Le ministre des Familles, Laurence Rossignol, a confirmé ce lundi la prochaine abrogation d’une circulaire punissant les gynécologues orientant leurs patientes vers l’étranger pour y subir une PMA (procréation médicalement assistée). Ladite circulaire punit, depuis 2013, les gynécologues de cinq ans de prison et 75.000 euros d’amende. Réaction d’Anne-Claude Venot, fondatrice du collectif Les Adoptés pour l’Enfance et présidente de l’Agence européenne des adoptés.