La finance ne serait donc plus l’ennemi du Parti socialiste… Mais de qui le PS serait-il alors l’ami ? Pas du peuple français, manifestement.
Sacré Michel ! Avec son humour noir qui sent un peu le Sapin… Ainsi, à Aix-en-Provence, ce week-end dernier, enterrait-il les promesses du candidat François Hollande, pour lequel l’« adversaire, [était] la finance. »( Aujourd’hui, à en croire le ministre de ces mêmes Finances, « notre amie, c’est la finance, la bonne finance… »
Comme du temps des Inconnus, il y avait « les bons chasseurs et les mauvais chasseurs », il y aurait désormais les « bons » financiers et les « mauvais » financiers, serait-on tentés de rappeler, pour demeurer dans le genre comique troupier. Comment distinguer les premiers des seconds, l’histoire, grande comme petite, de Lombards en Templiers, ne le dit évidemment pas.