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Etat d’urgence pour quoi faire ? Les casseurs-pilleurs de gauche s’en donnent à cœur joie dans Paris

Hier soir une partie de la manifestation de « Nuit debout » autorisée malgré l’état d’urgence, a quitté la place de la République suite à l’intervention télévisée de François Hollande, pour se diriger vers les Xe et XIXe arrondissements, où elle a pu casser et piller à son aise. Ainsi qu’en témoignait sur BFMTV aujourd’hui un concessionnaire automobile dont le commerce a été ravagé: « qu’est-ce que ça aurait été s’il n’y avait pas eu d’état d’urgence? » Ils étaient en foule ainsi que le montre la prise d’assaut d’un des Supermùarché Franprix.

Et surtout pas d’amalgame! Tenus à bout de bras par les gros médias (donc de gauche!), « Nuit debout » a surtout pour résultat de mettre Paris à sac, sans que les forces de police n’interviennent alors que l’Etat nous impose par ailleurs un état d’urgence au nom duquel le général Piquemal a été arrêté parce qu’il avait osé prendre la parole dans une manifestation pacifique qui avait le tort de dénoncer l’immigration/invasion. Il est vrai que « Nuit debout » est un mouvement gauchiste, inspiré de Podemos en Espagne, qui espère sauver la gauche du fiasco. Donc pas de poursuites contre les amis du système, même quand ils cassent les outils de travail des honnêtes gens. Par contre, ces casseurs pilleurs ont été gentiment détournés de l’Elysée, où ils comptaient se rendre, loin des centres du pouvoir où il leur a été laissé tout loisir de saccager et de piller ainsi que le montrent les vidéos.

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