A propos de la suppression de la détresse de la femme enceinte, le député Poisson déclare à Famille chrétienne :
"Il y a en effet une espèce d’enfermement. Les promoteurs du droit à l’avortement sans conditions sont très mal à l’aise à devoir considérer qu’on est en train d’organiser le droit à quelque chose qui est un mal profond considéré comme un bien ! C’est un paradoxe insoluble. Ainsi, à défaut d’une majorité politique pour supprimer ce droit, je souhaite que tous les moyens soient pris pour informer, écouter et accompagner les femmes. Éduquer les hommes qui sont souvent les auteurs des pressions les plus insupportables pour les femmes qui se retrouvent dans cette situation. Tout cela fait partie d’une éducation qui est large, qui devrait pouvoir écarter les femmes du recours à l’avortement."