Dans l'élevage, beaucoup a été fait en termes de mécanisation, mais il sera plus difficile de s'y passer de l'homme.
Des ouvrages de science-fiction nous laissent entrevoir des mondes où les processus de production sont totalement automatisés, et où les hommes n’ont plus qu’à se laisser vivre ; ce qu’ils font avec plus ou moins de bonheur, généralement plutôt moins. C’est sans doute ce monde dont rêvaient ceux qui ont mis en place les 35 heures.
Il faut dire qu’on peut aujourd’hui, grâce aux progrès techniques, envisager que les tracteurs partent seuls dans les champs, fassent le travail programmé, sans doute avec plus de précision et d’efficacité qu’un chauffeur moyen, et revienne « à la ferme » pour y rapporter la récolte, faire le plein ou subir réparation ou entretien.