Communiqué de la Ligue du Midi :
Une fête sur deux jours. Un pari risqué, mais un pari gagné. Du samedi après-midi au dimanche soir nous avons vécu des moments chaleureux amicaux et patriotes. Cette fête de la Ligue avait fait le pari risqué de se dérouler sur deux jours.
Comme l’a dit Richard Roudier : « Quelle figure aurions-nous si nous avions réuni une trentaine de personnes le samedi et une centaine le dimanche ? Et bien ce pari fut gagné !
Pour la table-ronde dans un restaurant des bords de l’étang de l’Or, Richard Roudier attendait 90 personnes c’est plus de 150 qui sont venues, quant au dimanche, les organisateurs ont dénombré 350 participants.
Les intervenants du samedi au nombre de sept ont fait le constat de la situation de notre société à travers leurs diverses actions militantes : constat de la crise sociale et économique prélude à une guerre civile raciale ; ce constat implique la recherche de solutions pour échapper à la disparition. L’affaiblissement de nos concitoyens, leur soumission et parfois leur lâcheté semblent la cause première de la décadence de notre civilisation. François Jay dans son intervention rapprocha la baisse de la testostérone chez les hommes européens avec la disparition de la virilité et du courage.
Les patriotes, nationalistes, Identitaires ou quel que soit le nom qu’ils se donnent ne peuvent comme nos ancêtres gaulois rester divisés en chapelle et partis. La ligue est ouverte à tous les volontaires
Les armes sont spirituelles et concrètes. Le projet du mondialisme n’est pas gagné. Nous devons faire renaitre une communauté, créer des liens sociaux réels et pas seulement virtuels, le virtuel n’est pas suffisant et même peut être dangereux pour les patriotes. Redonnons à nos peuples le gout de vivre.
Une fête c’est justement l’occasion de créer des liens et des rencontres. L’endroit choisi est bien le symbole de notre enracinement : une propriété agricole traditionnelle.
Des cours de danse traditionnelle avaient été organisés. Ce furent des moments d’élégance et de joie, sans oublier un buffet improvisé et un bar chaleureux et attractif.
Le dimanche matin, après une très courte nuit pour certains, après café et boisson : visite des stands par l’équipe de direction de la Ligue, celui de la Ligue en particulier, où l’on trouvait livres, T-shirts dont le collector « OCCITAN LIVES MATTER », (nous aussi avons le droit de vivre…) l’ouvrage de Patrick Jardin père de la jeune éclairagiste assassinée par les islamistes au Bataclan. Le Stand des « Braves » de Marseille, des Identitaires de Bordeaux, de Civitas, du Rucher Patriote, du jeu de société Noir sur Noir, des Brigandes qui présentaient leur dixième album, commencèrent les travaux et conférences.
Celles-ci allaient se montrer riches et enthousiasmantes. Nous retiendrons la diversité des intervenants, étudiants, militants, économistes, essayistes, chefs d’entreprise, tous ont apporté leurs expériences et leurs espérances. Truculents ou sévères, plein d’humour ou de volonté tous nous ont transmis leur militantisme et leur énergie.