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Castaner, Belloubet, Ndiaye : dehors, pour bêtise !, par Christian Vanneste.

Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !

Ainsi donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi, si, bien sûr, elle est d’extrême-gauche et importée des Etats-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les Gilets Jaunes manifestaient, avec en queue de cortège les Blacks-blocs chargés comme par hasard de créer les « tensions » en fin de journée, afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics ! Maintenant que les cortèges sont suscités par la mort d’un délinquant noir, Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes : il a remis la petite main jaune à la boutonnière. Les policiers, objets d’un « soupçon avéré » de racisme seront sanctionnés, les techniques d’arrestation une fois de plus restreintes. Des vidéos inondent la toile qui montrent des policiers en train de fuir devant des loubards, et au contraire des « malfaisants », comme disait Audiard, réduire la tête de ceux qui les regardent de travers. Dignité, respect, mais pas pour le « petit blanc », seulement pour celui qui cogne le plus vite et le plus fort, mais qui est une victime puisqu’il est arrière-petit-fils de colonisé ! Racisme inversé et slogan américain sont devenus le langage courant, quasi obligatoire du politiquement correct dans un pays doublement colonisé, par ses anciennes colonies, comme disait Poutine, et par un bain de culture américain, que nous devrions laisser se dissoudre au milieu de l’Atlantique !

Mais l’émotion revient dans la bouche de l’inénarrable Belloubet et de la gaffeuse de génie, Sibeth Ndiaye : les flics qui râlent et lâchent les menottes parce qu’ils sont lâchés par « leur » ministre sont dans l’émotion, ça ne va pas durer, ils vont rentrer dans le rang. D’ailleurs, on a été bien gentil avec eux pour les Gilets Jaunes. Sans le dire ouvertement, mais en le disant quand même, la balance de la justice est devenue celle de l’émotion. La loi a été dégagée. Il y a l’émotion des quartiers sensibles et des défilés d’extrême gauche qui pèse lourd, et il y a l’émotion des policiers, une légère vapeur qui leur passera ! Et pendant qu’on y est, l’émotion qui a envahi l’Amérique en pleine période électorale, avec un mélange pathologique d’histoire mal digérée et de christianisme masochiste, doit aussi se répandre chez nous. Les Traoré sont des Maliens d’origine. Ils sont venus en France pour y vivre mieux, et non parce que leurs ancêtres y ont été déportés comme esclaves. Un certain nombre de soldats français sont morts, dans le pays qu’ils ont quitté, pour y rétablir la paix et vaincre le fanatisme islamiste. Et il faudrait s’excuser ! Les Français n’y ont jamais pratiqué l’esclavage. On ne peut sans doute pas en dire autant des musulmans qui les ont convertis. Dans le déni des cultures, Hugues Lagrange, peu suspect du moindre racisme, soulignait que les immigrés en provenance du Sahel, posaient des problèmes d’intégration. Non en raison de leur « couleur », mais en raison de leur culture. Dans le pays de Claude Levi-Strauss, ce point capital est balayé par la bêtise : on oppose désormais les blancs et les noirs, avec simplement une inversion du positif , puisque le blanc est le mal, doit s’agenouiller devant le noir, doit vomir son histoire en se frappant la poitrine, et doit abattre les statues de ses grands hommes. Une « régression suicidaire » est en marche ! Elle fait partie du logiciel macronien comme l’ont souligné les sorties stupides , mais présidentielles, sur la colonisation, la fête de la musique décadente à l’Elysée en 2018, et les gestes déplacés de Saint-Martin.

La déconstruction de notre culture, l’américanisation de notre civilisation, l’inversion de nos valeurs, la démolition de notre histoire participent d’un même projet qui est de gommer la France pour y dessiner autre chose. Plus que jamais, il faut résister à cette entreprise de subversion qui réunit le mondialisme des cabinets, le gauchisme soixante-huitard, et la pègre des banlieues, avec pour décorer le tout, la poudre du showbiz. Ce n’est pas par hasard que Cohn-Bendt est macronien ! Il faut donc sans complexe affirmer l’identité nationale, la fierté d’appartenir à une nation qui a beaucoup apporté à l’humanité, et bien sûr dégager le gouvernement inepte que nous subissons !

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