En dépit des polémiques infantiles, le débat qui s’ouvre sur la Grande Guerre ne peut que nous faire du bien
Le 11 novembre de cette année doit être le signal du lancement des cérémonies qui vont entourer le centenaire de la « très grande guerre ».
Première grande commémoration qui se déroulera en l’absence des témoins de la tragédie, le dernier poilu Lazare Ponticelli nous ayant quittés le 15 mars 2008.
La classe politique, toutes tendances confondues, se prépare. Pour être au premier rang des commémorations1, pour prendre les initiatives officielles qui feront parler d’elles, plus de mille annoncées. Pour publier aussi comme Jean-François Copé, par exemple2. L’Université fourbit ses armes. Il y aura des vrais débats, de saines polémiques, et aussi des analyses définitives, des excommunications et des anathèmes. [...]
Régis de Castelneau - La suite sur Causeur