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islamisme - Page 261

  • Samedi prochain, 2 septembre, Riposte laïque fêtera ses 10 ans d'existence

    2219260440.jpgCe samedi 2 septembre, à Rungis, espace Jean-Monnet, Riposte Laïque fêtera ses dix ans de lutte contre l’islamisation de notre pays, de 10 heures à 19 heures. Et le moins qu’on puisse dire est que, quand on étudie l’actualité, cette initiative tombe à pic.

    Depuis quelques jours, se déroulent, sous nos yeux, de véritables actes de guerre quotidiens, que les autorités appellent « attentats », ou même parfois « incidents ». Ils se succèdent avec des modes opératoires assez répétitifs : soit une « voiture folle » ou un « camion fou » (sans doute sans pilote) foncent dans une foule, soit un « déséquilibré » armé d’un couteau se met à poignarder autour de lui tout ce qui n’est pas musulman, et principalement des policiers ou des militaires, soit d’autres « déséquilibrés », toujours armés de couteaux, hurlent « Allah akbar » et menacent de tout faire sauter, pour une raison ou une autre. Sans oublier, bien évidemment, les kalachnikov…

    Naturellement, cette épidémie d’actes de guerre, menés simultanément en France, en Belgique, en Espagne, en Russie, en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Finlande et partout où il y a des musulmans (seuls les pays de l’Est de l’Europe sont épargnés) est masquée par l’ensemble des autorités européennes et par les médias, la palme appartenant au Parisien, qui a osé titrer que les fous imitaient les terroristes !

    Et comme les vrais spécialistes de l’islam ne sont jamais invités sur les plateaux, qui se contentent de nous imposer les enfumeurs habituels, il ne se trouve personne pour expliquer que non seulement ces « déséquilibrés » ne sont pas si fous que cela, mais qu’ils se comportent en bons musulmans, qui font la guerre aux non-musulmans quand le rapport de force le leur permet, que cela se passe ainsi depuis 14 siècles et que cela a occasionné 280 millions de morts, victimes d’un dogme assassin, l’islam.

    Nous sommes donc à la fin de la deuxième phase du djihad, appelée « djihad défensif » et nous rentrons dans la troisième phase, appelée « djihad offensif ».

    Depuis 10 ans, nous avons expliqué tout cela, par la publication de 26.000 articles, écrits par près de 2.000 contributeurs. Nous avons édité 17 livres, sur le voile, la takkya, l’alternative Reconquista ou Mort de l’Europe, les mensonges musulmans, etc. Nous avons même expliqué le phénomène des « déséquilibrés », en éditant en français les travaux de la formidable Wafa Sultan. Nous avons démontré le type de guerre que nous mènent les islamistes, grâce à l’ouvrage du Colonel Cerisier. Nous avons livré le témoignage de Ghislaine Dumesnil sur la réalité de l’islamisation de nos entreprises, à travers l’exemple de la RATP, ou celui de Sébastien Jallamion, sur le tabou de l’islam dans la police.

    Nous avons impulsé des pétitions, notamment contre le port de la burqa, organisé l’Apéro saucisson-pinard, les Assises contre l’Islamisation de nos pays. Nous avons monté des manifestations de rue, des rassemblements quand, par exemple, Hervé Cornara a été décapité, ou les deux policiers de Magnanville ont été exécutés devant leur enfant. Nous défendons la liberté d’expression, et le droit de critiquer l’islam, en toutes circonstances. Nous recherchons toutes les alliances possibles, évitant de tomber dans un sectarisme qui est aux antipodes de notre culture. Et nous essayons d’être solidaires quand des amis du camp patriotique sont, eux aussi, victimes de la répression.

    Sans doute n’avons-nous pas été parfaits, probablement avons-nous commis des erreurs, mais nous ne voyons pas, avec ce que sont nos moyens, ce que nous aurions pu faire de plus.

    Naturellement, cela nous vaut l’ostracisme des médias, un harcèlement judiciaire, impulsé au plus haut niveau de l’État (nous avons atteint le 50dossier avec la dernière plainte de Gérald Moussa Darmanin, nouveau ministre de Macron), et bien évidemment des menaces récurrentes dirigées contre nos principaux animateurs.

    C’est dans ce contexte que vont se tenir les dix ans de Riposte Laïque, dans quelques jours. Cette phase de réinformation, depuis 2007, était nécessaire. Il convenait de déconstruire le discours des enfumeurs sur la différence « Islam-islamisme », sur « l’islam religion de paix », sur les « musulmans modérés », voire « patriotes », et sur la possible existence d’un « islam de France » dans notre pays.

    Il fallait informer nos compatriotes que plus il y aurait de musulmans en France, plus il y aurait d’actes de guerre et d’attentats, et plus nous nous dirigerions vers une société islamique.

    Il fallait les convaincre que nous étions dirigés, depuis quarante ans, par des traîtres, qui livraient notre pays à une puissance étrangère, et envoyaient leurs compatriotes à la mort, préparant un Grand Remplacement porteur d’un changement de civilisation.

    Il fallait expliquer aux Français la réalité, ce que nous avons essayé de faire au mieux.

    Il convient, bien évidemment, de poursuivre ce travail, et, grâce à Internet, malgré toutes les volontés de censure de ce régime, de continuer, avec d’autres sites, à mener cette guerre de réinformation, en passant à travers les mailles de la dictature médiatique qu’ils veulent mettre en place.

    Mais cela est-il suffisant, dans un contexte où des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers, des millions de musulmans, en France et dans toute l’Europe, sont prêts à passer à l’action, avec des couteaux, des fusils, des bombes ou des camions, dans les conditions les plus sordides et les plus barbares, contre nous, parce que nous ne sommes pas musulmans, et qu’ils veulent conquérir nos pays, pour y imposer la charia. Bien sûr, nous précisons que tous les musulmans ne sont pas des terroristes, ce que nous pensons, mais qui ne change rien à la problématique de l’islam en France.

    Nous sommes ravis du plateau que nous avons pu mettre sur pied, représentatif de l’Union des Patriotes la plus large que nous appelons de nos vœux. Nous espérons réussir la synthèse entre les témoignages du matin, sur ces dix ans de Riposte Laïque, le côté festif, avec un repas alsacien le midi, et le gâteau anniversaire champagne du soir, et le côté politique, l’après-midi, avec des invités qui, chacun avec sa spécificité, partagent l’essentiel de nos combats.

    Bien sûr, nous attendons de nos intervenants, vu leurs qualités, des propositions d’action, mais nous en ferons, quant à nous, dans notre conclusion.

    Vous pourrez également, outre les livres de Riposte Laïque, vous procurer d’autres ouvrages sur la réalité de l’islam, sur l’immigration et tous les sujets qui préoccupent les Français, puisque nous donnons aux amis la possibilité de diffuser leur matériel sur des tables, situées dans la salle de conférence.

    Vous pourrez surtout faire connaissance de toute la famille Riposte Laïque, ses animateurs, ses dirigeants, français ou suisses, ses contributeurs, ses commentateurs et ses lecteurs…

    Et nos amis de TV-Libertés couvriront l’événement. Et bien sûr, un service de sécurité professionnel assurera la tranquillité des participants, des fois que…

    Il vous reste jusqu’à mardi midi pour vous inscrire, nous vous le conseillons, vous ne perdrez pas votre journée, nous vous le promettons.

    Plus d'infos cliquez ici

    Chèque de 30 euros à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors

    Venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Quand le maire de Marseille inaugure une mosquée appartenant au mouvement tabligh, dont la finalité est la réislamisation des populations, je m'interroge

    Bernard Ravet, ancien principal de collège est en retraite. Il a écrit un livre "Principal de collège ou imam de la République" dans lequel il témoigne de l'islamisation des écoles. Terrifiant :

    Quels sont les signes qui laissent apercevoir une poussée de l'islamisme au collège ?

    Le premier peut être de voir le nombre croissant de gamines arrivant avec un voile sur la tête qu'elles retirent avant de pénétrer dans l'établissement. C'est aussi, en période de ramadan, le nombre d'enfants qui ne mangent plus à la cantine.Et, d'une manière plus générale, tous ces enfants qui refusent de manger parce que la viande n'est pas abattue rituellement.

    Y a-t-il des tensions entre enfants de confessions différentes ?

    Lors d'un reportage de RFI au collège Versailles, les enfants disent qu'il n'y a pas de problème avec les enfants juifs car de toute façon, s'il y en a, ils se cachent. Quant aux enfants issus de familles de culture chrétienne, ils vont dans le privé. Du coup, il n'y a pas de problème de ce type.

    À l'intérieur du collège, les enfants sont-ils influencés par des prosélytes ?

    Mais ce n'est pas qu'au collège ! À Versailles, on l'a vécu avec un petit livre prônant la Charia et interdit en France qui circulait. Et quand on a demandé d'où il venait, on a appris que c'était de la mosquée du surveillant. Aujourd'hui, ce surveillant, qui avait une aura certaine sur les enfants, serait fiché S. [...]

    Concernant les professeurs, sont-ils eux aussi contestés ?

    Ça peut arriver. J'évoque dans mon livre l'exemple d'une professeure issue de l'immigration, non croyante, qui se voit embêtée par les élèves car durant le ramadan, elle continue à manger à la cantine. Rares sont aussi les enseignantes qui ne viennent pas en pantalon pour éviter de choquer certains élèves garçons avec une jupe.

    [...] Je ne veux pas être polémique, mais quand je vois le maire de Marseille participer à l'inauguration d'une mosquée appartenant au mouvement tabligh, dont la finalité est la réislamisation des populations, je m'interroge. Quand la sénatrice Samia Ghali inaugure le collège privé musulman Ibn Khaldoun, je me dis que, ou alors, on est dans le clientélisme ou alors dans une inconscience totale. Il faut donc que les politiques prennent leurs responsabilités, peut-être même en revoyant la loi de 1905, ce qui permettrait de mieux contrôler ce qui se dit dans certaines écoles coraniques. Il y a un devoir de vigilance. On a les pieds et les poings liés par la séparation des Églises de l'État. [...]"

    Extrait du livre, montrant qu'il faut se méfier des musulmans bien intégrés :

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    Michel Janva

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  • Histoire & Actualité • Regards sur les rapports Islam-Europe depuis treize siècles [2]

    On sait que, sous diverses formes et une plus ou moins grande extension, la domination de l’Islam sur l’Espagne a duré presque huit siècles. Jusqu’à ce que la prise de Grenade, en 1492, achève la Reconquista. 

    Publié le 12.06.2009 - Actualisé (extraits) le 27.08.2017

    L'expulsion des Morisques d'Espagne

    Cet article évoque un exemple historique : l'expulsion des Morisques d'Espagne, qui fut promulguée par Philippe III d'Espagne, le 22 septembre 1609. Plus d’un siècle après la chute de Grenade.

    Et l'on verra que, sur deux points tout à fait majeurs, parler de l'Espagne de 1609 revient, sous plusieurs aspects, à parler de la France d’aujourd'hui, tant sont grandes, au point d'en être surprenantes, les ressemblances entre les deux situations*. 

    Les Morisques d'Espagne étaient ces descendants des populations d'origine musulmane converties au Christianisme par le décret des Rois catholiques du 14 février 1502. Parmi eux, il y avait des Arabes, des Berbères, mais également une grande majorité d'Espagnols qui s'étaient convertis depuis des siècles à l'Islam.

    Plus d'un siècle après leur conversion forcée au Christianisme, et bien que devenus, à force de métissage, physiquement indiscernables des « vieux chrétiens », une grande partie des Morisques se maintenait comme un groupe social cloisonné du reste de la société espagnole en dépit de la perte de l'usage de la langue arabe au bénéfice du castillan et de sa connaissance très pauvre des rites de l'Islam, religion que beaucoup continuaient toutefois à pratiquer en secret.   

    En 1568-1571 eut lieu la Rébellion des Alpujarras, menée par les Morisques de Grenade (le dernier territoire à avoir été reconquis par les Espagnols, en 1492, ce qui mit un terme aux presque huit siècles de Reconquista). L'opinion selon laquelle cette minorité religieuse constituait un véritable problème de sécurité nationale gagna alors, régulièrement, du terrain. [Illustration : femme morisque de Grenade]. Les morisques étaient couramment soupçonnés de complicité avec les Turcs, les pirates barbaresques qui pillaient périodiquement le littoral espagnol, ou même avec les Français. Mais surtout l'année 1604 marqua le début d'une récession économique dans la péninsule, conséquence d'une première baisse dans l'arrivée des ressources du Nouveau Monde. La dégradation des conditions de vie des Chrétiens les mena à considérer avec défiance celles des Morisques.

    C’est là un premier élément de ressemblance frappant entre les deux époques et les deux pays : la crise économique .

    La répartition des Morisques à l'intérieur de l'Espagne était assez irrégulière : si leur présence était négligeable en Castille et dans tout le nord/nord-ouest, ainsi qu'en Catalogne, ils représentaient environ le cinquième de la population de l'Aragon, le tiers de la population du royaume de Valence, et plus de 55% dans le royaume de Grenade. Selon les estimations, leur nombre pouvait s'élever - au minimum - à environ 325 000 membres et - au maximum - jusqu'à un million, sur un total d'approximativement 8,5 millions d'habitants. Mais il faut noter que leur taux de croissance démographique était nettement supérieur à celui des Chrétiens.

    Mais voici le deuxième élément de ressemblance frappante entre l'Espagne de 1609 et la France de 2017 : contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'expulsion des Morisques ne faisait pas du tout l'unanimité dans l'opinion publique de l'époque. En clair, il y avait des partisans (et nombreux, et farouches) de la présence de ces populations en Espagne. Et pour quelle(s) raison(s) ? Tout simplement parce que - pour ne parler que d'elles - les noblesses aragonaises et valenciennes profitaient de cet état de fait, particulièrement en termes de main-d'œuvre sur leurs terres. La classe paysanne, cependant, voyait les morisques d'un mauvais œil et les considérait comme des rivaux. Ne retrouve-t-on pas là nos patrons véreux d'aujourd'hui, qui ont fait le choix de compromettre l'avenir économique du pays, dans le but d'augmenter leurs profits immédiats, grâce à une main d'œuvre bon marché (ce que nous traduisons par chair à profit…), plutôt que d'investir dans la Recherche et préparer l'avenir par les investissements ?... Et, parallèlement, le petit peuple qui voit d'un mauvais œil ces concurrents sur un marché du travail qui se rétrécit ? (Voir les récentes manifestations ouvrières en Angleterre pour le travail anglais aux anglais...) 

    Jusqu'en 1608 la politique menée envers les Morisques avait été celle de la conversion, bien qu'il y ait eu quelques tentatives de politiques plus radicales de la part de Charles Ier (c'est-à-dire Charles Quint, le même roi étant Charles Premier d'Espagne et Charles V, empereur d'Allemagne) et de son fils Philippe II, respectivement en 1526 et 1582. Ce n'est cependant qu'à partir de 1608 que le Conseil d'État commença à envisager sérieusement le choix de l'expulsion, pour la recommander au souverain l'année suivante.

    Le déroulement de l'expulsion dans l'ensemble des royaumes espagnols se prolongea jusqu'en 1614. Le nombre de personnes ainsi concernées varie, comme nous l'avons vu plus haut, entre 300 000 (fourchette basse) et 1.000.000 (fourchette haute).          

    Il fut décidé de commencer par Valence (ci-contre), la zone la plus concernée par la mesure. Les préparatifs furent menés dans le plus grand secret. À partir du mois de septembre des régiments d'infanterie, les tercios, venus d'Italie prirent position dans le nord et le sud du royaume de Valence et le 22 du même mois le vice-roi ordonna la publication du décret. (Ceux dont parlera Hugo : « la redoutable infanterie espagnole » - Ci-contre, gravure d'époque de Vicente Carducho, Musée du Prado. On y voit bien la présence des troupes, à droite..) 

    L'aristocratie valencienne se réunit avec des représentants du gouvernement pour protester contre l'expulsion qui supposait une diminution significative de ses revenus, mais l'opposition faiblit avec la promesse de récupérer une part des propriétés terriennes des Morisques. On permit à ces derniers de prendre tout ce qu'ils pouvaient emporter, mais leurs maisons et terrains furent octroyés à leurs seigneurs, sous peine de mort en cas d'incendie ou de destruction avant le transfert des biens.         

    À partir du 30 septembre, ils furent menés aux différents ports du royaume, où on les obligea même à payer le trajet. Les premiers Morisques furent transportés vers Oran et les ports de l'Oranie, où ils furent quelquefois fort mal reçus et parfois même attaqués par les autochtones. Ceci causa de grandes craintes parmi la population morisque n'ayant pas encore été déportée, et le 20 octobre se produisit un soulèvement contre l'expulsion. Les rebelles furent vaincus en novembre et l'expulsion des Morisques valenciens fut menée à terme.

    Au début de 1610 eut lieu l'expulsion des Morisques aragonais, suivie en septembre par celle des catalans....

    On remarquera que nous nous bornons, ici, à rappeler un fait historique, et que notre but n'est pas de porter un jugement de valeur. Nous nous contentons de constater, à travers cet exemple, que si et quand un gouvernement, un Etat, un pays, décide, pour telle ou telle raison, d'expulser, il peut le faire, et que cela s'est vu dans l'histoire.... C'est une question de volonté politique. (A suivre)      

    * Cette comparaison presque absolue que l’on peut faire, sur deux points essentiels, entre la situation de l’Espagne d’alors et celle de la France d’aujourd’hui peut d'ailleurs s'étendre aussi, plus généralement, à l’Europe ; et, plus généralement encore, à l’ensemble du monde blanc...    

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Mosquées radicales : Joachim Véliocas invité de radio Méridien Zéro

  • L'islam tolérant existe-t-il ?

    Rien que cette question peut vous attirer une fatwa... François Billot de Lochner pose sur Liberté Politique des questions qui fâchent :

    "La question est fondamentale : si l’islam est tolérant, il peut tenir sa place sur l’échiquier mondial ; s’il ne l’est pas, il doit être contenu, voire combattu, car risquant de mettre en péril le fragile équilibre du monde.

    Depuis 14 siècles environ, une telle question fait encore débat, ce qui est tout de même surprenant : comment peut-elle être encore posée au terme d'une période de réflexion aussi longue ?

    Pour savoir si l'islam offre une possibilité de tolérance ou non, il suffit de se poser les quatre questions suivantes, qui permettent de se faire une idée précise sur ce système politico-religieux, de ses origines à nos jours : le concept de tolérance fut-il développé par son concepteur, se trouve-t-il valorisé dans le livre qui résume sa pensée, est-il appliqué dans les pays islamiques, est-il mis en exergue dans les communautés musulmanes des pays non islamiques ?

    Première question : le créateur de l'islam fut-il un adepte de la tolérance ?

    6a00d83451619c69e201b7c9195868970b-800wi.jpgL’histoire nous l’enseigne : Mahomet fut un homme animé par une violence extrême ; un homme de guerre, de sang, de conquête et de sexe à outrance ; un homme qui fut à la tolérance ce qu’Attila fut à l’amour du prochain ; un homme dont l'intolérance fut la marque de fabrique.

    - Seconde question : le Coran, sur lequel repose l’islam, laisse-t-il une place à la tolérance ?

    Le Coran est un livre politico-religieux de combat qui fait l'apologie de la violence et de la haine ; un livre qui justifie l'esclavage, le meurtre, le viol, la torture, le mensonge, la dissimulation ; un livre qui doit être au chevet de tout musulman, pour application obligatoire sous peine de damnation éternelle ; un livre d'une rare intolérance.

    Troisième question : les régimes fondés sur l'islam sont-ils tolérants ?

    Dans le monde entier, les régimes se réclamant de l'islam sont des pays de dictature. Ils font preuve, vis-à-vis des populations non musulmanes, au mieux d'un traitement inégalitaire, scandaleux et honteux, au pire de persécutions dont l'ampleur peut être terrifiante. L'épouvantable génocide de la population arménienne par les Turcs, au siècle dernier, en est une des illustrations éclatantes. Les paradisiaques îles Maldives en sont une autre preuve : la passion des touristes pour cet endroit mythifié cache une impitoyable et sanglante dictature islamique, les ignorants touristes enrichissant et perpétuant sans le savoir un système dictatorial dramatique. Ne parlons pas de l’Arabie Saoudite, du Soudan, du Pakistan, de l’Algérie, de l’Indonésie et de tant d’autres pays islamisés et donc objectivement invivables pour un non musulman.

    Quatrième question : l'islam installé en Occident est-il marqué par la tolérance ?

    Il suffit de se renseigner sur ce que professent la quasi-totalité des dirigeants politiques ou des intellectuels musulmans, les milliers d'imams sévissant dans les mosquées occidentales, les milliers de formateurs musulmans exerçant dans les centres de formation musulmans, les habitants des fameuses zones islamisées de non-droit qui prolifèrent en Occident, pour savoir que l'intolérance constitue l'une des armes principales du développement de l'islamisation du monde. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Hayange : la fête du cochon dérange

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    8931-20170826.jpgFaudra-t-il un jour supprimer le mot « cochon » de toutes les expressions françaises où celui-ci apparaît et le remplacer par un autre mot, comme transformer « cochon qui s’en dédit » par « merguez qui s’en dédit » ? Allez savoir. Le mot, comme l’explique Fabien Engelmann, maire FN d’Hayange (Moselle), semble être devenu un gros mot. Du moins aux yeux de quatre artistes – Caroline Loeb, Eve Angeli, Enzo Enzo et Ana Ka – et du producteur de leur spectacle Drôles de dames, Olivier Kaefer. Invités à venir chanter à Hayange le 3 septembre prochain, ils ont préféré annuler la prestation prévue de longue date en apprenant que celle-ci avait pour intitulé : Fête du cochon. Nos traditions d’abord.

    Lire la suite sur Present

  • PIERRE CASSEN : « CELA NE NOUS DÉRANGE PAS D’ÊTRE CLASSÉS ISLAMOPHOBES ! »

    Le maire Front national d’Hayange, Fabien Engelmann, vient d’être mis en cause dans un article du Monde parce qu’il allait participer aux 10 ans du site Riposte laïque, le 2 septembre prochain à Rungis. Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-derange-detre-classes-islamophobes/

  • Le terrorisme jihâdiste, pain béni pour les psychiatres

    6a00d83451619c69e201b8d2a2fb4c970c-200wi.jpgDe Bernard Antony : "On ne cesse de nous en persuader : heureusement le terrorisme jihâdiste n’a rien à voir avec l’islam. C’est la grande et heureuse affirmation historico-politico-religieuse et psycho-sociologique de ce mois d’août. Elle déferle sur toutes les chaines. Allah soit loué, la baliverne de l’islamisme terroriste est enfin déconstruite. Tous les terroristes sont simplement des déséquilibrés sociaux.

    Et ce n’est donc pas avec des policiers et des soldats que l’on viendra à bout du terrorisme qui tue partout au cri fallacieux « d’Allahou akbar » mais avec des psychiatres.

    Et notre brillant ministre de l’Intérieur, frère Gérard Collomb, d’en appeler, pour en finir avec les bombes, ceintures d’explosifs et camions-béliers, à plus de collaboration avec sa collègue du ministère de la Santé. Car il s’agit de mettre en œuvre autant de psychiatres qu’il faudra, dans les quartiers et dans les prisons pour déceler, dissuader, soigner, éduquer et insérer tous les malheureux jeunes terroristes poussés à commettre, sous prétexte de jihâd, des tueries certes regrettables mais dues à la misère psychologique sinon matérielle dans laquelle ils vivent.

    Certes la thérapie psychiatrique de masse, surtout au moyen de la psychanalyse, est de longue haleine mais elle est le prix à payer pour la paix.

    Le bon docteur Freud n’avait ainsi pas prévu l’immense débouché de ses analyses dans la prévention du terrorisme. Pourtant, de son vivant agissaient des myriades de terroristes : anarchistes, nihilistes bakouniniens, bolcheviques staliniens, pré-nazis de la Sainte Vehme, Serbes tchetniks et Croates oustachis, Irlandais de l’I.R.A., juifs de l’Irgoun et de la Haganah, Arméniens de l’Asala et allaient venir les Basques de l’E.T.A. C’est que ces terrorismes étaient, il est vrai, inhérents à des causes plus ou moins justes.

    Mais, objecteront certains, le modèle mythique des terrorismes n’était-il pas pour tous, des siècles auparavant, celui des haschischins islamistes du « Vieux de la Montagne » en ses forteresses d’Alamut ? Non, on peut certes imputer à bien des idéologies, à bien des nationalismes, à bien des anticolonialismes, les causes des terrorismes. Mais pas à l’islam ! Car, comme le dit François, « les textes sacrés de l’islam sont des livres de paix et de tolérance ». Lisez donc le Coran et les Hadîths et vous en serez persuadés. Et lisez aussi la Sira (biographie) du prophète, ce doux pacifiste intégral. Et bien sûr ceux qui osent affirmer que tous les salafismes, ceux des wahhabites et autres Frères musulmans, d’Al-Qaïda et de l’État Islamique sont l’imitation du prophète, ne sont évidemment que des menteurs.

    Enfin, ça y est, on le sait définitivement, répétons-le, le terrorisme n’a vraiment rien à voir avec l’islam ! Ce que l’on appelle le jihâdisme n’est que le fait d’une dénaturation de l’islam par conditions sociales oppressives entraînant des pathologies psychiatriques. On comprend l’effervescence jubilatoire qui désormais ne cesse de grandir parmi les psychiatres et dans leurs syndicats. Le chômage ne menace pas de sitôt leur profession ! Le gouvernement français va en recruter encore et encore. Et espérons que les autres gouvernements de l’Europe de l’Ouest en feront autant. C’est hélas moins sûr en Russie où les hôpitaux psychiatriques ont déjà servi et où Poutine a des idées bien personnelles trop peu humanistes peut-être sur la question du traitement des terroristes.

    Quoi qu’il en soit, il faut d’abord voir en face la scandaleuse dénaturation de l’islam, en soi si bienfaisant, par l’injustice sociale source de pathologies psychiatriques terroristes. Selon le bon docteur Dalil Boubakeur de la Mosquée de Paris, ce sont hélas, en France, les jeunes qui sont les plus affectés par les virus de la dénaturation salafiste. Selon des sources d’analyse comportementale convergentes, c’est sur un cinquième de la population musulmane qu’ils progresseraient, soit bien plus d’un million de « fidèles ». Mais ce n’est que dix sur cent environ de ce million qui seraient gagnés par une « radicalisation » plus dangereuse que celle du vieux parti de Jean-Michel Baylet.

    Cela aboutit, pour le moins, à un effectif de cent cinquante mille fanatiques prêts à passer à l’acte pour tuer des roumis. Or, on ne peut demander à un psychiatre de « suivre » sur la durée plus de dix jihâdistes à la fois, sans compter que ce n’est pas de tout repos et qu’il y a même des risques… Le recrutement de quelque neuf mille nouveaux psychiatres simultanément imams de préférence, s’impose donc.

    On le constate, le traitement psychiatrique du jihâdisme, c’est vraiment pain bénit chez nous pour les psychiatres dont la profession ne risquera plus le chômage.

    Mais quid de l’ensemble de l’Oumma islamique avec son milliard et demi de fidèles quand on doit bien constater que comme ses pays « phares », Arabie, Iran et Turquie, nombre de ses États et plus des trois quarts de sa population admirent ou appuient le jihâdisme. C’est dire comme le véritable, l’authentique islam, pacifique et tolérant, est rare en pays d’islam ! Mais là, comment mettre au travail et de surcroit sans l’appui des de la plupart des gouvernements, tous les psychiatres nécessaires pour éradiquer les pathologies psychiatriques dues aux virus de la radicalité propagées du Nigeria à l’Indonésie ?

    Comme ces pathologies affectent le tiers au moins de la population, la démonstration peut être facilement établie que ce n’est pas moins de… vingt millions de psychiatres qu’il faudrait, une fois guéris les gouvernants, pour ramener vers les douceurs de l’islam authentique les quelques deux cents millions de personnes chroniquement en proie à des psychoses jihâdistes.

    Mais heureusement tout de même qu’il n’y a aucun lien de cause à effet entre l’islam et le terrorisme."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/le-terrorisme-jih%C3%A2diste-pain-b%C3%A9nit-pour-les-psychiatres.html

  • Zoom - Xavier Raufer - Attentats de Barcelone : Une copie conforme de Bruxelles et Paris

  • "L'Europe sous la menace"

    La Une du Times nous change de nos quotidiens :

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    Quelques Unes de la presse française de ce jour avec ses sujets chauds de l'été... :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html