Un fait marquant de la vie démocratique occidentale est le manque de courage des hommes politiques lorsqu’ils sont au pouvoir et leurs éclairs de lucidité après avoir quitté leur mandat. Gérard Collomb, en quittant le ministère de l’Intérieur, avait affirmé : « Aujourd’hui, on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face ». Rythmés par une succession d’élections intermédiaires (municipales, départementales, régionales et européennes), les quinquennats présidentiels – déjà courts ! – sont bridés par la nécessité, pour le Président de la République, d’être plus ou moins toujours en campagne. En effet, chacune de ses décisions impacte les chances de son parti dans les urnes.
France et politique française - Page 1050
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Qu’attendre du président de la République ?, par Clément Martin
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Souveraineté énergétique : un combat permanent !, par Jacques Myard.
La souveraineté de la France, c’est-à-dire sa capacité à maîtriser son destin, de dire non, est le fondement même de notre liberté collective et de notre indépendance nationale. Mais la souveraineté n’est pas seulement un concept, elle se décline dans des politiques de mise en œuvre qui en assurent l’efficience.
À ce titre, la maîtrise de l’énergie dont peut disposer la France est incontournable pour son indépendance.
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Lundi soir, au Palais des Congrès de Paris, devant 4000 personnes : la rencontre Eric Zemmour / Michel Onfray
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Blanquer, ce « monstre froid »
De Claude Meunier-Berthelot pour le Salon beige :
Blanquer, ce « monstre froid », n’épargnera décidément rien à nos enfants ! Doté d’un cynisme sans limite, il serait grand temps que tous en prennent la mesure pour combattre sans coup férir sa dernière décision en date qui constitue un véritable crime contre l’humanité de nos enfants.
Non seulement J.-M. Blanquer travaille sans relâche à la destruction de leurs potentialités intellectuelles, achevant avec une farouche détermination, la destruction irréversible de l’institution scolaire, du primaire à l’université, par la mise en œuvre de réformes censées rehausser le niveau des diplômes sous le masque d’une désinformation éhontée, mais il s’en prend également à leur identité physique et à leur équilibre mental.
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Un référendum pour réformer la droit de la nationalité et la politique d’immigration
Marine Le Pen a dévoilé les grandes lignes de sa politique migratoire. Un projet de loi devra être adopté par les Français par référendum. Elle explique dans Valeurs Actuelles :
Ce référendum sera organisé le plus rapidement possible après mon élection. Une fois la séquence électorale des présidentielles et des législatives terminée, ce sera l’une des premières mesures mises en place. On ne peut pas organiser un référendum sans débat, je veux que les Français se saisissent de ce sujet et qu’ils votent en toute connaissance de cause, en ayant étudié mon projet de loi.
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Présidentielle ? Et si on passait à autre chose ?
Depuis quelques jours et quelques sondages, l’élection présidentielle apparaît plus ouverte qu’annoncée auparavant : durant quatre ans, les médias ont entretenu l’idée que le second tour ne serait rien d’autre que la répétition (à défaut d’être la revanche) de celui de la précédente élection de 2017, condamnant ainsi l’électorat à un choix peu motivant entre Mme Le Pen et M. Macron : il n’est pas certain que le choix final qui pourrait sortir de la joute du printemps prochain soit forcément plus heureux !
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Michel Maffesoli : Le Temps des soulèvements
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Présidentielle : la machine médiatique en marche
Il y a cinq ans, Polémia, sous la plume de Jean-Henri d’Avirac était le premier média à envisager la victoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle de 2017. Voici un article de Jean-Henri d’Avirac qui décrit froidement et cliniquement le cynisme du monde politico médiatique.
Des médias gouvernés par l’argent plus encore que par l’idéologie (ce qui explique le phénomène Zemmour : il fait de l’audience !)
Un président Macron dont la politique sanitaire est moins dictée par les exigences du « grand reset » que par le calendrier de sa réélection !
Reste le fait que le mot COVID n’a pas été prononcé lors du débat Zemmour/Mélenchon qui a explosé toutes les audiences (4 millions de spectateurs) : sans doute un indice du retour au premier plan des préoccupations politiques des questions identitaires et régaliennes ainsi que sociales.
En tout cas voilà un article qui décoiffe.
Polémia -
Eric Zemmour ou la figure du rebelle
Le billet de Patrick Parment
Chaque jour qu’Odin fait voit la cote d’Eric Zemmour monter, grandir au point de venir talonner tous ces professionnels de la politique qui ne sont plus depuis belle lurette les vrais représentants du peuple. Tous ne sont élus que par défaut et par des minorités au point que l’on peut se poser la question de savoir dans quelle démocratie – ou son absence - nous sommes.
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Emmanuel Macron envoie Véran et Castaner combattre un « nouveau virus » : Éric Zemmour…
Où est donc passé le Covid ? Loin, très loin. Et très loin derrière Zemmour. Et ça tombe bien, car Emmanuel Macron a ainsi pu envoyer un Olivier Véran désœuvré pour le combattre. Et, d’ailleurs, lors des journées de rentrée LREM à Avignon, Éric Zemmour a été explicitement qualifié de « virus ». C’est le délégué général adjoint de LREM, un certain Jean-Marc Borello, qui s’est chargé de déverser cette argumentation “médicale” que l’on croyait enfermée dans les congélateurs des dictatures : il s’est emporté contre ce « virus nouveau » qui représenterait « 15 % du corps électoral » et qui « se traduit par des désordres mentaux, un peu de machisme, un peu d’homophobie ». Médicalisation et psychiatrisation de l’adversaire politique : le parti d’Emmanuel Macron en est là…