PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
Hier s’est ouverte à Sciences-Po pour la cinquième année consécutive la Queer Week. Se définissent comme Queer des personnes qui refusent d’être déterminées par leur sexe (homme ou femme) ou leurs pratiques sexuelles. L’école qui forme ceux qui se considèrent comme l’élite de la nation, se met donc concrètement aux couleurs du lobby LGBTIQ, Lesbien-Gay-Bisexuel-Transsexuel-Intersexué-Queer pendant une semaine.
Au programme : militantisme homosexuel et transsexuel, diffusions de films à thèmes, pornographie, et même pour les plus aventureux, des ateliers en groupe. Les participants pourront assister à des conférences sur des thèmes divers, comme « les plaisirs de l’éco-sex » ou encore « l’histoire des objets de plaisir ». Les ateliers ne manquent pas non plus d’imagination, en témoigne leur thème : écrire son scénario sexuel, se réapproprier son corps trans par les trans eux‑mêmes, massage et jeux de corde. Une performance est également programmée dans les jardins de Sciences-Po, consacrée au rituel d’activation de fétiches. Tout un programme…
L’idéologie du genre a donc de beaux jours devant elle, à n’en pas douter.