Il faudra cesser avec la religiosité qui entre dans les assiettes de nos enfants dans les cantines scolaires sous couvert de laïcité.
C’est toujours au nom de la tolérance qu’il faille endurer l’intolérance. Car, ne nous y trompons pas, il y a les porcs, les impurs d’un coté et le halal, les purs d’un autre coté dans l’esprit mahométan. C’est bien le droit de se laisser bafouer de façon religieuse qui nous est imposé par un biais de laïcité qui finit par être un fourre-tout contenant de tout sauf du laïc au fur et à mesure que le population musulmane augmente et prend de l’influence.
A l’instar des indigents athées ou catholiques qui se retrouvent à manger ce que les musulmans ne veulent pas dans les distributions de colis pour précaires, des femmes qui se font juger légères dans leurs mœurs par les accompagnatrices voilées lors des sorties scolaires, les écoliers vivent cette ségrégation religieuse à l’avantage des islamistes.
Et pourquoi, dans tous les cas, la France devrait continuer de subir les insanités sanitaires du halal et son impôt religieux sournoisement instauré dans les réseaux de distribution alimentaire ?
C’est au nom d’une véritable laïcité que le maire Gilles Platret (UMP), a mis fin à 31 ans de menus mixtes dans les cantines de Chalon-sur-Saône. Il a, en effet, annoncé la suppression, à partir de la rentrée prochaine, du menu de substitution dans les cantines scolaires de Chalon-sur-Saône.
Najat Vallaud-Belkacem, visiblement plus préoccupée par l’appétit des musulmans que par l’essor vertigineux de la délinquance dans les milieux scolaires et périscolaires a promptement réagi : « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants »
Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, interrogé par BFMTV, a jugé que c’était de la bêtise.