De Washington à Sydney, en passant par Montréal, Londres, Paris, Madrid et même… Tunis, ils sont des centaines de milliers à être descendus dans la rue le week-end dernier. Tout ce que la Terre compte de suprémacistes noirs, d’« indigénistes », d’immigrationnistes, d’anarchistes, de nervis d’extrême gauche, et autres idiots utiles prêts à s’excuser d’être Blancs par peur d’être taxés de racisme. Tous unis pour dénoncer officiellement, après la mort de George Floyd, les prétendues « violences policières » et « inégalités » raciales lors de manifestations qui ont souvent tourné au pillage et dont l’objectif réel n’est autre que de pousser toujours plus loin les Blancs dans la repentance.
Le pitre Trudeau à genoux !
En pointe dans cette gigantesque manipulation, les mouvements pro-Noirs américains, qui ont réussi, avec la complicité des réseaux sociaux, à rassembler samedi des milliers de manifestants dans plusieurs villes des Etats-Unis. Notamment à Washington, où les autorités auraient enregistré des chiffres de participation records. Des rassemblements qui, au passage, n’auront pas été sans effet puisque, dimanche, le conseil municipal de Minneapolis, sous la pression des démocrates, annonçait lamentablement sa décision de… « démanteler » sa police ! Au Canada, où de nombreux rassemblements ont également eu lieu, on a même pu voir, avec consternation, l’inénarrable Justin Trudeau se joindre aux manifestants et rester le genou à terre pendant plus de huit minutes en mémoire de George Floyd… Dans ce concert mondial contre l’Homme blanc, l’Europe envahie, repentante et minée par le communautarisme n’aura bien sûr pas été en reste. Ainsi, en France, où ces rassemblements étaient pourtant encore interdits, quelque 23 000 personnes au total ont manifesté à Paris, Bordeaux, Lyon, Lille, Rennes, Marseille ou encore Metz. Des manifestations qui, pour certaines, ont une fois de plus donné lieu à des heurts avec les forces de l’ordre, des pillages et autres violences. C’est ainsi qu’à Metz, le procureur de la République en personne, Christian Mercuri, a été blessé au visage par une pierre lancée par des manifestants.
Violences et pillages
Violences aussi en Angleterre où, à Londres, malgré là encore l’interdiction de se rassembler, des manifestants ont lancé dimanche des bouteilles sur la police et ont dégradé la statue de Churchill, en y inscrivant « Churchill était un raciste ». A Bristol, ils ont carrément déboulonné la statue du célèbre négociant anglais du XVIIIe siècle Edward Colston, et l’ont piétinée, avant de la jeter dans le port de la ville. A Bruxelles, ville minée par l’immigration, le communautarisme, et en voie d’islamisation, ce sont plusieurs centaines de voyous ethniques et autres nervis d’extrême gauche qui ont caillassé dimanche soir les forces de l’ordre, brisé les vitrines et pillé des dizaines de magasins, incendié du matériel pris sur des chantiers et du mobilier urbain, obligeant la police antiémeute à recourir aux canons à eau pour disperser la foule. Bilan de la soirée : 150 personnes interpellées, plusieurs policiers blessés et un quartier entier de la capitale belge saccagé…
Instiller la haine de soi dans les esprits blancs
Derrière cet incroyable déchaînement mondial de haine et de sauvagerie, nous l’avons dit, se trouve tout ce que la Terre compte de mouvements « indigénistes » et suprémacistes noirs, dont le but n’est autre que d’instiller dans les esprits blancs la culpabilité, la haine de soi, la repentance, et, au-delà, de les désarmer afin de les dépouiller de leurs dernières prérogatives. Un projet qui serait resté à l’état de fantasme d’extrémistes si ces gens ne bénéficiaient pas de la complicité totale, non dissimulée et scandaleuse des grands médias, qui multiplient depuis dix jours les reportages sur les pseudo-« bavures policières » et ne donnent la parole qu’à des individus se disant victimes du prétendu « racisme » de la police. Pire encore : alors que cette racialisation de la politique risque de déboucher sur de graves incidents en France, certains élus, tels que Mélenchon, par pur clientélisme, n’hésitent pas à mettre de l’huile sur le feu en venant déclarer, comme il l’a fait samedi à Marseille, que « les syndicats de police se comportent d’une manière indigne » ou encore que « Castaner […] dit “oui” à tout ce qu’ils disent et à tout ce qu’ils font ». Une véritable honte, quand on pense que, au moment où la police est traînée dans la boue comme jamais, le seul souci du ministre semble justement de mettre la main sur quelques policiers qui auraient proféré des « insultes racistes » sur Internet !
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 8 juin 2020