Du 7 au 10 juin, à Turin, sous le titre de groupe Bilderberg, divers cartels de prédateurs se sont réunis.
Nous devons à Adam Smith, dit “le père de l’économie politique” (tout ne doit-il pas naître de quelques sublimes cerveaux anglo-saxons?) d’avoir reconnu que toute réunion d’hommes d’affaires est un complot contre le public. Au Bilderberg, un pas de plus a été franchi : le public n’existe plus, il ne reste que des marchandises à exploiter.
On y trouva quatre groupes de trafiquants, tels que définis par J.F.Gayraud dans son dernier ouvrage sur l’hybridation (Jean-François GAYRAUD : Théorie des hybrides. CNRS, 2017) :