Victime de harcèlement et de persécutions au collège, comme des milliers de gamins livrés en pâture à la racaille par une gauchiasse libérale criminelle, Marion, 13 ans, avait fini par se suicider.
Sa mère, Nora Fraisse, ignorée par Hollande, Peillon, Ayrault, Valls et Taubira, mais aussi les grand médias, trop occupés à condamner les lamentables âneries de Minute, livre un bouleversant témoignage. Même si elle ne dit pas tout de cette racaille chère à la gauchiasse -de Désir à Merluchon en passant par Besancenot, à toutes les officines tribalistes et victimaires, CCIF, CRAN, CRIF et autres Moualek, Diallo, Aram, BHL farcis de haine anti-française – qui partout en France, humilie ce pays. Une racaille produite par la rencontre hideuse entre libéralisme et gauchisme, sur fond de haine de la France.
Après deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d’Evry, ses parents ont décidé jeudi de déposer à Paris une nouvelle plainte avec constitution de partie civile afin qu’un juge enquête. Une plainte pour « violences », « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger ». Sur Europe 1, la mère de la jeune Marion revient sur ce jour terrible.
Nora Fraisse : « Aujourd’hui, les bons élèves… par Europe1fr
La jeune fille, scolarisée en 3e au collège Jean-Monnet, l’agent de la CIA symbole de la « construction européenne » à Bris-sous-Forges, dans l’Essonne, a laissé des lettres. « Elle disait que sa vie a dérapé, a basculé. Personne ne l’a compris. Elle décrit les principales insultes, les principales menaces. Elle donne les noms des principaux harceleurs. Elle garde cette douceur et cette sensibilité qui la caractérisaient. Elle trouve les mots justes, les mots doux, malgré sa souffrance. Et elle nous dit adieu. Et elle remercie, elle dit : « Merci pour ceux qui m’aimaient pour ce que je suis et non pas ce que je ne suis pas. », relate sa maman, la voix étranglée par l’émotion. On n’aura pas les noms, on s’en doute. Taubira, Valls et Hollande ne le permettraient pas. Les ligues anti-françaises non plus.
Humiliée, rabaissée, menacée de mort
Les parents de Marion veulent aujourd’hui la nomination d’un juge pour « faire toute la lumière sur ce qui s’est passé parce que nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement, et nous portons plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre ». Scolarisés dans la classe de 4e de sa fille, mais aussi dans d’autres classes, ils n’ont jamais été inquiétés après la mort de Marion. « Malgré tout l’amour qu’on lui portait, elle a été humiliée, rabaissée ». Le jour de son suicide, elle avait été violentée dans la cour de récréation, en présence des surveillants.
« Elle m’a appelée, elle s’était réfugiée aux toilettes, en me disant : « Je ne vais pas bien, il faut que je rentre (….) elle a eu de vraies menaces de mort. (Le jour de son décès) elle était attendue au collège par ses harceleurs pour lui faire la peau », explique Nora Fraisse. Et de poursuivre ; « Je dis aux harceleurs : ce que vous avez fait est intolérable, inadmissible, inexcusable. Ca doit être sanctionné de manière très sévère. Il n’y a pas d’excuse de minorité. Quand on a 14 ans, que délibérément on pousse quelqu’un au suicide, on l’anéantit, on lui fait perdre l’estime de soi, et bien on se met face à ses responsabilités ».
L’idéologie gauchiasse, perverse et criminelle
Les parents de Marion ont décidé aussi de la mener cette démarche judiciaire pour dénoncer le « silence » et « le mépris » de l’Éducation nationale et des représentants de l’État. « Je peux vous dire aujourd’hui : 9 mois après le décès de Marion, aucun enseignant n’a pris contact avec nous. Aucun n’a donné un mot de condoléances », témoigne Nora Fraisse. Dénonçant dans un courrier des « carences et des lacunes gravissimes dans l’encadrement des élèves et la discipline », ils demandent à Peillon une inspection approfondie de l’établissement.
Cette démarche, Nora Fraisse la fait aussi pour tous « les autres enfants » qui se trouvent aujourd’hui dans cette situation. Pour leur dire qu’il existe des tas de recours. « Je dis aux enfants qui nous écoutent : si vous avez peur, dites-le. Si vous ne voulez plus aller à l’école, n’y allez plus ! Il vaut mieux rater une année d’école que rater sa vie ».
Pour la sécurité de nos enfants, mettons les bonnets rouges et débarrassons le pays de la gauchiasse !