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La hargne de Manuel Valls n'est pas celle du prolétaire mais de l'imposteur

Extrait d'une lettre ouverte adressée à Manuel Valls par Eric L'Huillier, ancien ingénieur de l'Armement, polytechnicien et diplômé de l'ENA, à propos de la campagne "Tous unis contre la haine" :

"(...) Cette campagne est couplée avec une « grande enquête », confiée à une société spécialisée dans les opérations de « testing ». Cette enquête a pour but de savoir si les gens qui portent un nom arabe sont discriminés à l’embauche. Il était parfaitement inutile de mettre le contribuable à contribution pour cela. N’importe qui vous aurait apporté gratuitement la réponse. Et cette réponse est évidemment OUI. La question intéressante était de savoir pourquoi, et, éventuellement, comment y remédier. Le pourquoi est évidemment la méfiance qu’ils suscitent. Et cette méfiance est indépendante de ce que la pensée unique veut ramener à la peur. Ce qui « pourrit » la vie ne fait pas nécessairement peur. Or le patron qui envisage d’embaucher un de ces nouveaux Français sait qu’il multiplie ses chances d’aller au devant de complications : revendications religieuses (...), récriminations de toute sorte, difficultés relationnelles avec les « de souche », voire attentats en interne (...), le tout justifié par le soupçon de racisme et la victimisation qui en découle. Ce qui suscite cette méfiance est objectif et relève de la vie de tous les jours, sans qu’il soit besoin d’évoquer des choses qui pourraient évidemment faire peur, comme la décapitation d’un patron.

On peut aussi aller plus loin et se demander la raison de ces conduites qui provoquent la méfiance des « Gaulois ». Et là, tout s’éclaire : c’est de notre faute ! Je ne fais pas là de l’humour, Monsieur le Premier Ministre. C’est notre faute, car nous sommes coupables de ne pas les aimer suffisamment et, très logiquement, ils réagissent en étant revendicatifs, voire agressifs, éventuellement violents et in fine meurtriers. C’est notre faute ! J’en conviens en battant ma coulpe. Mais c’est aussi notre droit ! Nous avons le droit de ne pas les aimer, ou plus exactement de ne pas aimer qu‘ils s‘installent en grand nombre sur notre territoire, y prolifèrent, en dénaturent l’identité, y révèrent leur livre saint, le Coran, qui est un torrent fou d’appels au meurtre des infidèles que nous sommes, et attendent, paisiblement et en faisant beaucoup d’enfants ou dans la violence du célibat djihadiste, de nous imposer la loi de leur future majorité. Et ce droit de ne pas les aimer et de ne pas vouloir de leur présence envahissante est légitime, même si l’expression publique de tels sentiments est illégale et si le seul credo qui ait droit de cité dans notre République masochiste est la sacro-sainte « intégration ». Je ne sais même pas si j’ai le droit de penser (...) que, si j’avais une fille à marier, je préfèrerais qu’elle me donne des petits-enfants avec un grand blond de type nordique, doté d’un QI de 150, plutôt qu’avec un petit brun au QI de 70 et de type méditerranéen, expression policière que j’ai toujours trouvée bizarre car elle ne fait pas de distinction entre les habitants des rives Nord et Sud de la Méditerranée. En effet, cette opinion peut être taxée de racisme. Or, comme la propagande officielle nous le serine, « Le racisme n’est pas une opinion, mais un délit ». A ce compte, les tribunaux risquent de crouler sous les dossiers de futurs beaux-pères ! Mais les Espagnols, que vous devez très bien comprendre, aimaient ils les Maures…. qu’ils ont mis sept siècles à chasser de chez eux ? Et aurait-il été souhaitable de les « rééduquer » pour qu’ils les aiment ? Je ne le crois pas. C’est pourtant ce que vous êtes en train d’essayer de faire avec la France. Mais je dois à la vérité de dire que vous n’êtes pas le premier dans cette voie, où la droite que j’appelle collabo est aussi zélée que la gauche dite caviar (...)

Mais votre hargne n’est pas celle du prolétaire, c’est celle de l’imposteur. Vous n’êtes pas un fils de pauvre. Votre famille est constituée, côté paternel, de riches banquiers espagnols franquistes et, côté maternel, de marchands d’art et de colons italiens ayant fait fortune en Afrique. On ne peut donc pas dire que le manque de moyens de vos parents vous a empêché de faire des études un peu difficiles. La France vous a, me semble t’il, extraordinairement bien traité. Alors pourquoi, en y implantant à toute force des populations du Tiers-Monde, votre nouvel électorat depuis que les classes populaires ont quitté le PS, en faites vous un objet de raillerie et de mépris de la part des étrangers qui ont le respect d’eux-mêmes ? (...)

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Philippe Carhon

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