En Grande-Bretagne comme en France, un enfant sur deux est élevé par un seul parent. Les tenants de la culture de mort, bien sûr, en voulant détruire la famille traditionnelle notamment par la révolution sexuelle et le gender, ne se rendent absolument pas compte des dégâts qu’ils peuvent faire notamment en encourageant les couples féminins homosexuels.
L’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill de Montréal vient de publier une étude dans la revue Cerebral Cortex. Les chercheurs ont constaté que les souris élevées sans leur « père » avaient un comportement tout à fait anormal, et notamment une agressivité et un comportement antisocial. Ils ont remarqué que le lobe préfrontal du cerveau était difforme. Bien sûr, ils ont essayé de rapprocher cette observation de ce qui était connu concernant les enfants élevés sans père. Les résultats ont été sans appel. Les troubles constatés chez la souris étaient les mêmes. De plus chez les hommes s’ajoutait à l’anomalie du comportement social, la difficulté à prendre les décisions et à résoudre des problèmes. La découverte semble anodine ; elle ne l’est pas car il s’agit d’une preuve expérimentale biologique de la transformation du cerveau des enfants élevés sans père.
En 2011, par exemple, des chercheurs de l’Université de Melbourne ont trouvé que le comportement délinquant a été réduit de 7,6 pour cent chez les garçons qui vivaient avec leur père biologique. Mais surtout en juin dernier, le Centre pour la Justice sociale en Grande- Bretagne a publié un rapport intitulé « Familles fracturées, questions. Pourquoi la stabilité ? ». Il apparaît que l’absence du père a un effet littéralement « dévastateur ». Les enfants élevés par leur seule mère ou les beaux-parents ont une chance (ou plutôt une malchance) augmentée de moitié de ne pas réussir leurs études. Ils ont une faible estime d’eux-mêmes, ont des troubles du comportement et ont du mal à se faire des amis.
Il est ajouté de plus que la rupture du couple affecte les parents de l’enfant dans leur travail ou la recherche d’emplois. Il est mentionné aussi que les unions libres multiplient par trois les chances d’éclatement des communautés familiales.
Les Français qui ont un peu de mémoire se souviendront des chansons déchirantes de Georges Chelon Le père prodigue et de Claude François, Le téléphone pleure qui clament la souffrance des enfants élevés sans père.
Source http://medias-presse.info/monoparentalite-des-souris-et-des-hommes/3680