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« Le plus difficile est de poursuivre, mais c’est indispensable »

Entretien avec Ludovine de La Rochère par Charlotte d’Ornellas.

Ce week-end, la Manif pour tous tenait sa deuxième Université d’été à Palavas-les-Flots sur le thème de la manifestation nationale du 5 octobre prochain : « Genre, PMA, GPA, le changement de civilisation, c’est toujours maintenant ! »

Quels étaient les objectifs fixés pour cette deuxième Université d’été ?

Le but premier est de se former et de mettre à jour les connaissances déjà acquises, mais c’est aussi l’occasion pour les sympathisants et les bénévoles de se retrouver.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avons choisi un camping à Palavas-les-Flots, pour aller à notre tour vers les sympathisants du sud de la France qui sont venus tant de fois à Paris et de se rapprocher des jeunes par un cadre peu conventionnel !

Vous consacrez beaucoup d’énergie à la formation, donc. Que deviendront ces gens formés ?

Le combat que nous menons nécessite une formation rigoureuse, la question du genre est complexe et ne peut supporter l’approximation. Si nous ne faisons pas cet effort-là, nous perdrons en crédibilité et il nous sera impossible de gagner.

Les personnes formées sont amenées, ensuite, à prendre des responsabilités dans cette société et le combat n’est pas d’abord législatif : il est culturel, social, spirituel…

Mais il faut également maîtriser les modes d’action, il est important de savoir gérer un projet, d’avoir une bonne connaissance des institutions européennes… Deux jours ne suffisent pas à devenir compétent sur tous les modes d’action mais nous commençons toujours par le plus nécessaire.

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