Chronique de Paysan Savoyard (n°236 – août 2020)
La réplique en France et en Europe du mouvement Black Lives Matter a mis en évidence les principales composantes de la tragédie en train de se jouer : la disparition en cours de l’Europe, sous l’effet de l’invasion et de la trahison de ses dirigeants.
Les acteurs se dépouillent de leurs masques et dévoilent leur visage véritable. Chacun rejoint sa place sur la scène. L’action progresse et se tend. Les ressorts de l’intrigue viennent à la lumière. L’enjeu apparaît désormais sans fard : l’affrontement auquel notre pays est désormais promis sera avant tout racial.
- Les immigrationnistes, chaque jour un peu plus engagés dans la trahison
Les Blancs immigrationnistes se classent en trois catégories : les résignés, les collabos et les traîtres. A l’occasion de cet épisode « décolonial », elles apparaissent chacune avec netteté (voir cette chronique).
Par degré de gravité dans la trahison, on trouve d’abord tous les Blancs qui se résignent à l’invasion migratoire, par lâcheté et par calcul. L’immigration ne les enthousiasme nullement et ils en perçoivent plus ou moins distinctement les conséquences effrayantes. Mais ils préfèrent apporter tout de même leurs suffrages aux partis immigrationnistes ou se réfugier dans l’abstention. De même lorsqu’ils sont fonctionnaires, ils appliquent sans broncher la politique immigrationniste des gouvernements successifs : par carriérisme et crainte des représailles, ils se gardent bien de sonner l’alarme et de faire part des conséquences catastrophiques de l’immigration qu’ils constatent pourtant quotidiennement sur le terrain, qu’il s’agisse du domaine scolaire, de celui de la santé, du logement ou de la sécurité. Le parti de la lâcheté et de la résignation s’appuie sur un calcul. Beaucoup des Français résignés pensent que l’invasion est désormais impossible à arrêter sans provoquer une guerre civile. De même ils estiment que l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite déclencherait des affrontements majeurs. Par leur abstention et leur silence, ils espèrent contribuer à éviter affrontements d’ampleur et guerre civile, afin que la tranquillité personnelle dont ils jouissent ne soit pas remise en cause. De même ils escomptent que la dégradation de la situation, dont ils ont parfaitement conscience, sera suffisamment lente et progressive pour les épargner à titre personnel (voir cette chronique).
La deuxième catégorie d’immigrationnistes est celle des collabos, qui approuvent la politique immigrationniste de la classe dirigeante ou du moins refusent de s’y opposer, par idéal universaliste. Cette catégorie se subdivise elle-même en deux. On y trouve d’abord tous les Blancs utopistes et naïfs, qui se voient comme des citoyens du monde et rêvent d’un monde de paix, sans frontières, sans haine et sans races. Ces songe-creux sont généralement envahis en outre par un sentiment délirant de culpabilité et prêts à tout pour expier les crimes dont ils pensent l’Occident coupable. Aux Etats-Unis on les voit ces jours-ci mettre un genou en terre. Certains, dont un chef de la police, vont jusqu’à s’allonger devant les Noirs. D’autres, inspirés sans doute par François, le pape fou, leur lavent les pieds. D’autres encore, en Amérique comme en France, s’accusent de bénéficier du « privilège Blanc ». La seconde sous-catégorie des immigrationnistes collabos est celle des gauchistes. Favorables à l’immigration par internationalisme et par haine de l’Occident, ils ont depuis des années maintenant choisi l’islamo-gauchisme. Les étapes de leur alliance avec l’envahisseur se succèdent : appui des porteuses de burkini, appui des réunions interdites aux Blancs, participation aux manifestations de sans-papiers dans la basilique Saint-Denis, participation à la manifestation contre l’islamophobie fin 2019… C’est en toute logique qu’ils apportent aujourd’hui leur soutien au mouvement initié par la famille Traoré (voir cette chronique).
Le troisième acteur de la galaxie immigrationniste est celle des traîtres, placés à son sommet : la classe dirigeante et ses gouvernements successifs. Le gouvernement Macron poursuit ainsi la politique de trahison conduite par tous ses prédécesseurs depuis 50 ans, en France comme dans la plupart des pays d’Europe. Comme tous ses devanciers il organise l’entrée en masse des immigrés : année après année ces arrivées légales et illégales d’immigrés non européens ne cessent de croître. Au rythme actuel, additionnées aux naissances dans les milieux de l’immigration, ces arrivées augmentent de 500.000 par an environ le nombre des immigrés d’origine non européenne installés sur le territoire métropolitain. Ces gouvernements sont inspirés et soutenus par les milieux économiques, qui ont intérêt à l’immigration afin d’accroître leurs profits. Leur politique est relayée par les médias, propriétés de l’Etat ou des milliardaires immigrationnistes. Enfin la politique immigrationniste est efficacement mise en oeuvre par les hauts responsables de l’administration, de la police, de la justice et de l’armée.
Comme ses prédécesseurs également, E. Macron se couche devant les exigences croissantes des immigrés. Il ne réagit pas face aux messages haineux et guerriers adressés à jet continu par les rappeurs. Comme ses prédécesseurs il a renoncé à faire régner la loi française dans les quartiers, donnant au contraire l’ordre à la police de s’en tenir éloignée. En 2005 le gouvernement Sarkozy avait réagi aux émeutes non en les réprimant, mais en multipliant au contraire les concessions : augmentation des crédits de la politique de la ville, mise en place de mécanismes de discrimination positive, nomination de nombreux immigrés au gouvernement, au parlement et dans les médias… A son tour le gouvernement Macron, au lieu de soutenir les forces de l’ordre face aux délinquants, laisse se succéder les manifestations hostiles à la police et, selon Le Monde, a demandé « au gouvernement de lui faire des propositions pour répondre aux revendications ». Alors même que les manifestations sont en principe interdites du fait du confinement… Alors même que la famille Traoré est composée d’une proportion appréciable de délinquants déjà condamnés… Alors que la police est quotidiennement la cible dans les quartiers d’émeutes, d’agressions et de guet-apens…
Cette attitude est d’autant plus abjecte que le gouvernement s’était montré particulièrement dur avec le mouvement des Gilets-jaunes, qui était lui essentiellement composé de Français moyens Blancs. On se souvient qu’au fil des manifestations des centaines de Gilets-jaunes avaient été arrêtés, des dizaines condamnés et douze d’entre eux gravement blessés et mutilés par les tirs de la police. Dans le même temps les black-blocs et antifas, principaux auteurs des violences, étaient comme d’habitude restés impunis : et pour cause elles jouent le rôle de milice du Système. Macron est à l’image de ses prédécesseurs, dur avec les faibles, faibles avec les durs.
Au passage on notera que M. Macron, qui se prenait pour Jupiter, se montre décidément au moins aussi piteux que ses prédécesseurs. On se rappelle sa photo en compagnie de deux racailles torse-nu brandissant un « doigt d’honneur ». On vient de le voir à l’œuvre dans sa gestion médiocre de la crise sanitaire. A l’image de F. Hollande obéissant à Léonarda, E. Macron choisit le profil bas face aux objurgations de la famille de caïds Traoré. Ce nouvel épisode le confirme : avec ses grands airs, Macron n’est en réalité qu’un opportuniste sans véritable envergure personnelle.
- L’audace grandissante de nos envahisseurs
Conscients de leur nombre, qui augmente chaque jour, assurés de leur force et de notre immense faiblesse, nos envahisseurs font preuve d’une audace grandissante.
Les immigrés des quartiers ont montré à l’occasion du confinement qu’ils n’avaient que mépris pour les règles fixées par les autorités françaises, multipliant en toute impunité les matchs de foot sauvages et les rodéos à motos volées.
Les mouvements immigrés radicaux enchaînent les provocations à l’égard de la société française. Sous couvert de manifester leur solidarité avec les soignants, plusieurs imams ont prétendu faire écho aux cloches des églises en lançant des appels à la prière depuis les minarets (voir ici, ici et ici). Du côté des Noirs, les manifestations aux Etats-Unis provoquées par la mort d’un dénommé Floyd permettent aux militants « décoloniaux » et « racisés » d’accroître la pression. Tandis que les manifestations organisées par la famille Traoré s’enchaînent, les militants noirs exigent désormais la fin des contrôles d’identité menés par la police, le déboulonnage des statues de personnages historiques accusés de racisme ou encore le changement de nom de certaines rues. Afin d’amadouer les opposants, les autorités s’efforcent de leur donner au moins partiellement satisfaction. Le gouvernement vient ainsi de décider que les contrôles de police seraient systématiquement filmés. De même il vient d’inciter les maires à donner à certaines rues le nom d’anciens combattants africains. Certaines régions viennent de décider de débaptiser des lycées Colbert, l’auteur du Code noir (voir ici et ici ).
Sur le front de la délinquance proprement dite, les actes de vandalisme contre les églises catholiques sont de plus en plus nombreux et spectaculaires. Le dernier en date est l’incendie volontaire dans la cathédrale de Nantes, qui a entraîné d’importantes destructions. Les caillassages de policiers et pompiers sont quotidiens. Les agressions « gratuites » et les coups de couteaux imputables à des immigrés se multiplient, tant leurs auteurs savent pouvoir compter sur la mansuétude des autorités et des juges. On mettra en exergue ces quatre meurtres de Blancs commis par des immigrés au cours de ce mois de juillet. Thomas, vendeur dans une grande surface, a été poignardé à mort à Sarcelles au sortir d’une fête, par un délinquant qui venait de sortir de prison. Philippe, conducteur de bus à Bayonne, a été tabassé à mort pour avoir tenté de faire respecter les règles en vigueur à bord des véhicules de transport urbain. Mélanie, gendarme de 25 ans, a été fauchée par un délinquant qui voulait échapper à un contrôle. Axelle, aide-soignante, a été volontairement écrasée par un délinquant.
- La race, clé de notre avenir proche
Les événements qui s’enchaînent le dévoilent chaque jour un peu plus clairement : le facteur racial est l’élément le plus déterminant de la vie des sociétés humaines, plus important même que les facteurs religieux et culturel.
Les arguties des sociologues concernant les difficultés sociales auxquelles seraient confrontés les quartiers sont évidemment un mensonge et un enfumage. La réussite scolaire et sociale des immigrés asiatiques installés en France montre que les difficultés d’intégration des Noirs et des Arabes n’ont rien à voir avec « le social ». Les immigrés originaires d’Afrique et du Moyen-Orient ne sont aucunement intégrés et ne le seront jamais pour une raison simple : ils ne le souhaitent nullement. Mieux, ils nous haïssent. L’enjeu pour eux n’est pas de s’intégrer à la société française mais d’y substituer la leur. Il s’agit moins que jamais pour eux de devenir comme les Français mais désormais de prendre leur place.
On notera que le facteur racial est déterminant également au sein du camp de l’immigration. C’est ainsi que les revendications islamistes et les attentats sont pour l’essentiel le fait des Arabes. Les mouvements décoloniaux qui dénoncent aujourd’hui ce qu’ils désignent comme des violences policières est un mouvement de Noirs. Les affrontements sur notre sol entre communautés – Noirs, Arabes, Tchétchènes, Gitans, Asiatiques – le montrent depuis des années : la société multiraciale est la guerre de tous contre tous. Une société paisible doit être homogène sur le plan culturel et racial. Dans les sociétés multiculturelles et multiraciales les conflits raciaux sont assurés. Nous y sommes.
Dans notre pays envahi, le facteur racial va devenir rapidement le facteur prééminent de la vie politique. Pour l’instant les immigrés sont alliés à tous ceux qui veulent prendre leur revanche sur leur ennemi commun, l’homme blanc hétérosexuel de culture catholique : féministes, mouvement LGBT, internationalistes et citoyens du monde, protestants et francs-maçons de diverses obédiences. Ces différentes factions se rendront compte le moment venu que les futurs maîtres africains, arabes et orientaux sont aux antipodes de leurs convictions républicaines ou libérales-libertaires.
Les événements de ces dernières semaines l’illustrent : chaque race revendique son existence et sa dignité. Seuls les Blancs ont honte de la leur, dont ils nient même l’existence. Seuls imprégnés des soi-disant « valeurs universelles », ils s’humilient devant les autres. Dès lors les choses sont chaque jour un peu plus claires : une grande partie des Blancs sont prêts à la soumission.
Après trois mois de crise sanitaire, il n’a fallu que quelques jours pour que les événements remettent les choses dans l’ordre. L’invasion de l’Europe par des immigrés venus pour la plupart d’Afrique et du Proche-Orient est le défi majeur de notre temps, au regard duquel tous les autres sujets sont devenus secondaires. On peut se remettre d’une épidémie. On pourra se remettre de la crise économique majeure qui va suivre la crise sanitaire. Nous ne pourrons pas nous remettre de l’invasion.
Face à l’invasion trois camps sont en présence : les immigrationnistes, les immigrés et, minoritaires, les Blancs opposés à l’invasion. Il y a trois France, comme il y a trois Amérique, trois Angleterre ou trois Italie. Ce point une fois de plus doit être souligné : l’invasion est provoquée, organisée, souhaitée ou du moins acceptée par toute une partie de la société française, européenne et occidentale. Nous ne sommes submergés que parce que nous sommes divisés. Nous ne sommes envahis que parce que nous sommes trahis.
Reste cette question. Des trois ou quatre scénarios qui viennent à l’esprit, lequel l’Histoire va-t-elle bientôt retenir ? La soumission des Blancs, dans une société réglée par la charia ? Leur génocide, succédant au chaos ? Leur révolte et l’arrivée d’un pouvoir fort ?