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En Suède aussi !

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(Présent 8524)

8524-Une.jpgAlors que, de jour en jour, les témoignages de victimes et les plaintes pour agressions sexuelles perpétrées par des clandestins en Allemagne – mais aussi en Autriche – lors de la nuit de la Saint Sylvestre s’accumulent, on apprend maintenant que, comme celles de Berlin, les autorités de Stockholm ont dissimulé au peuple suédois des vagues similaires d’agressions commises lors du festival de musique « We Are Sthlm » en août 2014 puis 2015, parce que les auteurs étaient des migrants.
Honteuse dissimulation policière

À l’origine de cette révélation, le journal Dagens Nyheter qui, ayant eu accès aux dossiers internes de la police suédoise, a récemment rapporté que ceux-ci faisaient état de l’arrestation de nombreux « réfugiés » en août 2014, mais aussi 2015 suite à des agressions sexuelles perpétrées sur des femmes à l’occasion de ce festival musical se déroulant à Stockholm. Dans son édition, le Dagens Nyheter publie même des rapports de police faisant état « de nombreux jeunes hommes (qui) se sont frottés contre des jeunes filles » pendant le festival, et précisant que les auteurs étaient notamment de nationalité afghane.
Mais, chose étonnante, le rapport officiel rendu par la police ne fait aucune mention de ces agressions et va même jusqu’à expliquer que peu d’interpellations ont eu lieu lors du festival, en raison notamment de son importante fréquentation…

Peur d’une percée des Démocrates

Pris la main dans le sac par le Dagens Nyheter, et face au scandale grandissant, certains responsables de la ville se sont mis à parler. Comme ce Roger Ticoalu, qui a fini par admettre que « nous n’avions jamais vu cela avant, de grands groupes de jeunes hommes encerclaient les jeunes filles pour les agresser ». Ajoutant que « dans les cas où nous avons pu arrêter les suspects, il s’agissait d’étrangers, souvent récemment arrivés en tant que réfugiés, âgés entre 17 et 20 ans, sans leur famille ».

Et jusqu’à la police suédoise, qui a officiellement reconnu avoir gardé pour elle ces informations, qui concernaient quand même une quinzaine d’agressions ayant conduit à l’arrestation d’une centaine d’étrangers (dont aucun n’a d’ailleurs été condamné). Un tantinet mal à l’aise, Varg Gyllander, porte-parole de la police, confiait en effet lundi : « Nous aurions certainement dû révéler cette information, ça ne fait pas de doute. Pourquoi ça ne s’est pas fait ? Nous ne le savons tout simplement pas. »

Un aveu qui prend la forme d’une provocation. Car en déclarant ainsi ignorer les raisons de ce silence honteux, Varg Gyllander prend clairement pour des imbéciles des Suédois qui, le mois suivant ce festival, devaient se prononcer lors d’élections législatives à l’occasion desquelles on annonçait une forte percée des Démocrates…

Franck Delétraz

http://fr.novopress.info/

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