LaREM, le parti de l’étranger qui nous gouverne avec les socialistes est en état de sidération. Partout, l’idéologie mondialiste qu’elle défend recule, avec au premier plan son étape européenne qui, elle le sait, va encore s’effriter à l’élection de mai 2019. Après le départ de l’Angleterre, les cinq contestataires de Visegrad refusent les migrants et sont rejoints par l’Italie, maintenant la Tchéquie, bientôt la Croatie qui vient de refuser le plan « migrants » de l’ONU. Et voilà le Brésil, première puissance d’Amérique du Sud qui suit le bon exemple de Trump au Nord et, avec le soutien du « petit » peuple, rejette la gauche profondément corrompue qui a amené le Brésil à la faillite économique, comme partout où la gauche a été ou est au pouvoir.