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Hollande : une marionnette au service de la finance apatride

Encore un coup de massue pour François Hollande. Le Journal du dimanche a publié le 3 novembre un sondage, indiquant que 91 % des Français veulent que le chef de l'État change, alors que sa cote de popularité sombre. Jamais un président de la République n'a connu un tel désamour, dix-huit mois seulement après son élection qui, rappelons-le, était bien davantage due au rejet de Nicolas Sarkozy qu'à une quelconque adhésion à sa personne ou à son projet présidentiel. Ce qui est toutefois frappant depuis une trentaine d'années maintenant, c'est que les électeurs se montrent désenchantés de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. Il est loin le temps où le général De Gaulle avait envisagé de se retirer du second tour de la présidentielle de décembre 1965 parce qu'il avait été mis en ballotage. Un affront jugé insupportable par le fondateur de la Ve République qui démissionna d'ailleurs, en avril 1969, lorsqu'il perdit le référendum sur la réforme du Sénat. De nos jours, les hommes qui logent au 55 rue du faubourg Saint-Honoré n'ont pas de ces scrupules. Ils profitent jusqu'au dernier moment des avantages de la fonction présidentielle même s'ils sont détestés par le pays, que leur parti perd toutes les élections intermédiaires, que les partielles et enquêtes d'opinion sont également calamiteuses. Nicolas Sarkozy était devenu impopulaire au bout de huit mois, ce qui était déjà un record ; il a fallu moins d'un semestre pour que son successeur se heurte à un fort mécontentement des Français.
Il faut dire qu'aujourd'hui personne ne peut cacher les conséquences désastreuses de la mondialisation c'est-à-dire de la soumission des politiciens et des dirigeants à la finance apatride. Pendant les Trente Glorieuses nos compatriotes ont globalement accepté l'américanisation de notre société car à ce moment-là le pays s'est enrichi et l'on connaissait quasiment le plein emploi. Les anciens nous racontent volontiers que lorsqu'on quittait une activité professionnelle l'on ne se faisait alors guère de souci car l'on était à peu près sûr d'être rapidement réembauché. Tel n'est plus le cas aujourd'hui. On a vu à travers le vote Front national, mais aussi à travers les référendums sur Maastricht en 1992 et plus encore sur le projet de Constitution européenne en 2005 qu'une partie de plus en plus importante de la population souffrait dans sa vie quotidienne des effets délétères de la destruction de la nation. Déjà, il y a vingt et un ans, le oui à Maastricht ne l'a emporté qu'à cause des grandes villes. Les campagnes avaient majoritairement dit non à cette Europe mondialisée et antinationale. Trois semaines avant le scrutin, le non à Maastricht culminait à 53 % dans les sondages. Deux faits ont au dernier moment changé la donne : d'une part le débat télévisé truqué entre François Mitterrand et Philippe Séguin qui avait été volontairement lamentable dans sa prestation face au chef de l’État de l'époque. Il faut croire que de fortes pressions s'étaient exercées sur lui. Le Nouvel Observateur avait à l'époque implicitement vendu la mèche en écrivant que plus le non montait dans les sondages, plus Séguin était sombre et désabusé. On avait dû lui faire comprendre que s'il ne levait pas le pied sa carrière politique était finie. Il est d'ailleurs allé quelques mois plus tard faire repentance à Aix-la-Chapelle. Cela ne lui a guère servi vu la suite de son parcours... Mais c'est aussi l'instrumentalisation scandaleuse du cancer de la prostate de Mitterrand quelques jours avant le référendum qui s'avéra décisif. Un épisode d'autant plus honteux qu'on apprit par la suite que l'homme de Jarnac souffrait de cette longue maladie depuis plus de onze ans ! Mais en agissant ainsi le président socialiste servait parfaitement les intérêts mondialistes.
On ne comprend rien en effet à l'histoire politique contemporaine de la France si l'on ne sait pas que les principaux hommes politiques français sont les créatures des grands financiers. Comment expliquer par exemple que Georges Pompidou, obscur normalien issu du Massif central, ait eu la brillante carrière politique qui fut la sienne si l'on ignore qu’il était l’homme des Rothschild en France. Et ce n'est pas un hasard si c'est lui (c'est-à-dire le clan qu'il servait) qui a assuré à Chirac et à Balladur leur carrière ? Les gouvernements et les présidents passent mais ce sont toujours les mêmes qui dirigent. Sait-on que le secrétaire général adjoint de la présidence de la République sous Hollande s'appelle Emmanuel Macron et qu'il était jusqu'à sa nomination en mai 2012 banquier d'affaires chez Rothschild ? Sait-on pareillement qu'avant lui, sous Sarkozy, le secrétaire général adjoint de la présidence de la République s'appelait François Pérol, lequel fut jusqu'à sa nomination en mai 2007 banquier d'affaires et associé-gérant de la banque Rothschild & Cie ? Ce n'est pas un hasard si à ce poste stratégique de conseiller spécial du chef de l'Etat l'on place systématiquement un homme du clan Rothschild. On le voit, contrairement à ce que croient les imbéciles et les ignorants, il n'y a pas de droite et de gauche en France, il n'y a pas plusieurs partis politiques, différents programmes de gouvernement, il n'y a que des marionnettes agitées en coulisses par des manipulateurs appartenant à cette petite minorité qui aurait tant souffert. La vie politique n'est qu'un théâtre d'ombres ; c'est le théâtre de guignols. Et c'est pourquoi, quels que soient les majorités et les présidents, la France continue à se déliter. Car le but de ces banquiers apatrides est de nous détruire, de nous déposséder, de nous voler notre terre, nos racines, nos terroirs, nos traditions et même notre corps et notre âme. Par le métissage généralisé, par la destruction de la famille et de la morale naturelle. Par l'organisation préméditée d'un appauvrissement général du peuple et d'un effondrement de l'économie. Par la promulgation de lois, de directives, de décrets imposant l'abominable théorie du genre, le non moins vomitif "mariage" homosexuel, sans parler de la banalisation voulue de la pornographie, etc. Dans ces conditions que le chef de l'État s'appelle Georges, Valéry, François, Jacques ou Nicolas ne change rien à l'affaire.
RIVAROL du 7 novembre 2013
jeromebourbon@yahoo.fr

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