L’Europe est à nouveau frappée par des attentats meurtriers.
Pendant ce temps, le gouvernement français inonde le peuple d’une honteuse propagande dénonçant ses prétendues tendances « racistes », « islamophobes », « antisémites », etc.
Une campagne de culpabilisation et de diversion très coûteuse et parfaitement contraire à la réalité.
Des agressions, viols et meurtres à connotation raciste ont lieu en effet en grand nombre en France, mais ce sont les Français qui en sont victimes et quasiment jamais les auteurs.
Une guerre se fait jour sur le sol d’Europe (et il y a en France de nombreux « Molenbeek »), mais elle n’est pas initiée par les Blancs, qui ont été trop gentils et accueillants.
Le principe de réalité se rappelle douloureusement aux Européens, qui doivent garder en tête, comme l’histoire le prouve, qu’une société multiraciale est une société multi-conflictuelle.
La « campagne antiraciste » du gouvernement, si déconnectée des réalités, signifie qu’il a peur. Peur non pas du terrorisme et des véritables menaces – dont il est responsable -, mais peur d’un réveil populaire qui s’opposerait à l’idéologie de l’Oligarchie politico-médiatique et in fine à sa domination.
Le rejet de l’invasion migratoire, le refus de l’entreprise de culpabilisation et de reniement national, et plus encore l’essor du nationalisme sont en effet les vrais sujets d’inquiétude de la caste dominante.
Jamais l’antagonisme entre l’idéologie cosmopolite au pouvoir et les intérêts du peuple n’a été aussi palpable.
S’il y a encore des Français qui croient de bonne foi – sous les coups des médias et de l’« Éducation nationale » – que le « nationalisme c’est la guerre » et que l’abolition des frontières est l’assurance de la paix, il nous revient de leur ouvrir les yeux au plus vite, aidés hélas par des faits qui confirment évidemment les analyses du mouvement national depuis des décennies.
La seule issue est le rétablissement de pouvoirs publics animés d’un sain nationalisme, c’est-à-dire qui ont en tête ce qu’est réellement une nation et qui ont à cœur de défendre ses intérêts, au premier rang desquels sa sécurité, sa souveraineté, son identité, sa cohésion, son homogénéité.
Clamons haut et fort que « le cosmopolitisme, c’est la guerre » …et que«le nationalisme, c’est la paix » !
Thibaut de Chassey
Directeur du Renouveau français