Nous sommes dans les cinquante derniers jours de la campagne électorale. Tout s’accélère. Marine Le Pen a viré en tête de la course, alors que les partis traditionnels s’effondrent. Que la gauche et la droite en soient à tenter de s’aligner derrière Macron, l’homme de la très haute finance et des prétendus « crimes contre l’humanité en Algérie », ou derrière Juppé, désavoué il y a trois mois à peine par 70 % des électeurs de droite, en dit long sur l’état de déliquescence de notre classe politique.
Quoi qu’on pense de tel ou tel détail du programme du Front national, quoi qu’on pense de telle ou telle personnalité de l’entourage de Marine Le Pen, quoi qu’on ait aimé ou détesté du Front national d’hier ou d’avant-hier, il n’y a qu’un seul candidat, à droite – et même dans tout l’échiquier politique français – qui ait une stature d’homme d’Etat, c’est elle.
Pour ceux qui ont étudié l’histoire de notre courant politique – le courant identitaire et patriotique, pour faire simple –, jamais nous n’avons eu de tête de file de la qualité de Marine Le Pen. Le moment est tout simplement extraordinaire.
Présent, dès le début de la campagne électorale, l’a dit : parce que la patrie est en danger, comme en 14, comme en 40, notre devoir est de voter et de faire voter pour Marine Le Pen. Parce que Trump, Poutine ou Theresa May ont ouvert la voie, notre devoir est de voter et faire voter pour Marine Le Pen.
Mais, chers lecteurs, vous devez aller beaucoup plus loin avec nous durant ces cinquante derniers jours. Vous devez nous aider à tenir le créneau de l’information, vous devez nous aider dans la bataille des kiosques, vous devez nous aider à fournir des munitions, des arguments, des soutiens visibles à tous ceux qui, actuellement, se mobilisent pour la victoire de Marine Le Pen.
Le navire est formidable. ll est en tête de la course et il continue à avancer très vite. Mais nous devons, nous aussi, sur notre créneau de l’information quotidienne, face au raz-de-marée de la désinformation multi-quotidienne, batailler, ferrailler, donner du canon.
Présent lance une grande campagne de communication qui entend soutenir la candidate que nous avons choisi de soutenir, en toute liberté financière.
Pour cela, nous avons besoin de vous, nous avons besoin de votre argent, nous avons besoin de vos abonnements.
Il faut très vite qu’un tsunami financier nous submerge, que nous puissions envahir les panneaux d’affichage des kiosques, que nos unes soient reprises et commentées, et même – pourquoi pas ? – que nos journalistes soient invités dans les radios d’Etat, les radios financées par nos impôts, comme s’ils étaient des journalistes « normaux ».
Contre le Système
Chaque don, chaque abonnement, ce sont quelques voix supplémentaires, ce sont quelques encouragements supplémentaires aux militants du patriotisme français, ce sont quelques coups de boutoir supplémentaires à l’encontre de l’anti-France, à l’encontre du « Système ».
Dans le domaine de l’information comme dans le domaine de la justice, nous vivons une situation à la soviétique, et ceci depuis des dizaines d’années, mais les yeux se dessillent. Notre mur de Berlin à nous vacille à son tour, et pourrait bien s’écrouler dans cinquante jours, du fait d’une élection surprise ou du fait d’un score énorme.
C’est aujourd’hui ou jamais que vous devez nous aider. Je pense en particulier à ceux d’entre vous qui estiment qu’ils n’ont plus l’âge de militer, de coller des affiches, de descendre dans la rue, de se battre – parfois même physiquement – avec des adversaires stipendiés et protégés par le système. Aidez-nous à le faire pour vous.
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Pour vous, pour nos valeurs, pour notre pays. Comme les Français l’ont toujours fait. Nous ne vous demandons pas l’impôt du sang, celui que nos ancêtres ont payé si souvent, mais simplement l’impôt national que constitue un don, un abonnement.
Francis Bergeron dans Présent daté du 7 mars 2017