Le bourgeois acculturé de Paris est mimétique, il adore faire et penser comme tout le monde en attendant de pétarader le week-end aux Açores.
Sur la question bobo, un lecteur faisait remarquer que j’oubliais le Grand Remplacement à Paris. J’ai bien remarqué la dernière fois que je suis passé dans cette sombre Ville Lumière que les chauffeurs de taxi étaient tous des grincheux allogènes. On comprend pourquoi les touristes se plaignent de l’accueil : il n’y a plus un Français pour les accueillir à Paris ! Ils sont partis sous d’autres cieux !
Mais j’ai aussi remarqué que mes vieux amis parisiens devenaient mollassons, perdant manières et idéaux. Et la question demeure la même : comment devient-on un bobo parisien ? En fait, comme le phénomène est déjà ancien, nous devons demander à nos classiques ; leur réponse sera plus précise que celle de nos experts !