Ces nouveaux gardes-frontières ont été institués par le Premier ministre Victor Orban et leur nom fait polémique.
Les défenseurs des droits de l’homme y voient un sous-entendu de “chasse aux migrants”.
Mark Kekesi, activiste du “Groupe Solidarité Migrants de Hongrie”, a déclaré : “Je crois qu’en lui-même ce nom de “chasseurs de frontière” est effrayant, j’aurais choisi autre chose.”
De leur côté, les autorités hongroises démentent tout sous-entendu dans l’intitulé des nouvelles unités spéciales de gardes-frontières.
Klara Kiss, vice directeur du Centre du centre de formation et d’entraînement de la police nationale hongroise, déclare pour sa part :
Les médias peuvent tout interpréter à leur manière. Ce que nous voulons dire, c’est que ces jeunes gens vont travailler le long de la frontière, c’est cela le véritable sens.