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Ces journalistes que d’aucuns appellent journaleux

Les futurs révolutionnaires devront investir les radios et télés en premier avant même les ministères.

Il y avait, dans le passé, hors les temps de guerre, une presse où les opinions s’exprimaient assez librement. Nous avions, en ce temps-là, les informations fausses, tronquées, orientées par un ministère de l’Information, les opinions malveillantes, voire criminelles, mais il y avait aussi sur d’autres « supports » l’information de contre-pied. Avec l’envers, il y avait aussi l’endroit. On pouvait être submergé par la rhétorique du PCF, on n’en était pas moins suffisamment libre pour trouver ailleurs un écho différent aux actualités du moment.

Les choses ont changé au cours des dernières décennies. On a découvert la langue de bois. 

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