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Hillary Clinton : une femme sous influence

Gérard Pince

On connaît les manquements d’Hillary Clinton dans ses anciennes fonctions de secrétaire d’État. L’affaire des e-mails a entraîné une enquête du FBI et son directeur a souligné qu’elle avait fait preuve d’une grande négligence. En revanche, les médias français occultent le rôle joué auprès d’Hillary par une sulfureuse jeune femme. C’est dommage car son histoire ressemble à un roman d’espionnage !

D’origine indienne et de religion musulmane, Huma Abeidin est née aux États-Unis. À l’âge de deux ans, elle part avec ses parents en Arabie saoudite où elle suit sa scolarité. Elle revient aux USA pour ses études universitaires et devient stagiaire à la maison blanche au service d’Hillary sous la présidence de Bill Clinton. Depuis lors, les deux femmes ne se quittent plus. Huma occupe le poste de chef de cabinet d’Hillary lors de son passage au secrétariat d’État et assure à présent la vice-présidence de la campagne présidentielle. Depuis sa commotion cérébrale de 2012, Hillary sombre parfois dans la confusion mentale et doit s’appuyer sur Huma qu’elle considère comme sa seconde fille. En réalité, les mauvaises langues évoquent une relation encore plus intime !

Cette belle histoire se corse lorsqu’on sait que la famille Abeidin a exercé d’importantes fonctions dans les organes de la propagande fondamentaliste en Arabie saoudite. Certes, Huma n’est pas responsable des agissements de ses parents mais il se trouve qu’elle a aussi collaboré à des médias radicaux dans sa jeunesse. De là à penser qu’elle est infiltrée par le régime saoudien, il n’y a qu’un pas que des parlementaires américains ont franchi en étant aussitôt accusés de tenir des propos nauséabonds ! Ces soupçons se renforcent pourtant au vu du financement saoudien (entre 10 et 25 millions de dollars) de la fondation de Bill et Hillary Clinton

Dans ces domaines, il n’existe jamais de preuves et il faut se contenter de présomptions en appliquant le principe de précaution. Le régime saoudien qui soutient le fanatisme musulman attise les tensions entre la Russie et les États-Unis afin d’assurer la domination mondiale de l’Islam sur les ruines de la chrétienté. Confier la maison blanche à une personne qui subit une telle influence représente donc un risque majeur pour l’Occident.

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