Voici un nouveau communiqué de Civitas sur les dépenses de l’Etat. Cette fois, ce sont les subventions et cadeaux fiscaux aux médias aux ordres qui sont pointés. Sans avoir réalisé un travail exhaustif en ce domaine, Civitas signale en quelques exemples un montant déjà pharaonique de deux milliards d’euros.
Payer des impôts pour financer les médiamenteurs OU faire un don déductible à Civitas pour financer vos idées, à vous de choisir !
Il est difficile de connaître le montant total des subventions et autres cadeaux fiscaux accordés aux médiamenteurs. Nous avons néanmoins trouvé trois informations significatives.
1) Le rapport annuel de la Cour des comptes, publié en mars 2018, signalait qu’en 2017, le montant total des aides de l’Etat attribuées à la presse écrite s’élevait entre 580 millions d’euros et 1,8 milliard d’euros – une fourchette importante justifiée par une “définition large” des aides à la presse.
2) Le 27 novembre, entre deux grandes mobilisations des Gilets Jaunes, les parlementaires ont voté la suppression de trois taxes payées par les stations de radio et les chaînes de télévision.
. Chaque spot publicitaire diffusé à la télé dans la tranche facturée entre 1.520 euros et 9.150 euros était frappé d’une taxe de 20,60 euros. Taxe supprimée.
. Les radios qui réalisaient 10 M€ de chiffre d’affaires publicitaire par trimestre (Europe 1, NRJ, RTL) payaient une taxe de 54.435 euros. Taxe supprimée.
. Les chaînes de télévision qui réalisaient 100 millions de recettes publicitaires tous les trois mois (c’est le cas de TF1 et de M6) payaient une taxe de 894.500 euros. Taxe supprimée.
Ces trois taxes sur les grands médias audiovisuels rapportaient 50 millions d’euros à l’Etat.
Comment la Macronie justifie-t-elle ce cadeau fait à des grands médias audiovisuels appartenant à quelques milliardaires ?
« On est dans une logique de simplification et de rationalisation des petites taxes qui pèsent sur les télés. C’est le fruit d’une discussion avec Bercy et le ministère de la Culture, dans les projets de simplification de la vie des entreprises ».
3) Et ce n’est pas tout ! Dans la nuit du 18 au 19 décembre, l’Assemblée Nationale a voté, sans débat, une hausse de 4 millions d’euros de la dotation allouée à l’Agence France-Presse au titre de ses missions d’intérêt général.
Ce vote nocturne s’est déroulé dans le cadre de l’examen du projet de budget 2019 en nouvelle lecture, sur base d’un amendement du gouvernement destiné à augmenter de 4 millions d’euros la dotation allouée à l’AFP qui était déjà de « 111,8 millions d’euros », rappelle l’exposé des motifs de l’amendement.
Et qui paye ? Les contribuables, dindons de cette mauvaise farce.
Allez-vous, sans rechigner, payer vos impôts à cet Etat républicain et financer les médiamenteurs à ses ordres ? Ou allez-vous préférer faire à Civitas un don déductible de vos impôts et financer ainsi vos idées ? A vous de choisir avant le 31 décembre 2018.
Précision importante : la déduction fiscale de vos dons reste inchangée avec le prélèvement à la source.
Nous avons besoin que vos encouragements se transforment en actes.
ATTENTION, le don en ligne via paypal n’est plus autorisé, selon une note du ministère de l’Intérieur basée sur une règlementation qui pénalise uniquement les structures dissidentes comme la nôtre.
Dès lors, votre don doit impérativement se faire :
. par virement bancaire avec mention obligatoire de votre adresse postale et du motif de votre virement (adhésion) à :
Banque postale – FR02 2004 1010 1251 9584 8B03 351 – PSSTFRPPSCE
. ou par chèque, à l’ordre d’ADF et envoyé à Civitas – La Bossivière – 53290 Argenton Notre Dame
Le don – permet l’obtention d’un reçu fiscal (réduction d’impôt de 66%) (Déclaration Préfecture du Val d’Oise, Agrément 1166 du 18 mai 2016). Le don fait par chèque doit être à l’ordre d’ADF.
Civitas est la seule formation politique qui respecte la doctrine catholique et se soucie de la défense de nos valeurs civilisationnelles, sans compromission ni reniement.
Les Français doivent se réhabituer à entendre parler de la loi naturelle, de principes catholiques, de France catholique. Ce discours doit être martelé publiquement encore et encore, jusqu’à ce que cela finisse par devenir, pour nos contemporains, une hypothèse méritant réflexion puis qui leur apparaisse comme LA solution.
Ce travail nécessite que nous développions solidement nos implantations locales, par un travail régulier et persévérant sur le terrain, par voie de tracts, d’affiches, de rencontre avec les gens, de réseaux tissés localement pour un travail de reconquête.
Nous comptons donc sur votre soutien et engagement pour poursuivre ce nécessaire combat.