Dans “Au nom de la terre”, Guillaume Canet joue le rôle d’un agriculteur à bout, qui ira jusqu’au suicide. C’est l’histoire du père du réalisateur, Edouard Bergeon. Bouleversant témoignage d’une réalité contemporaine. La spirale sans fin qui conduit un agriculteur par jour à en finir.
Nous assistons aujourd’hui au plus grand plan social qui n’ait jamais existé. Environnement, santé, gastronomie, la disparition des paysans aurait des conséquences irrémédiables. Plus qu’un film… un hommage !
Et si avant de vouloir combattre le dérèglement climatique, on combattait le dérèglement agricole et ses dérives intensives ! Cela nous changerait des glapissements de Greta Thunberg.
L’histoire vraie d’un monde sacrifié qui interroge sur notre modèle de société :