant du doigt le danger de l'État islamique ? Comment peut-on sérieusement penser que nous sommes protégés des dangers du terrorisme islamique ? Combien faudra-t-il de nouveaux morts pour que nos autorités ouvrent les yeux et arrêtent de parler d' « islamophobie » quand certains veulent attirer l'attention sur les dangers liés à l'islam ?

    Avec tous les patriotes, dénonçons sans relâche les dangers extrêmes de la complaisance envers l'islam radical, fruit abouti de l'islam orthodoxe.

     

     
  • Jeannette Bougrab : « Il n’y a pas d’autre choix que d’expulser l’islam de la cité »

    Jeannette-Bougrab.jpg

    8953-20170927.jpgElle n’a jamais eu froid aux yeux, elle revient avec des propos d’un rare courage. Deux ans après les tueries de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher, Jeannette Bougrab publie un manifeste de combat contre la barbarie islamiste et ceux qui la protègent. Cette fille de harkis, ancienne secrétaire d’Etat et ancienne présidente de la Halde, accuse les politiques et les médias français de « complicité ».

    Jeannette Bougrab a été très mal traitée au moment de la mort de Charb. On l’a accusée d’usurper sa relation avec le dessinateur assassiné, les médias n’ont pas supporté qu’une Arabe musulmane dise la vérité sur l’islam. Elle a été menacée de mort et traînée avec Pascal Bruckner devant les tribunaux pour « islamophobie ». « Poursuivie par l’éternelle pléiade des idiots utiles de l’islamo-salafisme », rappelle l’hebdomadaire Marianne.

    « Les médias m’ont lynchée », déclare-t-elle aujourd’hui. « Les amis de Charb ont été dégueulasses avec moi. Je n’étais pas du bon milieu, je n’appartiens pas à cette famille de Charlie Hebdo. »

    Jeannette-Bougrab-Lettre-dexil-228x350.jpgSes Lettres d’exil, sous-titrées La barbarie et nous, écrites depuis la Finlande où elle est partie vivre avec sa fille May, dénoncent la bienveillance politico-médiatique au service des promoteurs du communautarisme islamiste : voile, burkini, ramadan. « En Algérie, on se bat pour porter le bikini, en France on protège le burkini ! »

    Jeannette Bougrab condamne les choix de perdition faits par la droite comme par la gauche depuis 30 ans :

    « On veut construire des mosquées alors qu’il n’y a plus de bibliothèques dans les quartiers. Les imams ont remplacé les instituteurs. La situation s’est aggravée depuis mon départ. »

    « La violence est omniprésente dans l’islam »

    Elle évoque une France « gangrenée par l’islamisme » et égrène la litanie des morts : Charlie, le Bataclan, le 14 juillet à Nice, le père Hamel, le couple de policiers de Magnanville, les militaires français, les adolescents, les enfants… « L’idée qu’en France on est protégé, est une erreur. On n’est plus protégé. »

    De son exil géographique, elle fustige « l’exil intérieur » auxquels sont assignés avec elle les millions de Français meurtris par la terreur et exaspérés par ce qu’elle appelle « l’empire du déni » :

    « La guerre contre Daesh est une chose. Mais le combat contre les bien-pensants occidentaux en est une autre, à bien des égards plus complexe et sournoise. Il est vital que nous commencions, dès à présent, cette déradicalisation des esprits. »

    Plus politiquement incorrect encore et plus précis, celle qui se déclare Française, Arabe et musulmane se dit « excédée d’entendre autour d’elle que sa culture est pure tolérance, alors que la violence y est omniprésente » :

    « Qu’on cesse de m’opposer la religion de l’amour d’un islam imaginaire par crainte de m’entendre proférer la vérité. Moi, la fille de musulmans, je crois qu’il n’y a pas d’autre choix pour la France que d’expulser l’islam de la cité.(…) N’avons-nous plus le désir et l’amour de la France ? »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 27 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/207469/jeannette-bougrab-il-ny-a-pas-dautre-choix-que-dexpulser-lislam-de-la-cite/

  • Le projet de loi relatif à la sécurité intérieure oublie de désigner l'ennemi

    Voici l'allocution du député Marie-France Lorho, qui a succédé à Jacques Bompard, hier à l'Assemblée Nationale, sur le projet de loi relatif à la sécurité intérieure :

    "La France est confrontée à un danger violent : l’islamisme. Un ennemi autrefois extérieur et circonscrit par des frontières s’est insinué au cœur de nos métropoles et de nos villages. Cet ennemi s’enracine au cœur de notre patrie : choyé comme clientèle électorale, instrumentalisé par les propagateurs de la haine de soi, laissé libre d’ouvrir mosquées et madrasas dans le pays de Saint Louis. Actuellement, les groupes terroristes qui sévissent en Irak, en Syrie, au Mali ou ailleurs, utilisent bien entendu cette faille nationale pour atteindre notre corps social et nos symboles. Leurs actions insupportables ont pu se propager à cause des erreurs géopolitiques des quinquennats précédents. Nous n’aurions pas dû détruire la Libye, nous n’aurions pas dû alimenter les factions islamistes de la rébellion syrienne, nous n’aurions pas dû enfermer nos échanges orientaux dans le piège tendu par les pays du Golfe.

    Je reconnais à votre gouvernement quelques inflexions en la matière. Il n’est que temps et nous devrions collectivement admettre que seul un retour au bon sens et au pragmatisme pourra servir notre sécurité nationale. Les Chrétiens d’Orient comme d’autres minorités nous en alertent depuis longtemps. Toutefois, cette situation géopolitique ne peut résumer la cause de la multiplication des attentats sur notre sol.

    La première cause de cette recrudescence d’attentats, c’est l’affrontement au cœur de notre société de modèles de civilisation qui ne peuvent pas coexister. L’appétit financier des grands groupes qui ont cherché à mondialiser le facteur travail en imposant une immigration massive à notre peuple s’est soldé par un remplacement progressif de civilisation sur certaines parties du territoire et sur la diffusion de l’islamisme politique en métropole et en outre-mer. Or, de cela, votre texte ne dit rien. Quelques broutilles sur Schengen, quelques aménagements dans les contrôles, mais rien sur la surveillance des « migrants », rien sur la fermeture des mosquées salafistes, rien sur les prêches anti-chrétiens, anti-français, et anti-juifs dans certaines caves, rien sur la lutte islamiste contre les traditions françaises.

    C’est cette branche pourrie que la loi devrait trancher avant qu’à force d’envenimer la société, elle ne conduise à la guerre civile. C’est la faiblesse fondamentale de votre texte : il n’accepte pas de désigner l’ennemi et donc de tout mettre en œuvre pour l’abattre. De fausses pudeurs continuent à vous habiter : radicalisation, loups solitaires, etc. Et Monsieur le ministre, selon la formules, les équivoques ne mènent qu’à des paradoxes.

    Paradoxe sur les procédures de surveillance qui devraient être rapportées au seul terrorisme et alors largement durcies. Nos citoyens hurleraient si on leur présentait sous cette forme les numéros d’équilibristes que vous proposez, entre le juge et le terroriste suspecté en matière d’accords, de notifications…. On a parfois l’impression que les réformes du code de sécurité intérieure et du code de procédure pénale sont rédigées pour faciliter la recherche d’erreurs de procédures et autres vices par les avocats pénalistes.

    Paradoxe dans cette absurde mesure imposée au sujet des périmètres de surveillance. Imaginons un membre des mouvances islamistes qui pourrait se promener dans tout Paris ou alors un partisan de l’organisation Etat islamique libre de circuler d’Avignon à Carpentras pour continuer à entretenir ses réseaux. De deux choses l’une : soit le principe qui prévaut est la confiance dans l’examen du dossier par le juge, soit l’on en revient aux obligations et à l’automatisme. Mais alors pourquoi le faire dans le sens exclusif de l’intérêt des surveillés et des prévenus ? Bien des amendements ont été disposés en ce sens par mes collègues non-inscrits, que cela soit par Madame Ménard ou par le Front National. J’espère que le débat sera constructif avec ce travail des non-inscrits, qui reflète la grande inquiétude des Français.

    Venons-en à l’article 4 bis, où vous cherchez à donner un cadre aux fausses associations de « déradicalisation ». La plupart des spécialistes s’émeuvent de ce mode de traitement et il est d’ailleurs délirant de constater que l’Etat aura mis autant de temps à cadrer ses relations avec de telles structures. Ces structures imaginent une psychiatrisation de l’islamisme et des adeptes. Le djihadisme possède un corpus idéologique et doctrinal, des maîtres à penser, des réseaux. C’est une idéologie précise qui exige de ses adeptes des efforts intellectuels importants. L’islamisme politique n’est pas une émotion adolescente ou une soudaine exacerbation, c’est une idéologie de combat soutenue par des Etats et des argentiers. Elle est en opposition flagrante avec notre civilisation. Elle n’a pas peur de nos dispositions absurdes comme la non intégration des policiers municipaux et des services de sécurité privée au texte, comme la réduction des budgets militaires en pleine crise internationale ou comme le laxisme sur la réouverture des mosquées salafistes. C’est le piège des constructions juridiques actuelles, qui s’égarent dans des artifices nommés droits sans devoirs, hystérisation du débat public que l’islam, abandon des identités qui sont le moteur spirituel de défense de notre pays.

    Monsieur le ministre,

    Nous ne faisons pas une religion de l’Etat d’urgence. L’excellent Jean-Frédéric Poisson en avait bien noté les limites lors de la précédente législature. Nous refusons simplement le retour au laxisme, le retour aux non-dits, le retour à la soumission politique, aux idéologues de la haine de soi. Comme Monsieur Wauquiez, je suis favorable à l’internement des fichés S, les plus dangereux de manière préventive. Comme Madame le Pen, je pense que cette loi ne s’attaque pas à l’origine du mal. Comme Jacques Bompard le proposait sous la précédente législature, il convient d'amplifier largement les dispositifs de déchéance de la nationalité.

    Monsieur le ministre, lutter efficacement contre le terrorisme exige que vous écoutiez votre opposition. L’islamisme politique est un péril pour notre civilisation ; il convient de le chasser de notre pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Indépendance de la Catalogne : coalition des gaucho-libertaires, des marxistes, des islamistes et des séparatistes

    6a00d83451619c69e201b7c9240bcf970b-800wi.jpgLu sur Réinformation.tv :

    "Quel est le point commun entre Younès Abouyaaqoub, le tueur islamiste des Ramblas, Arnaldo Otegi, le marxiste et ancien membre de l’ETA à la tête du parti séparatiste d’extrême gauche basque EH Bildu, Nicolás Maduro, le président-dictateur, également marxiste, du Venezuela, Pablo Iglesias, le chef du parti espagnol d’extrême gauche (financé à l’origine par Chávez puis Maduro) et les indépendantistes catalans ? Leur engagement, à des degrés divers, en faveur d’un référendum d’autodétermination en Catalogne. A cette coalition des gaucho-libertaires, des marxistes et des séparatistes, il faut ajouter, comme dans les années 1930, les nationalistes basques de centre droit (PNV).

    D’après la mère du terroriste islamiste des Ramblas qui a parlé au journal italien Corriere della Serra, Younès Abouyaaqoub se sentait catalan et était favorable à l’indépendance de la Catalogne. Il avait même fait du travail bénévole en faveur du « Oui » au référendum illégal prévu pour le 1er octobre. Surprenant ? Pas du tout, cela fait des années que les séparatistes catalans encouragent l’immigration musulmane, font obstacle à la lutte contre l’immigration illégale menée par la police espagnole dans leur région et ferment les yeux sur l’activité des très nombreuses mosquées salafistes.

    On ne rappellera jamais assez les mots prononcés en 2010 par Abdelwalhab Houizi, imam de la mosquée Ibn Hazn de Lérida, devant des fidèles musulmans (l’enregistrement avait été diffusé sur Internet) : « Ils [les indépendantistes catalans] cherchent notre soutien pour obtenir des votes, mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que quand ils nous laisseront voter, nous voterons tous pour les partis islamiques, car nous ne raisonnons pas en termes de gauche et de droite. Ceci nous fera gagner les mairies, et à partir de là, avec les compétences étendues des collectivités territoriales, l’islam commencera à s’implanter. » Lors de la « Consultation populaire » de 2014, les séparatistes catalans avaient encouragé – avec succès – les musulmans à voter et ils avaient même autorisé les résidents sans nationalité espagnole à se prononcer eux aussi sur la séparation de la Catalogne du reste de l’Espagne.

    L’extrême gauche en faveur de l’autodétermination de la Catalogne

    Pour le président vénézuélien Maduro, dont on connaît l’attachement à la démocratie et à l’État de droit, le Premier ministre espagnol, en refusant un référendum aux Catalans, agit en dictateur. Son allié et ami en Espagne, Pablo Iglesias, du parti d’extrême gauche Podemos, considère que les hauts fonctionnaires arrêtés la semaine dernière par la Garde civile dans le cadre de perquisitions du gouvernement de la Généralité de Catalogne sont des prisonniers politiques. Iglesias ne reconnaît pas en revanche la qualité de prisonniers politiques aux opposants de Maduro emprisonnés au Venezuela. S’il ne soutient pas directement le référendum illégal du 1er octobre (contrairement à sa branche catalane Podem), le parti Podemos se prononce en faveur d’un référendum d’autodétermination convenu avec Madrid en Catalogne et dans toute région d’Espagne qui pourrait vouloir se prononcer sur la question de son appartenance à une nation commune. Même chose pour la très gauchiste Ada Colau qui dirige la mairie de Barcelone. La non moins gauchiste maire de Madrid, l’ancien juge Manuela Carmena, va encore plus loin en soutenant ouvertement la tenue du référendum illégal. Et au sein même du camp séparatiste catalan, il y a bien sûr le parti d’extrême gauche CUP, et ses milices violentes. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Syrie : Attaques, enlèvements, églises brûlées… Le cauchemar des chrétiens du Khabour

    Ces dernières années, les chrétiens de Syrie ont été victimes d’exactions de la part de l’État islamique. Attaques, enlèvements, églises brûlées…
    Dans la vallée du Khabour, au nord-est du pays, des villages entiers ont été rayés de la carte. Pourtant, malgré la menace islamiste, certains chrétiens d’Orient refusent d’imaginer l’exil.

    D’autres, déplacés dans les pays voisins ou qui ont émigré en Europe ou aux États-Unis, envisagent même de revenir sur leur terre natale.

  • Quand l’AFP fait silence sur les migrants terroristes

    C’est le site Arrêt sur images de Daniel Schneidermann qui reprend la nouvelle que seul Ouest-France a mise en ligne : Salah Abdeslam non seulement aurait véhiculé trois des tueurs du Bataclan mais il aurait également convoyé dix autres terroristes avec l’involontaire complicité d’ONG humanitaires locales.

    Une information révélée au départ par le quotidien hongrois Magyar Idök considéré comme proche des autorités hongroises. Reprenons Ouest France (verbatim repris d’Arrêt sur images) :

    Ces derniers s’étaient infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants. […] Le réseau pourrait aussi avoir profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants : Salah Abdeslam a séjourné à deux reprises dans l’appartement d’un membre d’une organisation humanitaire.

    Une nouvelle aussi sensationnelle n’a pas été reprise ni par l’AFP ni par la presse dominante. Pourquoi ? Trois explications sont possibles.

    Elle est parue au milieu des vacances et serait ainsi passée inaperçue.
    L’information est venue de Hongrie un pays qui n’a pas bonne presse chez les libéraux-libertaires.
    Enfin elle est défavorable aux mouvements migratoires.

    Aucune de ces explications n’est exclusive des deux autres et comme dit le proverbe : n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Après les attentats en Espagne : comprendre et combattre la radicalisation – par Charles Saint-Prot

    Attentat-Barcelone-600x337.jpg

    Après les attentats meurtriers (16 personnes sont décédées) commis en Espagne, le 17 août 2017, notamment à Barcelone où les terroristes ont foncé dans la foule à bord d’une camionnette, certains ont mis en exergue le fait que les terroristes étaient d’origine marocaine et que leur chef était un imam. L’erreur consisterait à généraliser à partir du cas de quelques activistes déviants qui ne représentent évidemment pas le peuple marocain.

    En Espagne et en Belgique, par exemple, la communauté issue de l’immigration est majoritairement marocaine, comme elle peut être majoritairement algérienne en France ou tunisienne dans d’autres pays. On ne peut jeter l’opprobre sur tout un peuple en raison des agissements de quelques-uns et il doit être clair qu’il n’existe aucun facteur national prédestinant tel ou tel ressortissant d’un pays ou tel ou tel adepte d’une religion à commettre des actes criminels. Il faut rechercher ailleurs les causes de ces agissements.

    La question religieuse est peu présente dans la radicalisation

    Les terroristes radicalisés sont des gens qui, pour des raisons diverses, se mettent en marge. En marge de leur famille, de la société, et même de la religion qu’ils caricaturent odieusement. Ils cherchent à atteindre des cibles spectaculaires à la fois pour se valoriser et faire parler d’eux, et pour donner à leur action un grand retentissement. C’est une vielle méthode des terroristes de tous les temps, par exemple les anarchistes russes de la fin du 19e siècle ou les gauchistes de l’ultragauche radicale des années 70 et 80.

    Il y a plusieurs facteurs qui peuvent pousser à la radicalisation et au passage à l’acte criminel. En premier lieu, il y a la faiblesse psychologique de certains qui se laissent piéger par des slogans extrémistes et suivent des meneurs qui les manipulent au nom d’une conception déviante de la religion que les uns et les autres connaissent mal ou pas du tout. Le deuxième facteur est dû au manque de formation et de contrôle des imams dans les pays européens. Le chef de file des attentats du 17 août en Espagne était un imam autoproclamé qui avait purgé une peine de prison pour des actes délictueux ! Cela renvoie à la question de la formation des imams qui doivent recevoir une formation appropriée, être accrédités par une instance représentative en liaison avec les pouvoirs publics et bénéficier d’un statut. Cette question est essentielle et il est temps que les pays intéressés (la France, l’Espagne, la Belgique, etc.) cessent leurs atermoiements en la matière et coopèrent avec le Maroc qui est le seul État musulman capable d’aider à la formation d’imams enseignant l’Islam du juste milieu et combattant la radicalisation, sur le modèle de l’Institut Mohammed VI de formation des imams de Rabat. Le troisième facteur est donc l’ignorance de ce qu’est le vrai Message de l’Islam qui est la religion du juste milieu, de la tolérance et du refus des extrêmes. Le fanatisme est le propre des esprits faibles et des ignorants.

    À vrai dire, La question religieuse est peu présente dans la radicalisation. Il est d’ailleurs notable que beaucoup de terroristes sont des gens plus connus pour être des délinquants de droit commun que des militants religieux. Certains sont des esprits psychologiquement faibles ou des marginaux nihilistes saisis par une sorte de mal du siècle comme leurs prédécesseurs anarchistes ou gauchistes. On ne peut d’ailleurs négliger le refus de s’intégrer à la société et les pulsions de haine portées par les terroristes d’une manière irrationnelle. Bien sûr la propagande circulant sur Internet joue un rôle sur ces personnes souvent fragiles. Internet est un facteur d’accélération de la radicalisation et du recrutement des activistes.

    Le prétexte religieux est donc une imposture comme d’ailleurs les références aux conflits du Proche-Orient car on n’a jamais vu ces extrémistes militer pour la Palestine ou contre l’intervention des États-Unis en Irak qui, depuis, a été livré à l’anarchie, par exemple. En tout cas, ces excités criminels trahissent les causes arabes et les caricaturent comme ils trahissent l’Islam et font le jeu de l’idéologie du choc des civilisations.
    Le combat contre le terrorisme

    Outre le fait que la lutte contre le terrorisme implique un resserrement de la solidarité et de l’unité nationales, comme l’a déclaré le Roi d’Espagne Felipe VI, il faut mener une lutte sans merci contre les terroristes et les centres de propagande. Il est extraordinaire que personne n’ait songé à mettre fin aux activités du prétendu imam qui dirigeait la cellule de la région de Barcelone ! Il faut démanteler ces nids de propagande, et, quand c’est possible expulser les fauteurs de troubles ou les neutraliser. Le second volet concerne la coopération entre les polices : dans les attentats de Paris et de Barcelone, il semble que les services belges d’une part, et les services de l’entité autonome de Catalogne d’autre part, n’ont pas été à la hauteur. Ils n’ont pas assez coopéré avec leurs homologues français ou les services nationaux espagnols. En tout cas, la coopération entre les services est essentielle.

    À cet égard, il faut se féliciter de l’excellence de la coopération entre les services marocains, français et espagnols qui sont très professionnels et performants. Il faut redire que le Maroc est le seul pays du sud qui combat sérieusement le terrorisme en opposant aux radicaux à la fois la réponse sécuritaire qui s’impose et en les combattants sur le plan idéologique en promouvant la connaissance de l’Islam du juste milieu. C’est pourquoi de nombreux États africains envoient leurs imams se former au Maroc. Il est vrai que la fonction de Commandeur des Croyants du roi Mohammed VI lui donne une autorité particulière en matière religieuse et en fait le chef de file de l’Islam modéré. Le rôle du Maroc dans la lutte contre le terrorisme est unanimement apprécié par les pays européens ainsi que son rôle pour maintenir la stabilité régionale.

    Charles Saint-Prot – Directeur général de l’OEG

    Texte repris du site Theatrum Belli

    https://fr.novopress.info/