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  • Jany Le Pen, Marie d’Herbais, Marion Sigaut, Roger Holeindre, Carl Lang,…: les interventions des représentants nationaux et catholiques lors du défilé d’hommage à Jeanne d’Arc

    MPI TV  vous propose un reportage d’ambiance tourné ce dimanche 10 mai, ainsi que des interventions de Jany Le Pen, Marie d’Herbais, Marion Sigaut, Stéphanie Bignon, Roger Holeindre, Pierre Sidos, Carl Lang, Elie Hatem et Thibaut de Chassey.

    L’hommage populaire à Sainte Jeanne d’Arc organisé par Civitas s’est déroulé dans des conditions optimales. Il a réuni près de 5000 participants, à la fête médiévale puis au défilé qui a suivi.
    Toutes les tendances nationales, patriotes et catholiques s’étaient réunies pour cette fête, dans l’optique d’un regroupement nécessaire des forces vives.

    http://www.medias-presse.info/jany-le-pen-marie-dherbais-marion-sigaut-roger-holeindre-carl-lang-les-interventions-des-representants-nationaux-et-catholiques-lors-du-defile-dhommage-a-jeanne-darc/31222

  • Une école de combat

    En dix ans d’existence, l’Institut de formation politique a accompagné plus de huit cents jeunes désireux de s’engager dans l’action et le débat publics. Reportage au sein du plus grand établissement de formation dans le milieu des droites françaises.

    Sa voix est nette, son énergie est débordante, ses mimiques font rire. Philippe de Lespéroux rassemble toutes ses forces pour donner envie aux auditeurs de s’engager en politique. Deux heures durant, cet ancien haut fonctionnaire, qui a côtoyé de près plusieurs dirigeants de l’UMP, va multiplier les cas pratiques, les exemples personnels et les conseils. « Comment s’engager en politique ? C’est très facile. Le plus dur est de ne pas se perdre soi-même ». Dans la salle de cours, l’attention est à son maximum…

    Bienvenue à l’Institut de formation politique, la plus grande école de formation dans le milieu des droites françaises. Depuis 2004, l’association a accompagné plus de huit cents personnes, essentiellement des jeunes entre vingt et trente ans. Le but ? « Faire prendre conscience de la nécessité de se former, et ouvrir des voies pour l’engagement », explique Alexandre Pesey, directeur de l’institut basé à Paris. Lors du séminaire de niveau 1, les intervenants montrent qu’il existe différentes manières de faire du politique : « on peut être élu, on peut être journaliste, on peut diriger un festival, etc », souligne Philippe de Lespéroux, qui ouvre chaque session depuis dix ans.

    La suite sur Magasine politique

  • A l’horizon 2030, modes de vie frugaux et incantations pour de nouvelles valeurs

    Une étude prospective conduite par le Commissariat général au développement durable annonce un monde plus empathique et plus soutenable en raison de modes de vie plus sobres et plus collaboratifs, liés à une moindre consommation d’énergie, dans les prochaines décennies.

    Conduit par la Mission de prospective du Commissariat général au développement durable (CGDD) pour le ministère de l’écologie, nourri du travail de chercheurs, sociologues et de prospectivistes, le programme « Penser autrement les modes de vie à horizon 2030 » se veut « innovant et inédit tant dans la méthode prospective employée que dans sa manière d’appréhender les nouvelles manières de penser, de se mouvoir, de s’éduquer, d’habiter, de produire et de consommer ».

    L’étude qui en résulte, publiée en décembre 2014, souligne, dans un premier volet consacré au diagnostic des modes de vie de notre époque, que l’accélération des rythmes entraîne, paradoxalement, un sentiment de « pénurie de temps », voire de « harcèlement » qui peut déclencher l’aspiration à des modes de vie alternatifs – vie en solo, slow food, décroissance – afin de récupérer du temps pour soi.

    Aux États-Unis, les « Unplug challenges » ne connaissent-ils pas une vogue croissante ? L’enjeu est de tester sa capacité à rester 24 heures sans Internet. Pour le sociologue Hartmut Rosa, largement cité, « c’est une erreur culturelle de penser que la vie est bonne si elle va vite, si elle offre plus d’options, de possibilités », puisque « notre vie est réussie dans les moments de résonance ». Ce terme de résonance peut être compris comme « le sentiment que nous agissons dans un contexte qui nous répond, qui s’adresse à nous ».

    Prospérité sans croissance

    Une nouvelle conception de l’économie, mais aussi de la technologie et de l’humain, émerge face aux excès du productivisme : une prospérité sans croissance, selon les termes de l’économiste britannique Tim Jackson, qui vise l’épanouissement personnel plutôt que l’accumulation.

    « L’idée se répand dans le grand public que l’économie productiviste, à la recherche permanente de gains de productivité, génère du chômage de masse, appauvrit des franges croissantes de la population et aggrave la crise écologique », écrivent les co-auteurs de l’étude, parmi lesquels les sociologues Michèle Dobré et Roger Sue. 

    De fait, la décroissance est déjà là, consécutive à la délocalisation des industries, la montée des inégalités, la précarisation des classes populaires et d’une fraction grandissante des classes moyennes inférieures.

    Toutefois, ce processus décroissant n’apparaît pas simplement de nature socio-économique. C’est aussi un phénomène culturel fondé sur un nouveau rapport au temps, à l’utilité, au statut de l’objet, qui sert d’abord à communiquer, signe de relation et d’ouverture. Coopératives de travail, filières locales et équitables, crèches associatives, finance éthique en sont des exemples précurseurs.

    Renversement du paradigme productiviste, « l’économie du vivant » appréhende la société comme un écosystème où tout s’emboîte – humains, sociétés et nature. Cette économie épousera les spécificités des territoires.

    Exemple, la transition énergétique, qui « impliquera davantage la société civile et se fera à partir de micro-réseaux énergétiques décentralisés à l’échelon local. Il ne s’agira plus de distribuer une énergie unique à partir d’un réseau national centralisé, mais de combiner différentes sources d’énergie renouvelable en fonction des particularités locales, de leurs conditions climatiques particulières, des ressources permanentes disponibles (biomasse, biogaz, géothermie) dont elles disposent. L’enjeu est alors de constituer des territoires énergétiques autonomes ».

    Vers une économie de la frugalité

    A l’horizon 2030, l’hypothèse la plus probable est celle d’une « économie de la frugalité » fortement incitative de pratiques décroissantes, selon l’étude du CGDD. Cette économie de la frugalité se caractérisera par « une nécessaire évolution de la logique individualiste et matérialiste actuelle et le passage à des formes de consommation plus collectives. » Sera également plus collective la conception de la mobilité, davantage fondée sur le partage et l’usage que sur la propriété. L’innovation « frugale » se traduira par des pratiques de récupération, de recyclage et de réutilisation des objets. De nouveaux modèles de distribution iront vers les consommateurs, s’adapteront à leur parcours, plutôt que l’inverse. L’alimentation urbaine citadine se développera à travers l’aménagement de ceintures vivrières autour des villes, ou le développement du micro-jardinage.

    Au cœur de cette évolution, le paramètre énergétique sera déterminant. Sous la contrainte de la raréfaction de l’eau et du pétrole bon marché, on assistera à une mutation des pratiques agricoles, qui déterminera une évolution des modes de consommation alimentaires actuels. « L’idée d’auto-suffisance alimentaire a constitué le principe de départ d’actions collaboratives inspirées du mouvement international du « Do It Yourself » : jardins communautaires improvisés, entraide pour l’isolation des maisons, recyclage et réutilisation de l’existant. Progressivement, une agriculture urbaine, sous la forme de fermes et de jardins partagés, a pu se développer, transformant le paysage de l’ancienne cité industrielle », décrit l’étude à propos de la ville de Detroit (Michigan), aux Etats-Unis. « Des potagers se sont installés le long des parkings désertés. Chacun peut y participer aux travaux de culture, sans y être obligé pour consommer. Le matériel nécessaire était fourni par des associations ».

    Habiter, vivre, consommer, vieillir autrement, sont au coeur des enjeux et des débats actuels de société, traduisant les transitions et les difficultés actuelles, mais également les aspirations montantes à vivre « autrement ». « Ainsi, une logique écosystémique prend lentement le pas sur la logique linéaire de nos institutions, bien que les inerties institutionnelles et les avancées citoyennes ne soient pas encore en phase, ce qui donne l’impression d’une société bloquée », écrivent les auteurs. Il semble que nous soyons dans un moment intermédiaire où « l’ancien monde » ne veut pas mourir et où le « nouveau monde » ne parvient pas à naître.

    momentum institut

    http://fortune.fdesouche.com/381389-a-lhorizon-2030-modes-de-vie-frugaux-et-incantations-pour-de-nouvelles-valeurs#more-381389

  • Le Sénat adopte le projet de loi Macron, en le libéralisant encore plus

    Le Sénat a adopté mardi le projet de loi Macron, en le libéralisant encore plus, à l’issue de plus de 130 heures de débat.

    Le projet de loi a été voté par 229 sénateurs de droite, UMP et UDI-UC. 44 sénateurs ont voté contre, essentiellement communistes et écologistes. Les socialistes et une grande partie du groupe RDSE, à majorité PRG, se sont abstenus.

    « Ce que nous avions, dit, nous l’avons fait », a dit le chef des sénateurs UMP Bruno Retailleau. « Nous avons musclé le texte tout en lui donnant de la souplesse, en particulier en ce qui concerne le droit du travail, et de la simplification. »

    Le texte doit à présent faire l’objet d’une commission mixte paritaire (CMP, 7 sénateurs, 7 députés) chargée de trouver une version commune aux deux chambres. Elle est prévue le 3 juin. En cas d’échec, c’est l’Assemblée nationale, dont la version n’avait été votée qu’après l’utilisation de l’article 49-3 de la constitution par le gouvernement, qui aura le dernier mot.

    Le gouvernement avait demandé la procédure accélérée sur ce projet de loi, c’est-à-dire une lecture par chambre.

    source : Boulevard Voltaire lien

  • "François Hollande aurait dû aller à Moscou plutôt qu'à La Havane", estime Éric Zemmour

  • 360 djihadistes passés par la Syrie sont actuellement en France

    Extraits de l'interview donné par le procureur de la République de Paris, François Molins, dans un entretien au Figaro :

    "Il n’y a aucune raison d’être optimiste. La menace n’a jamais été aussi forte, notamment en raison de l’implication de la France dans la lutte contre Daech [acronyme arabe de l’Etat islamique]. Depuis fin 2013, le nombre des dossiers a explosé de 180 % ! (...)

    Il y a les aguerris, d’autant plus dangereux qu’ils reviennent endurcis par les combats (...) La dernière catégorie est le profil du déséquilibré psychiatrique ou psychique qui peut avoir prêté la main à des actions abominables et qu’il faut à la fois punir et traiter (...)

    Nous sommes face à des radicaux qui agissent dans la discrétion. Ils peuvent avoir des vies de famille normales, comme cela semble le cas pour Sid Ahmed Ghlam, qui voulait frapper le mois dernier à Villejuif. En apparence, ces individus semblent seuls mais, quand on gratte un peu, on s’aperçoit qu’ils agissent au nom de groupes terroristes sur des cibles correspondant à des mots d’ordre donnés par Daech ou Djabhat Al-Nosra[Front Al-Nosra] (...)

    Nous voulons juger le plus rapidement possible les dossiers syriens. A ce jour, seuls 11 individus l’ont été. Le plus lourd est à venir puisque nous traitons actuellement des dizaines de dossiers avec 169 personnes mises en examen, dont 106 en détention provisoire (...)

    Ce terrorisme low cost fait peur, car il est plus difficile à détecter. Il y a vingt ou trente ans, nous travaillions sur des cellules structurées et identifiées. Maintenant, nous sommes face à des individus venus de nulle part, adeptes de la “taqiya” – la technique islamique de la dissimulation –, et qui n'émettent que des signaux très faibles, quasiment indécelables par les services de renseignement (...)"

    La Taqiya est la loi de la dissimulation qui est préconisée par le Coran et à laquelle les musulmans font appel à chaque fois qu’ils le jugent nécessaire pour la propagation ou la préservation de l’Islam. Le mensonge et l’hypocrisie sont alors des vertus pour tout musulman face à des non-musulmans.

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bolzano : des présumés réfugiés protestent….

    ..."nous voulons de l'argent et nous ne voulons pas aller à pied" 
    Leur installation à l'Hôtel Alpi à Bolzano ne leur plait pas à tous. Certains d'entre eux se plaignent "d'un traitement inadéquat" et se demandent pourquoi, l'état italien leur ayant soi-disant promis de l'argent, ils n'ont rien reçu depuis un mois. 
     
    Ces pseudos réfugiés ignorent qu'en Italie il y a des chômeurs avec 4 enfants qui n'ont pas été payés depuis des mois. D'ailleurs, un d'entre eux s'est suicidé en mars.... 
     
    En outre, ils se plaignent aussi du fait qu'ils doivent parcourir à pied la distance entre l'hôtel et l'endroit où sont servis leurs repas gratuitement, bien entendu. [...]