Que reste-il ?
Les maux dont nous souffrons restent principalement les mêmes dénoncés depuis des décennies.
- Crise économique et faillite du libéralisme avec ses conséquences…
- une population salariale sans protection professionnelle à la différence des avocats et médecins qui, eux possèdent la propriété du métier.
- un nouvel esclavage dans la concurrence avec le Tiers-monde et les délocalisations
- un certain patronat libéral sans foi ni loi, exporte ses entreprises à l’autre bout du monde, la main sur le cœur et parlant de république des droits de l’homme mais acceptant pour plus de profit, le déplacement de ses capitaux en mettant en faillite des familles entières de salariés…
- un Etat ayant perdu toute indépendance politique face à l’économique, devenu un satellite de l’Europe décidant de la vie ou de la mort de pan entier de son économie : agriculture, pêche, industrie au profit d’autres pays
- un syndicalisme ne représentant plus le monde du travail mais la politique et dont les adhésions fondent comme neige au soleil
- Un Etat sacrifiant son peuple en acceptant que la misère du monde vienne s’implanter ici.
- une politique suicidaire en matière de démographie, un Etat ripoux-blicain surendetté dans une marche vers l’abime et le néant
La plupart des lois sociales instituées, Conseil économique et sociale, sécurité sociale, participation, loi des 8 heures…n’ont pas l’étendue réelle et l’autonomie dont les royalistes rêvaient qu’elles puissent avoir dans un véritable pays libre. Ces lois furent limitées par le système pour en garder le contrôle, comme pour la décentralisation.
- Une perte de confiance totale envers un gouvernement n’hésitant pas à agiter les risques d’une pandémie mondiale, alors que tout le monde connait les relations privilégiées entre les gouvernements et la finance, l’OMS et certaines grandes firmes pharmaceutiques…
On en vient à craindre sur l’intérêt réel de nos gouvernants basculant entre la santé du peuple et les intérêts boursiers.la mise en place d’un vaccin dont on ne connait pas les effets secondaires, sommes nous revenus à la triste époque du sang contaminé.
Rappelez-vous : « responsable mais pas coupable » Défendons-nous et Libérons nous de la République anti-sociale…