A lire les journaux, c’est à se demander si les migrants clandestins ne commenceraient pas leur propre tour de France. Un peu partout, nous voyons fleurir des titres indiquant la nouvelle « étape » de ces originaires en grande majorité du Soudan et de la Corne d’Afrique. Pour nous, c’est mission « désengorgement du port de Calais » et pour eux, c’est destination Bourgogne, Pouilly-en-Auxois plus exactement.
L’AFP nous a délivré une dépêche dont elle a le secret, propre à nous émouvoir et à nous rassurer : « Braves gens, dormez sur vos deux oreilles, ils sont très gentils et polis. Il ne se passera rien. » Un modèle du genre pour faire passer la pilule auprès des habitants de cette petite commune de 1 600 habitants.
Pouilly-en-Auxois
Sauf qu’on ne peut pas oublier d’où vient cette soixantaine de « primo-arrivants » (magnifique terme officiel qui n’arrive pas à dissimuler que ce n’est qu’un début) : de Calais, où la population est ulcérée de la violence et de la délinquance qui règnent dans la ville depuis que plus de 2 000 migrants y attendent de pouvoir passer en Angleterre, soi-disant le nouvel Eldorado. Agressions, viols, vols, batailles rangées entre différentes ethnies, les Calaisiens étouffent littéralement dans un tel climat délétère. Pouilly-en-Auxois va-t-elle subir la même chose ?
Ils sont arrivés en bus et ont pris possession d’une ancienne caserne de gendarmerie. Ce seront trois vagues successives qui vont arriver en tout. Nadine est lucide : « Avant de penser aux immigrés, bon, je suis pas raciste, mais avant de penser à eux, il y a des Français qui sont dans la rue, qui sont sans logement, sans rien, on fait rien pour eux. » Eh oui, le slogan « Les nôtres avant les autres » n’est réservé qu’aux méchants identitaires et est condamné d’avance.
Heureusement pour la démocratie que Gaëlle vient tempérer la vilaine Française de souche (comme dirait notre Président normal inféodé au CRIF) : « Ils peuvent amener un petit peu de vie, faire marcher mieux les commerces. Faut pas crier au loup avant qu’il ait mordu. » Le maire sans étiquette, Bernard Milloir, a déjà reçu selon lui de nombreuses insultes, mais garde « l’espoir que ça se passe bien et que l’inquiétude soit levée ». On leur souhaite à tous bon courage pour les mois à venir…
Soyons réalistes, l’AFP nous serine de doux mots tels qu’« humanité », « vivre-ensemble », « asile », « espoir » dans le seul but de cacher l’effroyable vérité telle qu’on peut la voir dans la « jungle » à Calais. L’histoire est un éternel recommencement. Ces migrants vont se sentir tellement bien en Bourgogne qu’ils y resteront. Et quand on sait que pas moins d’une vingtaine de départements ont fait des propositions pour créer des places d’accueil temporaire, on se dit que le tour de France des clandestins va connaître de nouvelles étapes qui, elles, seront définitives.
Pouilly-en-Auxois ou comment l’Etat mène le Grand Remplacement dans nos campagnes avec nos sous !
Louis Pasquerel
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