La Guerre contre le Djihad mondial. En France, on accueille les islamistes, en Russie, on les chasse. D’un côté, des Français, qui connaissent les enjeux, mais qui répugnent à se battre. De l’autre, des Russes qui se donnent les moyens de vaincre.
Nul doute que la Russie, elle, existera toujours dans 50 ans. Des Russes encore orthodoxes, qui boiront toujours de la vodka, sans respect pour le Ramadan, et chanteront, en russe, au son de la balalaïka.
Que la Russie ait un avenir, c’est le fruit d’une stratégie, qui a été pensée par des politiques, des généraux, qui pratiquent intensément le jeu d’échec, mais qui est aussi intégrée, au quotidien, par une nation fière, dure, héroïque, qui n'a pas cessé de croire que la sainteté de la terre russe exige ses martyrs.
Sur le plan purement militaire, l’offensive islamiste Tchétchène armée a été stoppée durablement, en 1999-2000, lors de la seconde guerre de Tchétchénie, laquelle a été menée et achevée de manière plus radicale que la première guerre, ce qui n’est pas sans rappeler la radicalité avec laquelle les Américains avaient vaincu définitivement l'Axe, en cette période de commémoration des bombardements atomiques de Hiroshima et de Nagasaki en août 1945.
La radicalité de la Russie montre son efficacité.
Du coup les islamistes Tchétchènes sont allé frapper une ville de prestige aux États-Unis, où cela pose toujours un problème de dénoncer l’Islam, malgré la haine évidente des foules musulmanes pour l'Amérique, et où la gueule d’ange de l’assassin de masse de Boston pourrait émouvoir un public américain fasciné par l’image, et ainsi détruire sa détermination à combattre un péril mortel, mais qui peut revêtir une forme séduisante.
Ce genre de problématique n’existe pas chez les Russes, qui sont rarement préoccupés de leur aspect, éprouvent peu de compassion pour leurs bourreaux, et ne sont pas atteints de la maladie mortelle de l’homme occidental moderne, maladie qui a fait des ravages, en son temps, chez le peuple Juif : la haine de soi.
Car, pour pouvoir balancer des bombes A sur Hiroshima et canonner Grozny jusqu’à sa destruction quasi-totale, il a fallu, respectivement, le soutien de la population civile américaine de 1945 et russe de 2000.
Aujourd'hui, le peuple russe se sent menacé, il fait preuve de détermination, et il soutient ses guerriers qui agissent pour sa survie.
Les guerriers ne sont pas des hommes ordinaires, même s'ils font semblant de l'être, en France, sous la pression de l'idéologie dominante.
N’en déplaise aux gauchos-féminos-écolos-bobos-castrateurs de l’Homme Blanc, mais qui aspirent à être esclavagés par le Sauvage de Brétigny ou de Trappes - pourvu, lui, de tous ses attributs virils-, la race ou la caste des Guerriers, en réalité, ne déteste pas le combat ; en tout cas, pas au point de considérer, que tout, absolument tout, doit être fait pour l’éviter.
Au contraire, les Guerriers pensent que la défense de leur Patrie, de leur style de vie et de leurs valeurs exige qu’ils partent à la guerre, s’il le faut, et qu’ils vainquent, même, si pour cela, il faut détruire Hambourg, Nagasaki ou Grozny.
Pour gagner une guerre, il faut donc des guerriers et une nation derrière ses guerriers. Un guerrier, c’est traditionnellement viril.
C’est pourquoi la Russie chasse toute féminisation des hommes Russes.
La Russie fait ainsi la chasse à toute forme de lobbies, qui, par la promotion des relations sexuelles non-traditionnelles, visent, à la fois, la fin du Guerrier Russe et la destruction de la famille russe orthodoxe traditionnelle.
Ainsi, la Russie a contre-attaqué, en dénigrant, en interdisant la nouvelle religion de Sodome, qui est, a contrario, légalisée et encouragée par le pouvoir en France qui, lui, vise la fin du Guerrier Français et la destruction de la famille française catholique traditionnelle.
La Russie, grâce à sa nouvelle loi, fait, en même temps, la promotion de l’Église orthodoxe, et donc de la Russie de souche, et celle du mariage traditionnel, donc de la virilité.
La Russie, un peuple patriote, ayant foi en ses traditions, ayant conservé le sens du sacré, fier de ses guerriers qui repoussent l’invasion islamique.
Références