Extrait d'un communiqué de Jacques Bompard à propos de son opposition à l'immigration :
"(...) La charité imposerait d’accepter silencieusement cette invasion en la maquillant de bons sentiments. Disons-le tout net : les anathèmes visant ceux qui cherchent à protéger une Civilisation, un équilibre national et une identité sont abjects.
La politique n’est pas une science de la morale, qui concerne la libre conversion et le consentement prudent au don de chacun, mais bien une praxis inscrite dans la réalité. La politique n’est pas un assemblage d’images chocs cherchant à instrumentaliser l’émotion légitime devant les être fracassés par notre monde. La politique consiste en une reconsidération totale de la réaction à apporter à ces enjeux mondiaux.
On ne peut remettre en cause la marchandisation du monde sensible dans les attentats faits contre la Vie (GPA, avortement de masse, euthanasie) et utiliser la « moraline » des destructeurs de l’ordre naturel pour encourager directement ou indirectement le déracinement populations entières.J’adhère parfaitement au discours du pape François à Lampedusa :l’Europe et le monde doivent voir avec consternation et pitié les embarcations d’immigrés sombrant en Méditerranée. Je ne remets certainement pas en cause ceux qui font preuve de bonté à Calais, je ne veux cependant pas oublier celles qui sont violentées dans le même temps. Mais cette honte n’a de sens que si elle permet de reconsidérer les racines profondes de ce mal : guerres impérialistes en Syrie, en Libye, en Irak ou en Afrique, dictature du cosmopolitisme financier sur les Nations et sur les institutions internationales, orchestration du déracinement des peuples au profit d’un immonde village global.
L’avancée vers une société multiculturelle n’apporte en vérité que la diversification des racismes et des conflits : explosion des viols et des violences dans les zones d’attente, abandon de la France périphérique, délaissement des plus de cinq millions de chômeurs nationaux, coûts abyssaux des politiques de sécurité, de logement, d’aides sociales, d’éducation à apporter, subventions aux associations antifrançaises.
Aussi, la charité réelle ne peut-elle plus que s’incarner dans une politique de totale fermeté contre le Grand Remplacement. Il y a en France plus de 5 millions d’immigrés, plus de 6 millions de descendants d’immigrés et une islamisation indéniable de bien des portions de notre territoire. Cette situation ne peut que mener à terme à l’explosion sociale et civile. La France se perdrait alors, à avoir trop voulu sauver ceux qu’elle aurait repoussé (...)"