Après tout cette question peut toujours être posée, et si vous ne vous l’êtes jamais posée vous-même d’autres vous ont sans doute interrogé de la sorte.
Djihadisme, tournées de sécurisation, supporteurs algériens, soutien à Anne-Sophie Leclere, conférences et séminaires de formation sont autant de réponses que l’on peut énumérer. Car ces trois derniers mois nous avons amplement démontré, ou rappelé, quelle était notre vocation : être à la fois la première ligne et l’aiguillon du camp patriote (au sens large) et même parfois de l’ensemble de la vie politique française.
Nous jouons souvent le rôle d’éclaireurs, quand ce n’est pas carrément de démineurs. Un peu plus loin, on nous observe, avançant sur le champ de bataille, pour voir si ça saute… Le chemin sécurisé, ils se risquent à avancer. Enfin, pas toujours d’ailleurs. J’entends souvent de bonnes âmes nous dire que nous pouvons nous le permettre, mais pas les partis, pas les élus. Nous pourrions faire ou dire ci ou ça, mais pas eux. Parce que nous nous n’avons pas d’emplois, pas de familles peut-être ? Parce que nos procès nous coûtent moins cher ?!
Si nous n’avons pas raccroché les gants depuis 12 ans c’est justement parce que nous constatons que sur les questions que nous considérons comme les plus cruciales (pour résumer : la disparition de notre peuple!) nous sommes les seuls à « faire le job ». Oui l’immigration massive est un drame et un péril mortel pour notre pays et notre civilisation, oui la seule solution envisageable, la seule issue pacifique, est bien la remigration c’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majeure partie des immigrés ou des personnes d’origine immigrée résidant aujourd’hui en Europe. Et oui, nous sommes les seuls à le dire et il faut bien que cette parole existe et soit entendue. On ne peut pas bercer les Français d’illusions, qu’on les appelle réconciliation ou assimilation.
Le recentrage du FN et le tropisme souverainiste de certains de ses cadres (encore récemment occupés à débattre seulement sur l’euro ou la réforme territoriale pendant que les drapeaux algériens flottaient dans nos rues) imposent que nous parlions encore plus clair et encore plus fort sur ces sujets primordiaux.
Soutenir le Bloc, adhérer, militer, donner, c’est déjà au moins forcer les « grands partis » à ne pas dévier. Renforcer le Bloc c’est renforcer l’ensemble du camp patriote en lui donnant une boussole solide pour indiquer la voie : direction Reconquête !
Fabrice Robert,
Président du Bloc identitaire
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