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Du robinet d'eau tiède à la dissolution du régime.

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L'avis de Jean-François Touzé
Détail de l'histoire sanglante de la guerre de conquête islamiste menée depuis treize siècles contre l'Occident, l'Europe et la chrétienté, la décapitation de Samuel Paty a permis la réouverture depuis quatre jour du robinet d'eau tiède de la sensiblerie populaire, du laïcisme militant et de la forfanterie gouvernementale.
Sensiblerie populaire avec ses rassemblements pleurnichards, ses litanies profanes, ses bouquets floraux, ses bougies et ses peluches.
Laïcisme avec ses incantations archéo-républicaines à la mémoire de Jules Ferry ou du petit père Combes et l'affichage idéologique de la condition sacrée d'enseignant, les "je suis prof" ayant remplacé les "je suis Charlie".
Forfanterie gouvernementale avec les éternels "Nous ne tolèrerons pas", "La République ne permettra pas" "Ils ne passeront pas" accompagnés de mesures de circonstances et d'annonces d'apparence comme l'expulsion de quelques deux cents étrangers fichés "S" pour activisme pro-djihad (sur plus de quatre mille), annonce, par ailleurs déjà faite trois jours avant le meurtre et dont on peut s'attendre à ce qu'elle soit largement retoquée par les magistrats, ou encore la dissolution de quelques associations soudainement identifiées par la perspicacité du ministre de l'Intérieur comme "ennemies de la République".
Tout cela durera le temps que durent les paroles roses de la République. Jusqu'à la prochaine tuerie.
Pour nous qui, depuis des décennies, sonnons le tocsin, rien de nouveau sous la lune de Satan. Le Système qui a voulu l'immigration, laissé se développer au coeur même du Pays les foyers de contamination mortels — clusters des virus combinés du trafic de drogue et de la domination des imams — et encouragé le sapement systématique de tous les piliers de forces — moraux, institutionnels, identitaires et sécuritaires — de l'Etat ne peut évidemment pas être la base de leurs relèvements.
"Dissoudre les associations ennemies de la République" nous dit Darmanin qui ne va tout de même pas, la fermeté a ses limites, jusqu'à envisager celle de l'UOIF ni l'interdiction du salafisme et des Frères musulmans. Nous nous disons "Il faut dissoudre ce régime incapable et criminel".
Il y a urgence. Qu'on le veuille ou non, le moment de vérité approche. Nous n'avons plus droit ni à l'égarement des divisions ni à la procrastination ni à l'ossification des amertumes.

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