On a constaté que sur la plateforme de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, 57 agents assermentés soupçonnés de radicalisation s’étaient vus retirer leur habilitation. La direction d’Air France se refusait alors à tout commentaire.
Toutes les entreprises concernées, et même les syndicats, s’accordent à reconnaître que des « radicalisés fichés S » sont employés dans des zones jugées sensibles, aussi bien dans les aéroports de Paris et de toute la France mais également à la SNCF, à la RATP et dans bien d’autres services publics et privés. Ils opèrent dans des zones dangereuses pour notre sécurité.