Sans vouloir porter atteinte à l’image du chef de l’État, on dira que François Hollande n’a pas exactement le physique ni le charisme du « mâle dominant ».
Sans vouloir porter atteinte à l’image du chef de l’État, on dira que François Hollande n’a pas exactement le physique ni le charisme du « mâle dominant ». L’estomac plutôt du côté des loukoums que des tablettes de chocolat, de prime abord pas franchement débordant de testostérone (si tant est qu’elle soit l’hormone de la décision et de l’autorité), il n’en draine pas moins autour de lui quelques femelles de belle envergure.
Certes, on ne lui connaît pour l’instant que trois femmes, mais on se dit que pour celles-ci – connues –, il y en a peut-être bien d’autres qui ne le sont pas.