Après une campagne éludée, logique les socialos n’avaient pas intérêt à ce que soit un vote sur leur brillante politique. C’est de bonne guerre.
Sauf qu’il y a largement matière à sanctionner les gestions calamiteuses locales.
Les divers candidats y sont allés de leurs promesses mirifiques !
Des logements sociaux
Des palais des congrès ou des sports
Des zones commerciales
Des lignes de tramway
Des rocades
Des ronds- points
Des crèches
Des services pour les vieux, les handicapés...
Des dépenses à tout- va...
Or, à l’occasion de ces élections le vrai sujet n’a été abordé par personne, surtout pas par les bouffons qui font office de journalistes. Nous sommes parmi les seuls à avoir évoqué cette question dans un récent article. A savoir l’endettement colossal des principales villes de France et leur situation de faillite ( elles en sont à emprunter pour payer les salaires de leurs ribambelles d’employés). Même la vertueuse Nantes de Zéro 1er est parmi les plus endettées... Logiquement la plupart d’entre elles devraient être sous tutelle.
C’est comme pour les banques, c’est silence général sur cette bombe atomique à retardement.
Pendant ce temps les potentats locaux responsable de ce désastre financier plastronnent. Ils prétendent souvent avoir réduit la dette de leur commune, sauf que c’est un camouflage de la réalité, certains diront de la cavalerie, puisque l’essentiel a été transféré aux Agglos... Et demain aux 15 métropoles ( en résumé les 15 plus grosses villes de France), là où se trouve le vrai pouvoir !
La solution ? Ils l’ont déjà, c’est la forte hausse des impôts locaux.
Maintenant ils ont raison, ils seront majoritairement réélus.
Nota : ce Dimanche électoral il y aura peut être un fil continu en brèves, ça dépend de l’humeur...