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France et politique française - Page 1054

  • Damien Tarel, le gifleur de Macron, se confie [Interview]

    Damien Tarel

    Il s’appelle Damien Tarel. Il a giflé Emmanuel Macron au cri de « Montjoie St Denis » et cela lui a coûté trois mois en prison. Nous l’avons interrogé quelques semaines après sa sortie de prison. Entretien brut.

    Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs, de la façon dont vous souhaiteriez être présenté ?

    Damien Tarel : Je suis Damien Tarel, un jeune drômois de 28 ans. J’ai autant travaillé dans les usines que fréquenté les bancs de la fac. Je suis attaché à ma ville de naissance et ma région que j’essaie de dynamiser avec plusieurs associations et suis actuellement étudiant en gestion de projet événementiel. Je pense que l’on peut dire que je suis quelqu’un de curieux avec beaucoup de passion notamment l’histoire et les arts martiaux.

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  • Politique & Eco n°313 avec Valérie Bugault – Trahison des institutions : la mort de l’Etat ?

    « Les institutions françaises n’existent plus… l’Etat est mort ! » L’invitée de « Politique & Eco », Valérie Bugault, explique pourquoi l’Etat français a disparu avec la première loi d’urgence sanitaire du 23 mars 2020 et en quoi elle viole la Constitution de la Vème République. Dès cette date, l’exécutif s’est affranchi des règles institutionnelles françaises au profit d’entreprises mondialisées, en témoigne la réception par Emmanuel Macron du club du Dolder (Big Pharma), en août dernier, présidé par le PDG de Pfizer, Albert Bourla.

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  • Destruction des fleurons français: “Macron n’est pas complice, il est auteur”, “ce n’est pas une accusation, c’est un fait” affirme Montebourg


    Entretien intégral :


    https://www.fdesouche.com/2021/09/26/destruction-des-fleurons-francais-macron-nest-pas-complice-il-est-auteur-ce-nest-pas-une-accusation-cest-un-fait-affirme-montebourg/

  • In memoriam Gilles Soulas, agence tous risques de la droite nationale

    Gilles Soulas

    Éditeur, libraire, militant de toutes les causes, Gilles Soulas (1955-2021) nous a brutalement quittés au petit matin, en ce dimanche 26 septembre. À près de 70 ans, rien n’avait pourtant vieilli en lui. Au contraire, tout était clair, le regard, l’attitude, le visage. On n’est pas prêt de l’oublier.

    Il était solide comme une poutre maîtresse. Il semblait indestructible. Les épaules taillées dans du chêne. Si quelqu’un n’avait pas besoin de rouler les siennes, c’était lui. Jamais il ne la ramenait, toujours taiseux sur ses nombreux faits d’arme. Mis bout à bout, ils étaient pourtant aussi épais que ceux d’un baroudeur, depuis le Liban, où il combattit en 1976 (Photo) aux côtés des Forces chrétiennes. Pas un mot plus haut que l’autre, sauf quand il fallait lever les poings pour s’interposer.

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  • Le Mouvement conservateur bouscule la primaire LR

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    Le Mouvement conservateur organisait aujourd’hui La Journée du conservatisme, avec un ensemble de table-rondes et d’interventions. Mouvement associé à LR, l’un des invités est … Eric Zemmour, que les caciques du parti souhaitent écarter. La présidente du mouvement, Laurence Trochu, a prévenu (Valérie Pécresse ?…) :

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  • Charles de Gaulle, la « Révolution conservatrice » et le personnalisme du mouvement l’Ordre nouveau 1/4

    Jean Lacouture, dans le premier tome de son De Gaulle, fait la part belle au colonel Mayer et à son cercle dans la formation intellectuelle du général. Certaines bonnes pages de cette somme sont d’ailleurs parues dans Le Nouvel Observateur sous le titre « L’homme qui a fait de De Gaulle un rebelle ». Cette annonce est quelque peu exagérée. Certes, le saint-cyrien de 1913 peut donner de lui une image assez conventionnelle dans ses carnets et correspondances, celle d’un jeune officier de la droite catholique.

    Pourtant, son adhésion résolue à la République traduit déjà une évolution nette par rapport à sa famille. Il est abonné aux Cahiers de la quinzaine (1900-1914) de Péguy, l’auteur de Victor-Marie, comte Hugo et de la Note sur M. Bergson et la philosophie bergsonienne. Les convergences entre de Gaulle et Péguy ont été maintes fois soulignées sans qu’il soit nécessaire de revenir sur ce sujet. Péguy, déçu par la gauche des combats dreyfusards, ne rejoint pas le camp des conservateurs. Il privilégie la mystique de l’idée républicaine et c’est sur ce terrain que de Gaulle peut le rejoindre.

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  • Bernard Antony revient sur le débat Eric Zemmour/Mélenchon

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    Source cliquez ici

    Deux jours à déguster son livre, (non sans un moment de hoquet…) et la soirée d’hier pour suivre son débat avec Mélenchon, ma semaine aura décidément été très occupée par les écrits et les propos télévisuels d‘Éric Zemmour.

     Je ne le regrette pas : à l’oral, comme il l’est à l’écrit, il a été le plus souvent excellent.

    Je connais Éric Zemmour depuis bien longtemps, lorsqu’il couvrait quelquefois les universités d’été du Front National que j’ai dirigées pendant dix-neuf ans.

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  • Sans l’indépendance de l’État, il n’y a pas de libertés, EDITORIAL de Philippe SCHNEIDER (la lorraine Royaliste).

    Nous vivons depuis main­te­nant près de 2 ans sous le signe du « Covid », de ses déri­vés et des consé­quences impo­sées par notre gouvernement.

    Dans le temps, ces mesures paraissent contra­dic­toires, impro­vi­sées.

    Cela est dû en grande par­tie à des contraintes maté­rielles : manque de masques, de lits dans les hôpi­taux, sur­tout en réani­ma­tion, mau­vaise orga­ni­sa­tion de notre sys­tème de san­té, beau­coup trop cen­tra­li­sé, à l’administration ten­ta­cu­laire et oné­reuse, etc.

    Des leçons sont à tirer de cet état de fait. Nous pou­vons repro­cher à notre gou­ver­ne­ment de ne rien faire pour amé­lio­rer la situa­tion pour pou­voir avoir les moyens de faire face lors d’une nou­velle épi­dé­mie, ce qui arri­ve­ra fata­le­ment. L’histoire nous montre que cela arrive régu­liè­re­ment et sans « pré­ve­nir ». Il faut donc être prêt. Au contraire, sans doute pour faire des éco­no­mies, il semble que le pou­voir aggrave les choses pour l’avenir : il y aurait eu encore des sup­pres­sions de places dans les hôpi­taux alors qu’il fau­drait en créer !

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