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Quand le pillage devient évidence

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La révolte des Gilets Jaunes montre très clairement le ras-le-bol populaire face au pillage des fruits de notre travail. Macron prend sans vergogne au peuple afin de pouvoir donner/rendre à ceux qui l'ont fait élire.

Pour moins taxer le travail, il prend à l'ensemble de la population, et cela pèse fortement sur les plus fragiles. Il oublie dans son équation de taxer le Capital. Le Président des riches voudrait nous faire croire à la théorie du ruissellement sur laquelle est bâti son programme quand les riches en ont trop, cela finit par retomber sur les gueux ! Au lieu de ruisseler, ça grince Monsieur Macron !

Qui finance la dette commande

Il ne faut jamais l'oublier, et ce n'est plus un secret pour personne, Macron, les précédents, et les suivants, ne sont élus que pour permettre au Système de spolier les citoyens, les salariés et les entreprises. Parler du pillage que subissent aussi les entreprises, si on reste lucide et qu'on ne se laisse pas emporter par des positions trop partisanes, devient une évidence. Au prétexte d'un endettement généralisé, concept dogmatique délimité par l'UE de Maastricht, il faudrait tout raboter, puis tout surtaxer, alors que la dette et les intérêts de la dette ont été voulus par les libéraux pour nous enchaîner. Et cela marche très bien. Depuis trop longtemps, les financiers font élire des politiciens dociles qui ne feront rien pour casser le système des chaînes perpétuelles imposées par le financement de la dette sur les marchés financiers (et leurs très juteux intérêts). Qui paye commande en Ploutocratie ! Tous les prétextes sont bons pour taxer toujours un peu plus, et maintenant c'est la transition écologique qui devient la priorité absolue. La France semble être la seule à combattre ce nouveau danger planétaire avec tant de férocité.

Piller les fruits de notre travail

En France, en 2018, la libération fiscale n'est intervenue que le 27 juillet. Dit autrement, à partir du 27 juillet, ce que nous gagnons commence à être vraiment à nous. Avant cette date nous avons travaillé pour notre protection sociale, pour nos retraites, pour l'assurance maladie, pour rembourser la dette, payer impôt et taxes, ou pour faire fonctionner l'État... En Allemagne cela tombe le 10 juillet. Face aux producteurs (salariés et entrepreneurs), il faut combattre les parasites, les profiteurs en tous genres profiteurs/jouisseurs de la finance nouvelles mafias immigrationnistes qui viennent piller nos budgets sociaux ceux qui abusent de la générosité de notre solidarité, qu'ils soient de souche ou allogènes.

L'État doit se débarrasser de la tutelle européiste bruxelloise qui impose des diktats budgétaires aux pays (comme l'Italie actuellement). Il devrait avoir un véritable rôle de régulateur social. Pour assurer durablement la justice et l'équilibre social, l'État devra s'affranchir de la pieuvre libérale, et mettre en œuvre une politique où la démographie des nôtres sera le maître étalon.

RF Réfléchir&Agir N° 61 Hiver 2019

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